Israël et le Hamas ont officialisé, jeudi, l’entrée en vigueur de la première phase du plan de paix de Donald Trump, prévoyant un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages détenus depuis deux ans. L’annonce, survenue après quatre jours de négociations en Égypte, a provoqué des scènes de joie simultanées à Tel-Aviv et dans la bande de Gaza, deux territoires meurtris par une guerre qui a fait plus de 68 000 morts depuis 2023.

Il y a deux ans, le Hamas lançait une attaque d’une ampleur inédite contre Israël. En quelques heures, le mouvement islamiste palestinien frappait des bases militaires, des villages et un festival de musique, faisant près de 1 200 morts et plus de 250 otages. Un assaut qui a bouleversé durablement la région et ouvert une nouvelle ère de guerre.

Alors que le royaume nordique fait face à une recrudescence de survols de drones au-dessus de sites sensibles, Copenhague accueille cette semaine des dizaines de dirigeants européens. Au menu : renforcement de la défense du continent, projet de “mur antidrones” et soutien continu à l’Ukraine face à la Russie.

Alors qu’une flottille internationale tentait d’acheminer de l’aide humanitaire vers Gaza, la marine israélienne a intercepté plusieurs bateaux dans la nuit de jeudi. L’opération, menée au large de la Méditerranée, a déclenché une vague de protestations dans plusieurs capitales européennes et ravivé les débats sur la légalité du blocus imposé à l’enclave palestinienne.

Les images du séisme impressionnant mesuré à 6.9 sur l'échelle de Richter, qui a frappé une île des Philippines le 30 septembre 2025. Le bilan provisoire fait état de 70 victimes mais pourrait s’alourdir fortement étant donné les difficultés des opérations de secours en pleine nuit.

Devant les généraux de l'armée américaine, Donald Trump revendique sa volonté d'arrêter la guerre au Moyen-Orient grâce à son plan de paix pour Gaza, mardi 30 septembre.

Donald Trump a présenté un plan global pour mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, promettant une démilitarisation supervisée et une gouvernance transitoire internationale. Soutenu par Israël et plusieurs pays arabes, ce projet ambitieux attend désormais la réponse du Hamas, dont l’adhésion conditionne l’entrée en vigueur immédiate du cessez-le-feu.

Le président américain a pris la parole à la tribune des Nations unies ce mardi 23 septembre pour un discours très attendu.

L’annonce d’Emmanuel Macron à la tribune des Nations unies, lundi 22 septembre, marque un tournant : la France reconnaît officiellement l’État de Palestine, rejoignant ainsi une série de pays occidentaux comme le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie ou le Portugal. Une décision qualifiée d’« historique et courageuse » par l’Autorité palestinienne, mais qui divise profondément la scène internationale et fracture la classe politique française.

Ce lundi 22 septembre, la France doit reconnaître l'État de Palestine à l'ONU par la voix d'Emmanuel Macron. Pour soutenir cette décision diplomatique, plusieurs mairies ont décidé de pavoiser leur devanture d'un drapeau palestinien. Un geste interdit par le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, mais que certains édiles ont quand même appliqué.

Dans un message vidéo diffusé lors d’un événement parisien organisé par Marion Maréchal, la première ministre italienne a exprimé son souhait de voir émerger en France un gouvernement conservateur «fort et crédible». Elle a profité de l’occasion pour vanter son bilan et réaffirmer sa volonté de remodeler l’Europe.

En déplacement officiel à Londres, le président américain a exprimé sa « déception » à l’égard de Vladimir Poutine, qu’il accuse de l’avoir « laissé tomber » sur la question ukrainienne. Entre divergences diplomatiques, désaccords sur la Palestine et rapprochement économique spectaculaire, la rencontre entre Donald Trump et le Premier ministre britannique Keir Starmer a mis en lumière les ambiguïtés de l’alliance transatlantique.

Première femme présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum a présidé pour la première fois les commémorations de l’indépendance. Face aux pressions américaines, elle a martelé que « aucune ingérence n’est possible dans notre patrie ».

L’armée israélienne a lancé mardi une nouvelle offensive terrestre sur Gaza, qualifiée de « centre névralgique » du Hamas. Des frappes massives ont poussé plus d’un tiers de la population de la ville à fuir, dans un contexte humanitaire catastrophique qui suscite de vives critiques internationales.

Benjamin Netanyahu assume la frappe israélienne contre des dirigeants du Hamas à Doha et prépare une offensive majeure sur la ville de Gaza. Soutenu publiquement par Washington mais mis en garde par Donald Trump, le Premier ministre israélien s’accroche à une ligne dure, quitte à accentuer les tensions régionales.

La capitale britannique a connu ce samedi l’une des plus vastes manifestations d’extrême droite de ces dernières années. Jusqu’à 150 000 personnes ont défilé dans les rues de Londres à l’appel de Tommy Robinson, figure controversée de la mouvance nationaliste et anti-islam.

Marqué par des manifestations meurtrières, le Népal est plongé dans une crise sociale et politique. Une nouvelle Première ministre a été nommée vendredi.

La traque se poursuit dans l’Utah. Depuis mercredi, les forces de l’ordre mènent une chasse à l’homme d’une ampleur rare après la fusillade qui a coûté la vie à l’activiste conservateur Charlie Kirk, 31 ans, abattu en plein jour sur le campus de l’Utah Valley University.

Israël a confirmé mardi avoir mené une frappe aérienne au Qatar visant des responsables du Hamas. Une attaque sans précédent qui a immédiatement provoqué une vague de condamnations internationales, le Qatar étant jusque-là considéré comme un acteur central des efforts de médiation dans le conflit de Gaza.

L’opération coup de poing menée par la police de l’immigration américaine dans une usine de batteries en Géorgie a provoqué une onde de choc jusqu’à Séoul. Parmi les 475 travailleurs arrêtés jeudi, plus de 300 seraient sud-coréens. Le gouvernement de Séoul a exprimé samedi sa « profonde préoccupation » et promet une mobilisation diplomatique face à ce qu’il considère comme un traitement injuste de ses ressortissants.