<p>Les d&eacute;put&eacute;s ont vot&eacute; ce mardi le projet de loi sur le s&eacute;paratisme apr&egrave;s 135 heures de d&eacute;bats et plus de 300 amendements adopt&eacute;s. Ce texte est-il suffisant pour lutter contre l'islamisme ? Cette question &eacute;tait au c&oelig;ur d&rsquo;un d&eacute;bat sur BFMTV ce mardi.</p>
<p>Magali Chalais, journaliste &agrave; BFMTV, Christophe Barbier, &eacute;ditorialiste politique BFMTV, Fran&ccedil;ois Pupponi, d&eacute;put&eacute; Modem du Val-d&rsquo;Oise, ancien maire de Sarcelles et Jean-S&eacute;bastien Ferjou, directeur de la publication d'Atlantico ont particip&eacute; &agrave; ce d&eacute;bat.</p>
<p>Le texte pr&eacute;sent&eacute; par l'ex&eacute;cutif pour &laquo; conforter le respect des principes r&eacute;publicains &raquo; a &eacute;t&eacute; adopt&eacute; mardi avec 347 voix pour. Au total, 151 &eacute;lus ont vot&eacute; contre et 65 se sont abstenus - les restants n'ont pas pris part au vote -, avant le passage du texte au S&eacute;nat &agrave; partir du 30 mars.</p>
<p>Jean-S&eacute;bastien Ferjou s&rsquo;est notamment exprim&eacute; sur ce nouvel arsenal juridique et sur la volont&eacute; politique&nbsp;derri&egrave;re ce projet de loi :</p>
<p>&laquo;&nbsp;C&rsquo;est un projet de loi utile (&hellip;) Est-il suffisant&nbsp;? Non, mais ce n&rsquo;est pas n&eacute;cessairement la responsabilit&eacute; de ce gouvernement l&agrave; en particulier. On a tendance en France, c&rsquo;est une maladie, &agrave; penser que les lois vont tenir lieu de volont&eacute; politique. Ce qui compte c&rsquo;est la volont&eacute; avec laquelle on applique les choses&nbsp;&raquo;.</p>
<p>Jean-S&eacute;bastien Ferjou a &eacute;galement &eacute;voqu&eacute; le cas et le r&ocirc;le de l&rsquo;Observatoire de la la&iuml;cit&eacute; et de la D&eacute;fenseure des droits qui peuvent parfois &ecirc;tre en contradiction avec l'action du gouvernement. &nbsp;&nbsp;</p>

Le projet de loi sur le séparatisme est-il suffisant pour lutter efficacement contre l'islamisme ?

projet de loi visant à conforter les principes républicains

Assemblée nationale

France

Société

Religion

Jean-Sébastien Ferjou débat projet de loi séparatisme 16 fevrier

<p>Avec les c&eacute;r&eacute;monies du Nouvel An lunaire en ce mois de f&eacute;vrier 2021, les autorit&eacute;s chinoises ont exhort&eacute; les familles &agrave; ne pas voyager, un an apr&egrave;s le d&eacute;but de la pand&eacute;mie de Covid-19, comme le montre ce reportage de la r&eacute;daction de France 24. Les festivit&eacute;s avaient &eacute;t&eacute; annul&eacute;es l&rsquo;an dernier.</p>
<p>Les traditionnels voyages pour rendre visite &agrave; ses proches et &agrave; sa famille &agrave; l'occasion du Nouvel An lunaire ne sont pas recommand&eacute;s pour cette ann&eacute;e 2021 en Chine.</p>
<p>Le gouvernement chinois a d&eacute;clar&eacute; que "rester chez soi est un devoir", sans toutefois obliger les Chinois. Les autorit&eacute;s ont &eacute;galement exhort&eacute; la population &agrave; &eacute;viter les grands rassemblements festifs, en raison de la r&eacute;surgence et du risque persistant de la pand&eacute;mie.</p>
<p>Certaines entreprises offrent d&rsquo;ailleurs des cadeaux et des bonus &agrave; leurs employ&eacute;s pour les dissuader d'aller en province &agrave; l&rsquo;occasion du Nouvel an lunaire.</p>
<p>La r&eacute;daction de France 24 a recueilli les t&eacute;moignages de jeunes chinois ayant accept&eacute; de rester &agrave; P&eacute;kin pour les f&ecirc;tes.</p>
<p>La Chine s'appr&ecirc;te &agrave; entrer dans l'ann&eacute;e du buffle de m&eacute;tal.</p>
<p>Une centaine de nouveaux cas de Covid-19 ont &eacute;t&eacute; d&eacute;tect&eacute;s &agrave; P&eacute;kin au d&eacute;but du mois.</p>
<p>Selon des informations d&rsquo;Europe 1, 85% des P&eacute;kinois ont annul&eacute; leur voyage en province dans le cadre du Nouvel an lunaire.</p>
<p>Le Nouvel an chinois est traditionnellement la plus grande transhumance du monde avec trois milliards de voyages. Pour beaucoup de familles, il s&rsquo;agit du seul moment de l'ann&eacute;e o&ugrave; il est possible de se retrouver.</p>

