Contenus en rapport avec le mot-clé Iran

Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Rafael Grossi, a confié au Monde que Téhéran n’était « pas loin » de disposer de la bombe atomique.

Entretien exclusif. Irano-américain, Amir Hamidi est l’un des meilleurs spécialistes des Gardiens de la Révolution islamique. Expert en contre-terrorisme, il a travaillé pour la DEA en tant qu’agent spécial. Plusieurs fois décoré, et réputé pour la qualité de ses analyses prédictives sur le Moyen-Orient, il a aussi collaboré avec le département d'État et le département de la justice américains. Il a également été attaché national à l'ambassade des États-Unis à Abu Dhabi et au consulat général de Dubaï, aux Émirats Arabes Unis.

L'apartheid sexuel est une notion que des personnalités, des ONG et des collectifs d'avocats essaient de faire entrer dans les conventions internationales. Ce levier pourrait faire bouger les lignes dans des pays comme l'Iran, l'Afghanistan ou la Syrie.

Donald Trump a averti lors d’une interview qu’« il y aura des bombardements » en Iran si les négociations en vue d’un accord sur le nucléaire iranien échouaient. Le grand reporter Emmanuel Razavi, auteur de « La Face cachée des Mollahs, Le livre noir de la république islamique d'Iran » (éditions du Cerf), livre son analyse sur la situation.

La fin du régime à Téhéran est une problématique identifiée depuis 7 ans par de hauts représentants du pouvoir. Dès 2018, Nategh Nouri, ancien président de l’Assemblée Nationale, et Javad Amoli, prédicateur de la grande ville religieuse de Qom l’envisageaient. Sept années plus tard, une situation économique aggravée, et des revers significatifs en politique extérieure, rapprochent ce moment fatidique. Une seule solution à court terme pour le guide suprême, dissuader la population de se soulever en accroissant la répression.

Figure de l’opposition iranienne, Abdullah Mohtadi, 76 ans, est le secrétaire général du Parti Komala du Kurdistan Iranien. Mouvement ancré à gauche, ses forces combattantes sont basées au Kurdistan d’Irak, frontalier de l’Iran. Alors que la tension monte entre Washington, Israël et Téhéran, et que la République islamique continue de faire face à un important mouvement de contestation populaire, il a accepté de répondre à un entretien exclusif mené par notre reporter, Emmanuel Razavi. Il revient sur la situation en Iran, et alerte l’occident sur le danger de voir les mollahs se doter de la bombe atomique.

La relation entre Washington et Téhéran est sans cesse plus glaciale. Après des invectives et des frappes menées par les Etats-Unis contre les Houthis, au Yémen, l’Iran, à travers la voix de son ministre des Affaires étrangères, a fait part de son mécontentement.

Les trois pays, qui veulent lutter contre « l’hégémonie américaine », vont organiser des exercices conjoints au large des côtes iraniennes mardi 11 mars pour « renforcer la sécurité régionale ».

A peine l’annonce de la suspension de l’aide à l’Ukraine faite, le président américain a désigné le président russe Poutine comme négociateur en chef pour les discussions sur l'accord nucléaire avec l'Iran.

Mais aussi dans vos hebdos cette semaine : La Croix prévient qu’il ne faut pas sous-estimer le président américain, Challenges explique les méthodes des lobbys qui tiennent la pays, et L’Express atomise le nucléaire français.

Depuis l'élection de Donald Trump, les États-Unis d'Amérique exercent une pression maximale sur le Hamas. Cependant, cela risque de ne pas suffire pour ramener durablement la paix dans la région.

Plusieurs facteurs ont contribué au rapprochement entre la Russie et l'Iran ces dernières années.

Donald Trump a réitéré ses menaces contre le Hamas si les otages ne sont pas libérés d’ici le 20 janvier.

Selon Behrouz Esbati, le commandant en chef des forces armées iraniennes, Téhéran a subi une « défaite majeure » en Syrie.

Après la réautorisation des applications Whatsapp et Google Play le 24 décembre 2024, les Iraniens espèrent qu'il s'agit « d'une première étape » vers d'autres levées de restrictions.

Jimmy Carter, 39e président des États-Unis, s’est éteint le 29 décembre 2024 à l’âge vénérable de 100 ans dans sa ville natale de Plains, en Géorgie. Sa vie et sa carrière, empreintes de réalisations remarquables, mais aussi parsemées de controverses et de revers, ont façonné un héritage d’une complexité singulière.

Pour le grand reporter franco-iranien Emmanuel Razavi, l’année 2024 marque l’affaissement incontestable de la République islamique d’Iran, alors que les mollahs sont en proie à une contestation populaire sans précédent, et qu’ils ont subi les défaites historiques de leurs proxys et de leur allié syrien, le tyran Bachar el-Assad. Selon lui, il appartient désormais à la communauté internationale d’aider les Iraniens à mettre un terme à 45 ans d’une théocratie religieuse sanglante, qui martyrise sa population et sème le désordre au Moyen-Orient.

La fabrique de la propagande étrangère en Iran est une histoire peu connue, qui repose notamment sur une magnification pratiquée par l'intelligentsia française de l'époque. Ce qu'il faut savoir.

L'ouverture d'une « clinique de traitement du retrait du hijab » destinée à « offrir un traitement scientifique et psychologique » aux femmes iraniennes qui refusent de porter le hijab a été annoncée en novembre.

En quoi la chute du régime syrien impacte-t-il le régime iranien ? Emmanuel Razavi, Grand reporter franco-iranien spécialiste du Moyen-Orient, qui couvre l’actualité iranienne notamment pour Paris Match, et qui a publié « La face cachée des Mollahs » (Cerf), répond à nos questions.