Les Mahorais sont de vrais gens, pas juste des outils rhétoriques désincarnés pour sans-frontiéristes indifférents à leur avenir.

La retraite a remplacé les 35 heures comme sujet obsessionnel. C’est déprimant, mais moins que lorsque les gouvernements chuteront sur l’euthanasie ou la crémation.

Les agences d’intérim tirent le signal d’alarme : le nombre de candidats au job aurait fondu comme neige au soleil.

En 15 ans, la valeur de la monnaie virtuelle est passée d’une fraction de centime à 100 000 dollars et les Français seraient 12 % à en posséder. Ça ne voit pas.

Supprimer un férié tombant le même jour qu’une grève des cheminots serait l’option idéale.

Match France-Israël : confier l’organisation de la 3e mi-temps à la Fi permettrait de distinguer les sionistes des juifs ordinaires avant de les tabasser.

Manifestement, les appels à l’Intifada dans les rues de Paris ont été entendus jusqu’en Hollande.

Au travail, où dans de nombreuses entreprises les réunions s’enchaînent sans pause, toute la journée ou presque.

Retailleau dit qu’il faut craindre une mexicanisation du pays. C’est possible, mais sa canadianisation rampante est tout aussi préoccupante.

L’ensauvagement urbain est moins dérangeant et anxiogène à Paris ou à Marseille qu’à Poitiers ou à Avignon, où il n’y a plus de secteurs préservés.

Le Service national universel vient de s’éteindre et tout le monde s’en contrefiche. Sans doute parce que ça coûtait cher sans servir à grand-chose.

En Allemagne, on taxe les propriétaires d’animaux. En France, Aymeric Caron souhaite leur accorder un crédit d’impôt. Faisons la synthèse.

Pour Ipsos et le CESE, les Français font de moins en moins confiance à la démocratie. Mais peut-on la leur imposer autoritairement ?

Un robot comme domestique et compagnon, c’est juste pratique ou horriblement dystopique ?

Si la République est effectivement menacée lorsqu’une lycéenne frappe une prof qui lui demandait de retirer son voile, ça n'est que par ricochet.

Si l’un de mes enfants, même très doué, envisageait de devenir assassin professionnel, j’essaierai de l’en dissuader. Le métier est mort.

Arrivé en tête à l’état-civil, le second prénom de l’ex-premier flic de France aurait-il été un frein à sa carrière ?

Dans un univers intersectionnel de plus en plus micro-segmenté, il faut savoir choisir son camp.

Personnellement, je ne suis ni violeur potentiel, ni troublé par une hypothétique fraternité avec Dominique Pélicot. Pour Karim Rissouli, ça le regarde.

D’un drame à l’autre, réduire l’insécurité à un "sentiment", c’est ne rien comprendre à la hausse de la température criminelle.