Nouvel an chinois 2021 : avec la menace de la pandémie, les familles sont appelées à ne pas voyager

Année du buffle de métal 

Santé

Nouvel an chinois nouvel an lunaire 2021 France 24

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<div dir="ltr" data-setdir="false">Geoffroy Roux de B&eacute;zieux, le pr&eacute;sident du Medef, &eacute;tait l'invit&eacute; du Grand entretien de France Inter ce jeudi 11 f&eacute;vrier.</div>
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<div dir="ltr" data-setdir="false">&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Il a notamment &eacute;t&eacute; interrog&eacute; sur l'impact de la crise sanitaire et sur les solutions pour le monde d'apr&egrave;s. Selon Geoffroy Roux de B&eacute;zieux, "on parle beaucoup du monde d'apr&egrave;s, il faut r&eacute;fl&eacute;chir au monde d'avec [le virus]".</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">La question des hausses d'imp&ocirc;ts a notamment &eacute;t&eacute; &eacute;voqu&eacute;e. Le pr&eacute;sident du Medef serait favorable au fait de faire contribuer un plus grand nombre de personnes, d'&eacute;largir la base face aux perspectives de la dette li&eacute;e &agrave; la pand&eacute;mie de Covid-19.&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">&nbsp;</div>
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Augmenter les impôts pour rembourser la dette ? : "La bonne solution, c'est faire contribuer tout le monde", selon Geoffroy Roux de Bézieux

Quoi qu'il en coûte ?

Economie

Social

Geoffroy Roux de Bézieux 11 février

<p>Sur TikTok, une nouvelle tendance conna&icirc;t un franc succ&egrave;s. Le &laquo; silhouette challenge &raquo; est parfois r&eacute;alis&eacute; dans un but humoristique ou artistique. Certains utilisateurs ont n&eacute;anmoins d&eacute;cid&eacute; de s&rsquo;exposer un peu plus dans la seconde partie de leurs vid&eacute;os mises en ligne. Certains internautes malveillants parviennent &agrave; contourner le filtre rouge de ces vid&eacute;os, selon des informations du Huffington Post.</p>
<p>Ce challenge est un d&eacute;riv&eacute; de &laquo; l&rsquo;anime challenge &raquo;, n&eacute; durant l&rsquo;&eacute;t&eacute; 2020. Les utilisateurs de TikTok posent dans l&rsquo;obscurit&eacute; pr&egrave;s d&rsquo;une fen&ecirc;tre ou une porte, sur une premi&egrave;re s&eacute;quence.&nbsp;Dans la seconde s&eacute;quence de la vid&eacute;o, on voit appara&icirc;tre leurs personnages de s&eacute;ries anim&eacute;es japonaises tout pr&egrave;s d&rsquo;eux, comme s&rsquo;il &eacute;tait r&eacute;el. Les utilisateurs de TikTok utilisaient le potentiel artistique de ce d&eacute;fi.</p>
<p>Les personnages de s&eacute;ries anim&eacute;es ont &eacute;t&eacute; remplac&eacute;s par des poses parfois suggestives des utilisateurs dans le cadre du &laquo; silhouette challenge &raquo;. Appliqu&eacute; sur leurs TikToks, le filtre &laquo; Vin Rouge &raquo; disponible sur Snapchat a pouss&eacute; certains utilisateurs &agrave; se d&eacute;nuder partiellement ou compl&egrave;tement pour r&eacute;aliser une vid&eacute;o artistique ou suggestive, les d&eacute;tails de leur corps n&rsquo;&eacute;tant plus visibles.</p>
<p>Si l&rsquo;identit&eacute; des utilisateurs est normalement pr&eacute;serv&eacute;e gr&acirc;ce au filtre et l'ombre g&eacute;n&eacute;r&eacute;e sur les corps, de nombreux internautes alertent n&eacute;anmoins sur la potentielle dangerosit&eacute; du &laquo; silhouette challenge &raquo;.</p>
<p>Depuis une semaine, des dizaines de vid&eacute;os ont &eacute;t&eacute; publi&eacute;es sur Youtube. Elles permettent de d&eacute;couvrir une m&eacute;thode pour retirer le filtre rouge sur les vid&eacute;os de &laquo; silhouette challenge &raquo;.&nbsp;Des internautes malveillants d&eacute;voilent comment il est possible de retirer en quelques clics le filtre &laquo;&nbsp;Vin Rouge&nbsp;&raquo; qui dissimule les d&eacute;tails du corps des utilisateurs de TikTok.</p>
<p>Ces images sans le filtre pourraient &ecirc;tre r&eacute;utilis&eacute;es ou partag&eacute;es &agrave; des fins malveillantes.</p>

