Célébrée partout par les "raisonnables" pour son pragmatisme et sa modération pendant ses 16 années au pouvoir, avec le recul, l’ex chancelière voit désormais son bilan salement démenti par la réalité.

Quand la Grèce a finalement été confrontée à la crise dont nous parlons aujourd’hui, elle affichait un déficit public assez élevé et un endettement public supérieur à 100 % du PIB. Le PASOK, l’équivalent du parti socialiste grec, venait d’être élu après avoir fait campagne sur la mauvaise gestion de l’économie et la nécessité de faire davantage de déficit public.

Dans le cadre de ces crises, un certain nombre de choses vont s'imbriquer ensemble. D'un côté, la situation économique, en particulier la faible croissance va exacerber les tensions. Cela a des conséquences en matière sociale et rend difficile le fait de mener une politique.

Le nouveau président pourrait bien être porteur d’une tournant idéologique aussi important que celui porté par Ronald Reagan et Margaret Thatcher en leur temps.

Dans l'histoire de l'économie moderne, la performance des Etats-Unis depuis 30 ans est assez remarquable.

Le candidat républicain a décliné son slogan du Make America Great Again (MAGA) sur son programme économique.

L’Europe se prévaut du principe de précaution. Mais à quel prix dans un monde en pleine accélération et aux rivalités géopolitiques grandissantes ?

Même si rien ne vaut une vie d’un point de vue moral, les économistes ont développé une méthode statistique pour apprécier la valeur d’une vie dans les dossiers d’indemnisation.

Il est particulièrement intéressant de comparer la France avec des pays comparables et avec les autres pays européens. En essayant cet exercice, il est possible de découvrir que, sur cette période, le déficit en France s'est creusé par rapport aux autres pays.

L’écart croissant entre l’Europe et les États-Unis résulte d’un grand nombre de facteurs complexes et interdépendants.

Le président argentin Javier Milei a annoncé son intention d'éliminer entièrement le déficit budgétaire l'année prochaine, réitérant ainsi ses promesses de discipline fiscale, malgré la récession qui frappe le pays.

Le gouverneur de la Banque du Japon, Kazuo Ueda, a averti que les marchés mondiaux restaient instables et a réaffirmé son engagement à relever les taux d'intérêt si l'inflation et la croissance économique du pays restaient sur la bonne voie.

Le programme économique de Kamala Harris, récemment dévoilé lors de sa campagne, vise à conquérir une grande partie des électeurs américains mais certaines de ses propositions sont moins bien accueillies par les entreprises et les économistes.

Alors que de violentes émeutes secouent le Royaume-Uni depuis le 29 juillet, certains soulignent le fossé économique qui sépare Londres du reste du pays.

En Allemagne aussi, les élections européennes ont été l’occasion de sanctionner le pouvoir en place en raison, entre autres, de problèmes de budget.

Les événements climatiques provoquent des fluctuations considérables dans la production agricole, entraînant ainsi des variations importantes des prix des aliments.

Selon un rapport du FMI, le plan de stabilisation déployé en Argentine par le gouvernement Milei a permis de réaliser des excédents budgétaires et extérieurs, un retournement marqué des réserves, un renforcement du bilan de la banque centrale et une désinflation plus rapide que prévu, tout en augmentant les dépenses sociales.

La BCE appelle les gouvernements des pays de la zone euro à améliorer « immédiatement » leurs finances publiques face aux risques sur le long terme liés au vieillissement démographique, à l'augmentation des dépenses de défense, au climat et au numérique.

L'économie américaine a connu un véritable essor sous Biden, tirée par des dépenses de consommation dynamiques, selon des données fédérales. C'est particulièrement le cas au Michigan mais les électeurs disent toujours qu'ils font davantage confiance à la gestion de l'économie par Trump.

L'économie américaine a connu un véritable essor sous Biden, tirée par des dépenses de consommation dynamiques, selon des données fédérales. C'est particulièrement le cas au Michigan mais les électeurs disent toujours qu'ils font davantage confiance à la gestion de l'économie par Trump.