Outre la présence d’un soutien assumé du Hamas, le pedigree judiciaire ou politique de certains des candidats rassemblés autour de Louis Boyard donne le vertige (mais au PS…).

Alors que la Commission paritaire Assemblée nationale-Sénat qui doit trouver un compromis sur le budget 2025, se réunit jeudi prochain, les membres du gouvernement, Premier ministre en tête, multiplient les interventions dans les médias… Dans l’espoir de convaincre l’opinion qu’il faut à tout prix adopter ce fameux budget, mais aussi pour marquer des points dans leurs domaines respectifs. Celui de la sécurité, est le théâtre de « l’émulation » entre le Ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et le Garde des Sceaux, Gérald Darmanin…

Giorgia Meloni est, parmi les grands dirigeants européens, la seule proche de Donald Trump.

Les Américains ont récemment traversé une nouvelle saison électorale éprouvante, qui leur a rappelé à quel point les États-Unis sont devenus polarisés.

En seulement 72 heures, les mesures radicales de Trump ont montré à quel point un leadership sans complexe peut donner la priorité à la souveraineté nationale.

Le nouveau président des Etats-Unis a dû se mettre à l’abri du froid de Washington, mais ce sont les anciennes élites de Davos qui ont fait face au froid politique.

La fixation de Pedro Sánchez sur Franco ravivent un intérêt pour le passé qui pourrait se retourner contre la gauche, qui a beaucoup à cacher sur son rôle dans la guerre civile et la dictature.

Idéologiquement mais aussi politiquement, Bruno Retailleau semble être en rupture totale avec ses prédécesseurs. Une stratégie payante, d'après divers sondages.

Emmanuel Macron teste trois noms pour la présidence de l’institution, en vue d’une annonce début février. Il souhaite se coordonner avec Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, qui doivent eux aussi nommer un membre chacun.

A l’exception notable de David Lisnard, les leaders de la droite semblent plutôt enclins à emboîter le pas à ceux qui préfèrent la censure au nom de la lutte contre les fake news.

Dans le cadre de son discours de politique générale, François Bayrou a annoncé que le gouvernement s'engagerait dans un puissant mouvement de débureaucratisation. Le Premier ministre a-t-il les moyens de mener à bien les réformes concernant la simplification administrative ?

Au lendemain du rejet de la motion de censure contre François Bayrou, Éric Coquerel a dénoncé sur LCI l'attitude du PS qui n'a pas voté comme le NFP.

Alors que Los Angeles repose dans les cendres, le progressisme s'épuise.

François Bayrou a sans doute sauvé son gouvernement de la censure, mais pas le modèle français. Il est sorti du piège de la retraite, mais il n’a guère activé les leviers de la croissance, or le pays a besoin de croissance.

Un mois après sa nomination à Matignon, François Bayrou a prononcé son discours de politique générale devant l'Assemblée nationale.

Le consentement à l’impôt, qui repose lui-même sur la vérité des dépenses publiques, est pourtant un élément fondamental de la démocratie.

Le Premier ministre canadien, le chancelier allemand et le président français étaient célébrés comme des héros libéraux. Mais en réalité, leurs politiques et leurs réformes ont été illibérales et impopulaires.

Olivier Faure tente de faire céder le gouvernement sur la réforme des retraites en contrepartie d’une non-censure. Jean-Luc Mélenchon a critiqué l'attitude de ses partenaires du Nouveau Front populaire.

Il existe, de fait, un paradoxe Jean-Marie Le Pen. L’ancien président du Front national est tout à la fois une marque extrêmement forte, en politique, et une personnalité très ancrée dans les esprits.

Tout laisse penser que le gouvernement Bayrou a choisi de plaire à la gauche pour éviter la censure, ce qui ne permettra pas de redresser les finances publiques et de retrouver de la croissance. Or, la croissance est la mère de toutes les réformes.