TikTok : le « silhouette challenge » peut être détourné par des personnes malveillantes

Vidéos virales

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Silhouette challenge TikTok

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<div>Natacha Polony, la directrice de la r&eacute;daction de l'hebdomadaire Marianne, &eacute;tait l'invit&eacute;e de France Inter ce mercredi 3 f&eacute;vrier. Elle vient de publier "Sommes-nous encore en d&eacute;mocratie ?" aux &eacute;ditions de l'Observatoire.</div>
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<div dir="ltr" data-setdir="false">Elle a notamment &eacute;t&eacute; interrog&eacute;e sur la crise sanitaire et sur l'impact de la pand&eacute;mie pour nos institutions et notre d&eacute;mocratie.&nbsp;&nbsp;</div>
<div>&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Selon Natacha Polony, "la fa&ccedil;on dont la crise du coronavirus a fait exploser nos syst&egrave;mes montre qu&rsquo;en fait, tout cela n&rsquo;&eacute;tait pas pr&eacute;vu. On s&rsquo;est aper&ccedil;u avec ce virus qu&rsquo;avoir d&eacute;sindustrialis&eacute; la France pendant 30 ans, c&rsquo;&eacute;tait une &acirc;nerie. Jusqu&rsquo;&agrave; pr&eacute;sent, quand on le disait, on &eacute;tait r&eacute;actionnaire ou r&eacute;trograde !".&nbsp;</div>
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<div style="position: relative; padding-bottom: 56.25%; height: 0; overflow: hidden;"><iframe style="width: 100%; height: 100%; position: absolute; left: 0px; top: 0px; overflow: hidden;" src="https://www.dailymotion.com/embed/video/x7z2wri?autoplay=1" width="100%" height="100%" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"> </iframe></div>
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Natacha Polony : "On s'est aperçu avec ce virus qu'avoir désindustrialisé la France pendant 30 ans était une ânerie, sauf que, quand on le disait, on était réactionnaire, rétrograde"

Leçons de la pandémie

Politique

Natacha Polony France Inter 3 février 2021

<div>G&eacute;rald Darmanin &eacute;tait l'invit&eacute; de Pascal Praud, dans L'Heure des pros ce mardi sur CNews.&nbsp;G&eacute;rald Darmanin a notamment &eacute;t&eacute; interrog&eacute; sur la lutte contre le s&eacute;paratisme et sur les atouts du projet de loi pr&eacute;sent&eacute; &agrave; l'Assembl&eacute;e nationale.&nbsp;</div>
<div>&nbsp;</div>
<div>Selon G&eacute;rald Darmanin, "demain nous pourrons dissoudre bien plus facilement les associations et notamment les officines islamistes".&nbsp;</div>
<div>&nbsp;</div>
<div>Le projet de loi "confortant le respect des principes r&eacute;publicains", dit "s&eacute;paratismes", est examin&eacute; depuis lundi &agrave; l'Assembl&eacute;e nationale pour une p&eacute;riode de deux semaines.&nbsp;</div>
<div>&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Le ministre de l'Int&eacute;rieur vient de publier&nbsp;<em>Le s&eacute;paratisme islamiste. Manifeste pour la la&iuml;cit&eacute;</em>&nbsp;aux &eacute;ditions de l'Observatoire.&nbsp;</div>

Gérald Darmanin : "Demain nous pourrons dissoudre bien plus facilement les associations et notamment les officines islamistes" 

