Contenus en rapport avec le mot-clé délinquance

Invitée sur le plateau de CNEWS, l'essayiste et sociologue Sabrina Medjebeur a déclaré que la gauche était «le principal responsable de cette politique de la ville», alors qu'une bibliothèque a été incendiée à Grenoble.

Selon le ministre de l’intérieur, "on est sur une situation criminelle inédite puisqu'on y a utilisé des techniques de guerre".

Les chiffres de la délinquance qui viennent d'être publiés par le ministère de l'Intérieur reflètent mal la réalité criminelle du terrain.

Les élèves armés d’un couteau iront en conseil de discipline, annonce Elisabeth Borne, inférant que ce n’était pas le cas jusqu’ici. Mais qu’on se rassure, il y aura des possibilité de recours.

Le directeur d’Atlantico, Jean-Sébastien Ferjou, parle d’une prétendue ghettoïsation de certains quartiers de Paris : « Le logiciel politique de la mairie de Paris, à l’heure actuelle, c’est la ghettoïsation ».

L’étude de l’Institut pour la justice sur les peines prononcées, révélé en exclusivité par Le Figaro Magazine, prouve que la prison ferme est une sanction plus virtuelle que réelle.

Les fermes propos de M. Retailleau enchantent la France entière - pas qu'à droite : un sondage du 8 janvier le révèle (CSA-CNews-JDD-Europe1) 87% des Français attendent du nouveau gouvernement qu'il fasse de la sécurité une priorité. Les macronistes sont pour à 92% ; la gauche, à 74% ; les écolos, même, à 71%. Bref, la France entière en a marre du bazar.

Le futur locataire de la place Beauvau sera-t-il en mesure de reprendre en mains le ministère de l’Intérieur ? Les Français doivent connaître le réel criminel.

Un chauffard a brutalement percuté mardi un policier lors d’une course-poursuite impliquant la police municipale de Colombes, dans les Hauts-de-Seine, a appris Le Figaro de source policière ce mercredi 27 novembre.

Dès qu'il s'agit de sécurité ; plus encore, dès que ça empire, le personnel politique de la Ve Ré­publique a pour réflexe, pour automatisme, de se ruer à Marseille pour y annoncer que c'en est assez - et que ce coup-ci, on va voir ce que l'on va voir.

Au strict minimum avéré, 22 victimes vulnérables sont ainsi chaque jour dé­pouillées "par ruse" ; tout décompté honnêtement, on devait approcher les cent par jour. Et pour l'essentiel, l'État-Macron s'en désintéresse.

Plusieurs fusillades, notamment à Valence ou Poitiers, ont éclaté en ce début de mois de novembre un peu partout en France. Des tentatives d’homicides souvent liées au trafic de stupéfiants.

Un garçon âgé de 15 ans avait été grièvement blessé suite à des coups de feu signalés à la terrasse d'un restaurant, dans le quartier des Couronneries à Poitiers.

Bruno Retailleau en déplacement à Rennes répond à la détresse des habitants : «Quand c'est la loi de la jungle, celui qui trinque c'est le plus faible».

Les deux jeunes suspects, âgés de 17 et 18 ans, ont été repérés par une sœur du couvent de la Basilique alors qu’ils prenaient la fuite. Interpellés par des policiers de la BAC, ils ont été retrouvés en possession de pièces et de bijoux.

Olivier Vial, directeur du CERU, était invité dans l'émission 180 Minutes Info, ce lundi 28 octobre, sur CNEWS. Il s'est exprimé à propos de la lutte contre le trafic de drogue : «Quand on parle de "racailles", ce n'est plus le niveau. On fait face à des gens qui sont quasiment l'État dans l'État».

Rien sur l'insécurité à Marseille ne soucie Emmanuel Macron.

Derrière la communication sur les succès des opérations et autres coups de force, la publication de nouveaux chiffres donne une image nettement plus nuancée du bilan de l’ancien locataire à la place Beauvau.

À Marseille, un mineur a été recruté sur les réseaux sociaux par un commanditaire lui promettant 50 000 euros en l’échange de l’assassinat d’un membre d’un clan adverse.

Les présents ministres de l'Intérieur et de la Justice veulent-ils épater tout le monde ?