Contenus en rapport avec le mot-clé Politique

Cinquante ans après sa sortie, Les Dents de la mer reste bien plus qu’un film culte : une allégorie puissante sur la peur, le pouvoir et l’obsession humaine à dominer la nature.

Assassiné trois jours après son acquittement pour une caricature anti-Covid, le docteur Conzelmann incarne malgré lui la dérive kafkaïenne de la censure en Allemagne.

La violence endémique, l’effondrement du régalien et la dérive autoritaire des démocraties libérales ne sont pas des accidents, mais les symptômes d’un pouvoir enfermé dans sa propre bulle idéologique.

Le projet de loi de simplification de la vie économique a été, un peu à la surprise générale, adopté par les députés. Il est emblématique du caractère erratique et imprévisible de cette 17e législature, qui met tout le monde au bord du burn-out, mais également de la très grande liberté dont disposent les députés, inédite sous la Ve République.

Bruno Retailleau revendique des résultats concrets sur l’immigration irrégulière. Mais entre déclarations politiques et contraintes juridiques, que peut vraiment un ministre de l’Intérieur face aux limites de l’État de droit ?

Kim Kardashian a dénoncé les pratiques de l’agence américaine Immigration and Customs Enforcement (ICE). Tricia McLaughlin, la secrétaire adjointe aux affaires publiques du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a critiqué l’attitude de Kim Kardashian.

Lucas G. aurait été renvoyé pour avoir dénoncé ses conditions de travail dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. L’Élysée a depuis réagi à la polémique.

En un mois, les députés ont utilisé à quatre reprises la motion de rejet préalable pour écarter des textes avant même leur examen en séance. Cette procédure, détournée de son usage traditionnel, interroge sur la qualité du débat parlementaire et le rôle de contrôle des élus.

Cette semaine, à deux reprises, les députés ont de nouveau rejeté des textes par le biais de la procédure de la motion de rejet préalable. C’est la quatrième fois en un mois, cela commence à devenir une habitude, et surtout, cela interroge.

Le journaliste Jean-Sébastien Ferjou, à propos du relativisme d’Emmanuel Macron : « Ce que recherche Emmanuel Macron, c’est avant tout séduire ou transgresser. »

Aux Pays-Bas, des citoyens ont organisé des contrôles anti-migrants à la frontière, dénonçant l’inaction du gouvernement. Un symptôme de la fracture croissante entre électeurs et partis traditionnels sur la question migratoire.

Lors de la première « Fête de la victoire » organisée par le RN, Marine Le Pen a renoué avec un discours virulent contre l’Union européenne, rompant ainsi avec des années de stratégie de normalisation. En accusant l’UE d’être un « empire marchand, wokiste et ultra-libéral », la cheffe de file du RN semble revenir à ses fondamentaux souverainistes. Faut-il y voir un simple rappel à sa base électorale ou un réel tournant stratégique face à la montée en puissance de Jordan Bardella et à l’évolution du paysage international ?

Cinq questions citoyennes soutenues par syndicats et associations, visant à renforcer le droit du travail et à faciliter la naturalisation de 2,5 millions d’étrangers, ont été anéanties par un taux de participation de seulement 30 % (15,9 % à Bolzano), bien en deçà du quorum requis. Le gouvernement Meloni en sort renforcé, tandis que la gauche s’interroge sur l’avenir du mécanisme référendaire.

Dans un Sahel bousculé par les coups d’État et l’enlisement sécuritaire, la Mauritanie trace un chemin à part. Ce pays charnière entre Maghreb et Afrique subsaharienne, s’affirme comme un modèle de stabilité politique, de diplomatie d’équilibre et d’ambition énergétique. En dépit de défis persistants – changement climatique, pressions migratoires, vulnérabilités économiques – il démontre que l’effondrement n’est pas une fatalité. Une trajectoire qu’il faut lire à travers les faits, les chiffres, et les paris posés sur l’avenir.

Dans une interview en marge du sommet des Nations-Unies, le président de la République a exprimé son mécontentement de voir sa politique « environnementale » détricotée par le Parlement.

À force de reniements politiques, de postures morales à géométrie variable et de renoncements économiques, la France semble s’acheminer vers un effondrement silencieux. Pendant que le pouvoir célèbre des symboles, les entreprises meurent, les territoires se vident et la République recule. Et si le naufrage n’était plus une menace, mais un quotidien ? Entre colère sourde et ironie amère, ce texte est le cri d’alarme d’un entrepreneur pour qui l’agonie du pays ne se lit plus dans les chiffres, mais dans les larmes de ceux qui ferment boutique.

L'État allemand a attribué un prix à une organisation qui le dénonce comme un oppresseur.

C’est presque devenu une habitude. Cela ne devrait pas. Le président américain invective le Banquier central américain, lui reprochant de ne pas assouplir davantage la politique monétaire. Il faut dire que l’indépendance de la Banque centrale n’est pas un sujet tabou pour Donald Trump. Ce n’est même pas un sujet du tout. Idéalement, Donald Trump se verrait bien financer ses plans par de la création de monnaie. Comme s’il avait le droit d’imposer cela à la Banque centrale, et cette dernière le devoir de lui obéir. Jadis, le pape Sylvestre 1er aussi invoqua un droit exorbitant auprès de l’autorité en place. Mais c’était un faux.

Le tandem explosif formé par Donald Trump et Elon Musk n’aura pas résisté aux chocs d’ego, aux désaccords stratégiques et aux ambitions rivales. De conseillers à rivaux, les deux titans de la politique et de la tech s’accusent désormais mutuellement, dans une guerre d’image où se mêlent orgueil blessé, stratégie de communication et appétit de revanche.

Il ne s’agit pas que de mots. L’étiquette infamante "d’extrême droite" est utilisée par les autorités pour justifier des attaques de grande ampleur contre la démocratie.