Ministre de l'Intérieur

Gérald Darmanin ministre de l'Intérieur CNEWS

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<div>Le projet de loi confortant les principes r&eacute;publicains arrive devant les d&eacute;put&eacute;s en premi&egrave;re lecture ce lundi 1er f&eacute;vrier. Le texte vise notamment &agrave; lutter contre le s&eacute;paratisme et &agrave; mettre fin &agrave; l&rsquo;influence de l&rsquo;islamisme en France. Les d&eacute;bats devraient &ecirc;tre anim&eacute;s &agrave; l'Assembl&eacute;e nationale.</div>
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<div dir="ltr" data-setdir="false">G&eacute;rald Darmanin &eacute;tait l'invit&eacute; de France Inter ce lundi 1er f&eacute;vrier. Il a notamment &eacute;voqu&eacute; le contexte dans lequel s'inscrit le projet de loi. G&eacute;rald Darmanin a indiqu&eacute; qu'il constatait que la R&eacute;publique &eacute;tait "moins pr&eacute;sente dans les faits et dans les t&ecirc;tes".</div>
<div>&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Le ministre de l'Int&eacute;rieur, G&eacute;rald Darmanin, vient de publier "Le S&eacute;paratisme islamiste. Un manifeste pour la la&iuml;cit&eacute;" aux &eacute;ditions de l&rsquo;Observatoire.</div>
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<div dir="ltr" data-setdir="false">&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Lors de cet entretien sur France Inter, G&eacute;rald Darmanin a &eacute;galement d&eacute;fendu la strat&eacute;gie du gouvernement sur l'encadrement de l'&eacute;cole &agrave; domicile :&nbsp;</div>
<div>&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">"On n'interdit pas l'&eacute;cole &agrave; domicile, mais [il faut] que les contr&ocirc;les puissent &ecirc;tre davantage faits".&nbsp;</div>
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<div dir="ltr" data-setdir="false"><iframe src="https://www.youtube.com/embed/_9SM8kcHFD0" width="560" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></div>
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Gérald Darmanin constate "une République moins présente dans les faits et dans les têtes"

Projet de loi

Gérald Darmanin constate "une république moins présente dans les faits et dans les têtes" projet de loi séparatisme ministre de l'intérieur

Gérald Darmanin France inter 1er février

<p>Emmanuel Macron a publi&eacute; ce samedi 23 janvier une vid&eacute;o &agrave; destinations des personnes victimes d'inceste ou de crimes sexuelles lorsqu'elles &eacute;taient mineures, en r&eacute;action aux milliers de t&eacute;moignages qui ont &eacute;merg&eacute; depuis le d&eacute;clenchement de l'affaire Duhamel. Dans cette intervention d'un peu plus de 2 minutes, intitul&eacute;e "La parole se lib&egrave;re. Gr&acirc;ce au courage", le pr&eacute;sident de la R&eacute;publique d&eacute;clare que "ces t&eacute;moignages, ces paroles, ces cris, plus personne ne peut les ignorer."</p>
<p>"Nous avons allong&eacute; le d&eacute;lai de prescription &agrave; 30 ans &agrave; compter de la majorit&eacute;. Nous avons durci les contr&ocirc;les pour les professionnels au contact des enfants. Beaucoup a &eacute;t&eacute; fait. Il nous faut faire plus", explique le pr&eacute;sident de la R&eacute;publique. Il promet ainsi que&nbsp; deux rendez-vous de d&eacute;pistage et de pr&eacute;vention contre les violences sexuelles faites aux enfants - l&rsquo;un au primaire, l&rsquo;autre au coll&egrave;ge - seront mis en place pour tous, dans le cycle de visites m&eacute;dicales obligatoires existantes. Les soins psychologiques des enfants victimes de violences sexuelles seront aussi rembours&eacute;s, annonce-t-il.</p>
<p>"Il nous faut adapter notre droit pour mieux prot&eacute;ger les enfants victimes d'inceste et de violences sexuelles. C&rsquo;est un sujet complexe. J&rsquo;ai demand&eacute; aux ministres &Eacute;ric Dupond-Moretti et Adrien Taquet de mener une consultation qui devra d&eacute;boucher rapidement sur des propositions."</p>

Inceste : Emmanuel Macron salue le courage des victimes et demande une adaptation du droit

