L’association de protection animale L214 a publié un tweet mi-novembre dans lequel elle s’indigne des conditions d’élevage de "vaches élevées en plein air".

Le procès pour viol collectif qui a secoué la France entre dans sa phase finale après dix semaines. Mais ses implications sur la manière dont nous envisageons les violences sexuelles et sur les personnes qui les subissent dureront bien plus longtemps.

La France insoumise est un parti populiste qui n’a désormais plus aucune limite en matière de décence et de respect des idéaux démocratiques.

Alors que Rima Hassan a obtenu de la justice administrative que soit autorisée la réunion publique que la direction de Sciences Po avait annulée, la justice est-elle toujours impartiale en matière de droit des opinions à s’exprimer ?

Fin septembre, sortait le dernier ouvrage de Laurent Obertone, "Guerre". On retient l'auteur de la "France orange mécanique" pour son écriture au scalpel lorsqu'il s'agit d'analyser les maux qui, comme la violence, gangrènent notre société. Après les constats, vient le temps de l'action. Ici, il franchit encore un cap en se saisissant d'un bélier pour fracasser le logiciel qui nous maintient dans notre prison intérieure. Nous l'avons interviewé dans le sillage de l'élection présidentielle aux USA dont les conséquences se feront sentir à l'échelle de la planète.

Le Dr Karan Raj, un chirurgien du NHS, a récemment publié sur TikTok une mise en garde contre les dangers d'embrasser un bébé et, à en juger par les milliers de commentaires, c'était une nouvelle pour de nombreuses personnes sur la plateforme de médias sociaux.

The Guardian, Ouest France, Quotidien, personnalités, etc. : depuis l'alliance d'Elon Musk avec Donald Trump, beaucoup ont annoncé leur départ de X. Avec des justifications parfois surprenantes…

La France va connaître des besoins en main-d'œuvre étrangère accrus et dans toutes les qualifications, dans des métiers non qualifiés, notamment les métiers de services mais également dans des métiers très qualifiés. 

La Revue politique et parlementaire dont il est l’un des membres et Atlantico dont il est l’un des contributeurs fidèles seront à ses côtés inlassablement, sans crainte, et libres, comme il l’a toujours été, dans ce moment terrible.

Selon la députée, « pas un jour sans entendre que les musulmans seraient la cause de tous les maux de notre pays » alors que « dans l’Union européenne, près d’une personne musulmane sur deux dit subir des discriminations ».

Lorsqu’à la fin du mois de septembre 2024, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau déclare devant l’Assemblée Nationale que l’État de droit n’est ni intangible ni sacré, il déclenche un émoi bien compréhensible dans les rangs parlementaires et au-delà.

La France ti­tube au bord de la "mexicanisation". Vraiment ? En fait, non : l'actuelle explosion criminelle était prévi­sible et annoncée - dont ici, par le signataire.

Notre système ferroviaire est caractérisée par un excès des dépenses de fonctionnement et une insuffisance des dépenses d’investissement.

Dans le cadre de ces crises, un certain nombre de choses vont s'imbriquer ensemble. D'un côté, la situation économique, en particulier la faible croissance va exacerber les tensions. Cela a des conséquences en matière sociale et rend difficile le fait de mener une politique.

Dès qu'il s'agit de sécurité ; plus encore, dès que ça empire, le personnel politique de la Ve Ré­publique a pour réflexe, pour automatisme, de se ruer à Marseille pour y annoncer que c'en est assez - et que ce coup-ci, on va voir ce que l'on va voir.

Contre toute attente, et en dépit d'un discours médiatique très souvent teinté de pessimisme, les Français manifestent une confiance très profonde dans l’innovation.

Au strict minimum avéré, 22 victimes vulnérables sont ainsi chaque jour dé­pouillées "par ruse" ; tout décompté honnêtement, on devait approcher les cent par jour. Et pour l'essentiel, l'État-Macron s'en désintéresse.

Plusieurs fusillades, notamment à Valence ou Poitiers, ont éclaté en ce début de mois de novembre un peu partout en France. Des tentatives d’homicides souvent liées au trafic de stupéfiants.

La cherté de la vie en Martinique est un problème persistant, dont les causes sont souvent mal identifiées : ce n’est pas des marges de la grande distribution dont souffre le pouvoir d’achat de la population, mais de l’éloignement et de l’insularité. Aucune fatalité pour autant : une volonté politique forte, conjuguée à l'engagement des acteurs économiques, pourrait permettre de relever ce défi complexe.

Les Verts et leurs faux-nez, les ONG environnementales, mènent depuis une décennie un combat frontal contre l’élevage bovin au nom des émissions de méthane des ruminants, gaz à effet de serre plus puissant que le CO2.