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À Propos

Raul Magni-Berton est actuellement professeur à l'Université catholique de Lille. Il est également auteur de notes et rapports pour le think-tank GénérationLibre.

Ses Contributions

Le premier secrétaire national du Parti socialiste, Olivier Faure, s'adresse à la presse aux côtés de la secrétaire adjointe du parti, Johanna Rolland, du président du groupe Socialiste et apparentés à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud, et du président du groupe Écologiste et républicain au Sénat, Patrick Kanner, après une réunion avec le Premier ministre, le 17 septembre 2025.Politique
NFPVers une nouvelle union de la gauche envers et contre tout(es les dérives insoumises) ?

Malgré les dissensions profondes entre le Parti socialiste et La France insoumise, les discussions autour d'une recomposition de la gauche ressurgissent, alimentées par la perspective d'une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale. Dans le contexte de crise politique après la démission de Sébastien Lecornu, la gauche peut-elle réellement s’unir ou est-elle condamnée à l’éclatement ?

avec Baptiste MénardetRaul Magni Berton
Images de la mobilisation contre la réforme des retraites, le 11 février 2023 à Nantes.Politique
Crise politique(Dé)mobilisation sociale : entre colère, lassitude et dépression, radioscopie de l’état d’esprit des Français

Le 2 octobre 2025, la France fait face à des mouvements sociaux contre l’austérité (43 Mds€ d’économies, retraites, chômage). Après des manifestations massives les 10 et 18 septembre, la mobilisation s’essouffle. Pessimisme (69 %) et défiance (Macron à 17 %) dominent, amplifiés sur X. Face à ce constat, une analyse des émotions s’impose. Décryptage.

avec Véronique Reille SoultetClément MacchietRaul Magni Berton
Un membre de la Confédération paysanne tient une pancarte sur laquelle est inscrit « La loi Duplomb nous donne le bourdon», alors que le ministre français de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire visite une exploitation à Saint-Michel, dans le sud-ouest de la France, le 5 juin 2025. (Image d'illustration)Politique
Pétition anti loi Duplomb La grande peur du progrès technique : radioscopie d’une panique morale…

À l’heure où la loi Duplomb ravive les tensions autour de l’usage des pesticides, plus d’un million de citoyens ont signé une pétition contre les néonicotinoïdes, malgré leur validation par la quasi-totalité des agences sanitaires européennes. Faut-il y voir un rejet rationnel fondé sur le principe de précaution ou un symptôme plus profond d’une société en proie à une « panique morale » face au progrès technique ?

avec Raul Magni BertonetBertrand Vergely
Des manifestants brandissent des banderoles et des drapeaux syndicaux lors d'une manifestation contre le projet de loi agricole dit Duplomb, qui vise à « lever les contraintes à l'exercice » de leur profession, notamment en facilitant l'accès aux pesticides, à Pau, dans le sud-ouest de la France, le 28 juin 2025. (Image d'illustration)France
Opinion fracturéeLoi Duplomb, la grande fracture : France de l’indignation pétitionnaire contre France de l’exaspération anti techno, combien de divisions électorales ?

Avec plus d’un million de signatures, la pétition contre la loi Duplomb illustre une mobilisation sans précédent sous la Ve République. Pourtant, les sondages révèlent une autre réalité : 75 % des Français se disent favorables à une levée des contraintes réglementaires pour soutenir les agriculteurs. Entre une « France pétitionnaire », militante, et une « France de l’exaspération anti-techno », silencieuse mais majoritaire, la loi Duplomb agit comme un révélateur d’un clivage profond et d’une recomposition politique à venir.

avec Clément MacchietRaul Magni Berton
La ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé. (Image d'illustration)Politique
CensureLutter contre la haine en ligne, oui, asphyxier la liberté d’expression non : les inquiétants projets de la ministre chargée de la lutte contre les discriminations

La ministre Aurore Bergé vise à mieux encadrer les contenus en ligne en accélérant la suppression des discours de haine via une coalition d’associations triées sur le volet. Ce choix soulève l’inquiétude de certains observateurs, qui redoutent une dérive liberticide : en n’impliquant que des associations dédiées aux minorités et aucune spécialisée dans le cyberharcèlement, le projet pourrait assimiler de simples opinions traditionnelles à des propos haineux, bridant ainsi la liberté d’expression politique.

avec Raul Magni Berton
Emmanuel Macron lors d'une déclaration devant les médias.Politique
Opinion des FrançaisInsatisfaction maximale mais refus d’une nouvelle dissolution : mais que révèle donc ce paradoxe des électeurs français ?

Un an après la dissolution de l’Assemblée nationale, 66% des Français jugent « mauvaise » la décision d’Emmanuel Macron de recourir à l’article 12 de la Constitution, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Six Français sur dix s’opposent à une nouvelle dissolution d’ici à l’élection présidentielle de 2027.

avec Raul Magni Berton