Violences sexuelles sur mineurs

vidéo

<p>John Dillermand, le héros d'un dessin animé pour enfants diffusé depuis quelques jours au Danemark, a une drôle de caractéristique : il a&nbsp;"le zizi le plus long du monde". Un appendice qui lui permet de se sortir de nombreuses situations rocambolesques ou d'aider les personnes qu'il rencontre.</p>

<p>Destiné aux 4-8 ans, ce programme&nbsp;diffusé sur la chaîne publique DR Ramasjang crée la polémique. De nombreux internautes estiment en effet que "regarder les parties génitales des hommes adultes devrait être transformé en quelque chose de commun pour les enfants".</p>

<p>La direction de la chaîne a répondu qu'elle considère que "c'est une tâche importante de pouvoir raconter des histoires sur le corps" et estime qu'avec cette série, elle répond à&nbsp;"la curiosité naissante pour le corps et les organes génitaux, ainsi que l'embarras et le plaisir du corps."</p>

<p>"Ce débat part de la perspective des adultes, dans laquelle le long pénis est sexualisé, alors que les enfants en ont une perspective totalement différente", a réagi auprès de l'AFP&nbsp;Sofie Münster, spécialiste de l'éducation nordique.</p>


Un dessin animé dont le héros a "le zizi le plus long du monde" fait polémique au Danemark

John Dillermand

Europe

<p class="lettrine lettrine">Le président de la Ligue nationale contre le cancer, Axel Kahn, était l’invité de Laurence Ferrari&nbsp;sur CNews ce mardi 5 janvier.</p>

<p>Axel Kahn est notamment revenu sur les inquiétudes liées aux nouveaux variants de la Covid-19 en provenance du Royaume-Uni et d’Afrique du Sud&nbsp;:</p>

<p>« Il y a une menace importante celles des nouveaux variants […] et par conséquent il y a une urgence qui est toute nouvelle qui amène à changer les priorités ».</p>

<p>Axel Kahn s’est montré optimiste sur la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France. Il rappelle néanmoins certaines difficultés logistiques et les tensions ainsi que&nbsp;les critiques sur le débat sur la stratégie vaccinale :</p>

<p>« On entend parfois des propositions : vacciner tout le monde, tous ceux qui le demandent. J’y serais favorable, mais il ne faut pas rêver, le «&nbsp;y'a qu'à, faut qu'on&nbsp;» ne mène jamais une politique sanitaire ».</p>

<p>Axel Kahn a évoqué la situation de la crise sanitaire en France et les perspectives de sortie de crise :</p>

<p>« Tout va se jouer sur les quatre prochains mois. On a encore jusqu’à avril-mai des moments sans-doute encore difficiles, périlleux à vivre ».</p>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595168/vaccination--le-modele-israelien-strategie-israel-tel-aviv-jerusalem-dose-vaccin-covid-19-coronavirus-pfizer-population-pandemie-virus-charles-reviens-hagay-sobol-" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Vaccination : le modèle israélien</a></h3>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595170/epidemie-hors-de-controle--mais-que-se-passe-t-il-vraiment-au-royaume-uni--variant-reconfinement-angleterre-londres-premier-ministre-boris-johnson-covid-19-coronavirus-claude-alexandre-gustave" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Épidémie hors de contrôle : mais que se passe-t-il vraiment au Royaume-Uni ?</a></h3>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595135/vaccins--quasi-impuissance-des-politiques-face-a-l-inertie-de-l-administration-peut-on-y-croire--vaccination-gouvernement-covid-19-coronavirus-sante-crise-sanitaire-pierre-bentata-charles-reviens-eric-verhaeghe" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Vaccins : (quasi) impuissance des politiques face à l’inertie de l’administration. Peut-on y croire ?</a></h3>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595139/covid-19--les-dessous-et-rates-conceptuels-du-plan-de-vaccination-francais-organisation-methode-pfizer-biontech-pasteur-ars-hopital-coronavirus-gestion-guy-andre-pelouze" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Covid-19 : les dessous et ratés conceptuels du plan de vaccination français</a></h3>


Lutte contre la Covid-19 : Axel Kahn estime que « tout va se jouer sur les quatre prochains mois » coronavirus covid-19 vaccin pandémie pfizer biontech france vaccinodrome calendrier

<p class="lettrine lettrine">Le généticien Axel Kahn, président de la Ligue nationale contre le cancer, était invité sur Europe 1 ce mercredi. Il a été interrogé par le journaliste François Clauss sur la vaccination en France et sur le consentement.</p>

<p>Axel Kahn déplore la stratégie, trop prudente selon lui, du gouvernement français sur la vaccination contre le coronavirus, notamment en matière de communication&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;Elle n’est pas adaptée à une situation qui est très périlleuse. [...] Ça n’est pas en avançant à tout petit pas qu’on arrivera à les convaincre, au contraire. On va les convaincre qu’en effet, si on va si lentement, c’est qu’on n’est pas sûr de soi et qu’il y a un danger. [...]&nbsp;Parfois, quand j’entends la communication sur tous les dangers possibles du vaccin, les précautions, le fait qu'on peut déclarer des d’effets indésirables, le fait qu’on est prêt à arrêter la vaccination, les 100 personnes qui ont été vaccinées alors qu’il y a déjà plus de 5 millions de personnes vaccinées dans le monde... Je ne comprends pas ».</p>

<p>Il a également évoqué la «&nbsp;lourdeur&nbsp;» de la stratégie du consentement face à l’ampleur de la tâche à accomplir dans le cadre de la vaccination à l’échelle du pays. &nbsp;</p>


Axel Kahn vaccination covid-19 Europe 1

Vaccination : Axel Kahn déplore « une très importante erreur stratégique » du gouvernement coronavirus covid-19 vaccin communication transparence effets secondaires

Communication hésitante

Vaccination : Axel Kahn déplore « une très importante erreur stratégique » du gouvernement

Stratégie vaccinale

Science

Lutte contre la Covid-19 : Axel Kahn estime que « tout va se jouer sur les quatre prochains mois »

Axel Kahn CNews janvier 2020

<p class="lettrine lettrine lettrine lettrine">Le professeur Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital Georges Pompidou, était l'invité de Laurence Ferrari sur CNews ce lundi 4 janvier. Lors de cet entretien, le professeur Juvin est notamment revenu sur la stratégie vaccinale en France et sur la lenteur du processus, dénoncée par de nombreux observateurs :&nbsp;</p>

<p>« C’est une déroute […] Nous n’avons ni la confiance, ni la logistique ».&nbsp;</p>

<p>Il déplore notamment le poids de la bureaucratie.</p>

<p>Philippe&nbsp;Juvin a été vacciné ce week-end contre la Covid-19. Il a annoncé son intention de déployer un plan de vaccination dans sa commune.&nbsp;</p>

<p>Le professeur Philippe Juvin publie cette semaine « Je ne tromperai jamais leur confiance » aux éditions Gallimard.&nbsp;</p>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595135/vaccins--quasi-impuissance-des-politiques-face-a-l-inertie-de-l-administration-peut-on-y-croire--vaccination-gouvernement-covid-19-coronavirus-sante-crise-sanitaire-pierre-bentata-charles-reviens-eric-verhaeghe" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Vaccins : (quasi) impuissance des politiques face à l’inertie de l’administration. Peut-on y croire ?</a></h3>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595139/covid-19--les-dessous-et-rates-conceptuels-du-plan-de-vaccination-francais-organisation-methode-pfizer-biontech-pasteur-ars-hopital-coronavirus-gestion-guy-andre-pelouze" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Covid-19 : les dessous et ratés conceptuels du plan de vaccination français</a></h3>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/decryptage/3595140/le-scandale-des-vaccins-plus-grave-que-celui-des-masques-ou-des-tests-demontre-une-fois-de-plus-l-incapacite-de-l-administration-a-gerer-la-crise-covid-19-coronavirus-sante-plan-de-vaccination-pfizer-biontech-jean-marc-sylvestre" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Le scandale des vaccins, plus grave que celui des masques ou des tests, démontre une fois de plus l’incapacité de l’administration à gérer la crise</a></h3>


Plan de vaccination en France : « C’est une déroute », selon le professeur Philippe Juvin CNews Laurence Ferrari covid-19 coronavirus pfizer biontehc ehpad bureaucratie

Vaccination Covid Paris - AFP

Vaccins : impuissance des politiques face à l’inertie de l’administration

Lenteur bureaucratique

Vaccins : (quasi) impuissance des politiques face à l’inertie de l’administration. Peut-on y croire ?

<p class="lettrine lettrine lettrine lettrine">Que la population soit méfiante à l’égard d’un vaccin totalement nouveau c’est normal, mais que le gouvernement soit incapable de comprendre l‘impatience des Français à être protégés et sécurisés contre la menace de la Covid-19 est désormais un vrai scandale. <strong>Ce lundi, la France aura réussi à vacciner 350 personnes.</strong> Les Allemands en sont à 80&nbsp;000 , Israël a déjà protégé 1 million de ses habitants, les États-Unis plus de 2 millions.</p>

<p>De tous les pays les plus développés, la France est le plus en retard avec aucune certitude de pouvoir rattraper ce retard. &nbsp;</p>

<p><strong>«&nbsp;A ce rythme-là, nous aurons besoin de 5000 ans pour mettre à l</strong><strong>’abri tous les Français&nbsp;</strong>». Le coup de gueule de l’ancien directeur de la santé résume à lui tout seul la gravité de la situation dans laquelle on est plongé.</p>

<p><strong>La France réécrit avec les vaccins un scénario</strong><strong> qu</strong><strong>’elle avait déjà joué avec les masques et les tests.</strong> En février et mars, alors que les populations mondiales s’équipent en masques et multiplient les gestes barrières, les dirigeants français nous expliquent que les masques ne servent à rien et que de toute façon, les Français n’aiment pas ce type de contrainte &nbsp;La vérité est que nous n’avions pas de masques en stock, ni de gel hydro-alcoolique.</p>

<p>Un mois plus tard, alors que la plupart des Européens organisent des campagnes de tests et procèdent à l’isolement des sujets positifs pour casser la chaine de contamination, nos dirigeants nous expliquent que le setting n’est pas urgent et que l’isolation des cas Covid ne sera pas apprécié par la population pour cause de protection de la liberté individuelle. La vérité, c’est que nous n’avions ni tests, ni logiciel de traçage, ni équipement pour procéder à l’isolement. On a préféré les procédures de confinement qui enferment tout le monde.</p>

<p>Aujourd’hui, on assiste au même film, saison 3, consacrée aux vaccins. <strong>Alors que le monde entier s</strong><strong>’est réjoui de la découverte du vaccin, que toutes les communautés scientifiques se félicitent de cette découverte tr</strong><strong>ès rapide et que tr</strong><strong>ès logiquement, chaque gouvernement sort le carnet de ch</strong><strong>è</strong><strong>ques pour passer commande et se pré</strong><strong>pare à mettre en place les logistiques, </strong>les procédures de campagne pour être prêt le jour J.</p>

<p>On constate qu’en France, tout le monde parle et débat mais personne ne se prépare vraiment. <strong>Le gouvernement dé</strong><strong>cide d</strong><strong>’une stratégie (les Ehpad), s</strong><strong>’</strong><strong>aperçoit qu’elle ne fonctionne pas et décide donc d</strong><strong>’en changer en passant par les médecins de ville, puis prend conscience que les médecins de ville n</strong><strong>’auront pas les appareils de conservation au grand froid qu</strong><strong>’il faut, donc le gouvernement prépare dans le plus grand cafouillage des centres de vaccination.</strong> Tout cela au vu et au sus d’une population médusée qui ne comprend strictement rien à toutes ces difficultés.</p>

<p>On apprendra sans doute dans les jours qui viennent que la France n’a rien préparé sur le terrain, pas même les appels d’offre pour sélectionner les transporteurs de vaccins, on apprendra sans doute que la France a fait pression à Bruxelles pour retarder les commandes Pfizer et attendre l’arrivée du vaccin Sanofi qui ne sera pas prêt avant la fin de l’année. Aucun membre du gouvernement n’osera en parler. Pour le savoir, il faut lire la presse allemande, italienne ou britannique.</p>

<p>Les membres du gouvernement préfèrent annoncer qu’ils tiennent compte des réticences des Français à se faire vacciner en s’appuyant sur un sondage déjà ancien qui indiquait que 60% des Français refuseraient de se faire vacciner. Il faut dire qu’aucun membre du gouvernent français s’est décalé volontaire pour se faire vacciner alors que l’exemplarité eut été le meilleur outil de pédagogie.</p>

<p><strong>L</strong><strong>’opinion des Français sur la vaccination est tr</strong><strong>ès complexe à </strong><strong>analyser mais grosso modo, l</strong><strong>’opposition n</strong><strong>’est évidemment pas de l</strong><strong>’ampleur de ce qu’on a raconté. </strong></p>

<p>Les vaccins sont incontestablement l’une des plus grandes réussites de la médecine moderne. Tout le monde le sait La vaccination a permis d’éviter des millions de morts de maladies, dont la variole, la poliomyélite, la diphtérie ou le tétanos dans la plupart des pays développés. Chez les personnes âgées, la mortalité due à la grippe a baissé de 75% grâce au vaccin délivré chaque année.</p>

<p>Jusqu'à l’année dernière, le mouvement antivacs consistait plus en un rassemblement de bobos qui voulaient essayer de se faire remarquer en surfant sur la mode des médecines naturelles. Mais hormis une toute petite minorité, les antivacs ravalaient très rapidement leur discours quand ils avaient envie ou besoin de voyager en Afrique ou en Asie puisqu’il leur fallait obligatoirement apporter la preuve des vaccins pour embarquer dans l’avion. Même posture à propos de&nbsp; la vaccination des enfants, ces militants de l’anti vaccination campent sur leur position jusqu'au jour où l’école publique leur fermait les portes et les allocations familiales menaçaient de ne plus payer.</p>

<p>Les antivacs n'ont jamais posé un problème de santé publique.</p>

<p>L’arrivée du Covid a semble-t-il un peu changé les choses. Selon les sondages dont le résultat peut varier selon la question qui est posée, <strong>plus d</strong><strong>’un Français sur 2 se déclarerait sceptique sur le fait de recevoir une injection du vaccin contre la Covid, ce qui pose donc la question de l</strong><strong>’</strong><strong>efficacité de la straté</strong><strong>gie vaccinale, si elle n</strong><strong>’est pas assez suivie. </strong></p>

<p>Vaccin Pfizer, Moderna, bientôt Astra Zeneca et plus tard Sanofi, peu importe puisque beaucoup invoquent le manque de recul des études cliniques.</p>

<p>C’est la première excuse avancée par les opposants au vaccin. Les scientifiques ont tellement dit que le développement d’un vaccin prenait généralement dix ans que la majorité de l’opinion n’a pas voulu admettre qu’un grand laboratoire pouvait réaliser l’exploit d’aller plus vite. Il faut dire aussi que la communauté scientifique et politique ne s’est pas précipitée pour expliquer et annoncer les bonnes nouvelles.</p>

<p>Parallèlement à cette omerta sur cette forme de prouesse technologique, <strong>une majorité de l</strong><strong>’opinion a perdu la mesure de l</strong><strong>’intérêt des vaccins en général.</strong> Les maladies pour lesquelles on se fait habituellement vacciner (la poliomyélite, la tuberculose, la rougeole) sont des maladies qui ont quasiment disparu aujourd’hui. Il y a très peu de cas et autant dire aucun mort dans nos pays développés. Dans l’imaginaire populaire, ce sont des maladies qui appartiennent au passé ou aux pays du Tiers-monde. Comme la guerre, on a l’impression que ça ne peut plus arriver aujourd’hui, d’où le sentiment d’inutilité qu’il y a pu avoir à s’injecter un vaccin pour des maladies qui ne sont plus menaçantes. L’ argumentation ne tient évidemment pas parce que c’est l’inverse. Les maladies n’existent plus parce que les vaccins sont pratiqués et ça ne perturbe personne&nbsp;qu’il y ait aujourd’hui 11 vaccins obligatoires.</p>

<p><strong>Enfin, les changements sociétaux font que chacun est plus à l’écoute de son corps et se donne, seul, le droit de le maitriser</strong>. Ce qui est possible aujourd’hui puisque dans nos modes de vie, on peut décider du moment où avoir un enfant, de se faire tatouer ou opérer pour des raisons esthétiques. On peut aujourd’hui opter pour un régime alimentaire sans viande, sans gluten, sans œuf etc… On peut choisir de fumer, de se droguer, mais c’est en complète connaissance de cause, puisqu’on en connait les effets néfastes sur la santé. Bref, on est beaucoup mieux informés qu’avant sur ce qui est bon et ce qui doit être évité.</p>

<p>Les libertés individuelles ont donc progressé au cours du XXème siècle, ce qui donne à chacun l’impression qu’il est le seul à avoir un droit sur son corps, sans considération des règles collectives qui sont pourtant le fondement d’une vie en société.</p>

<p><strong>Or si le vaccin nous prot</strong><strong>ège de la maladie, le vaccin prot</strong><strong>ège aussi la vie d</strong><strong>’autrui en limitant la circulation et la contagion d</strong><strong>’</strong><strong>un virus.</strong>&nbsp; A moins de vivre comme un ermite, se vacciner, c’est faire un geste pour la société, en prenant en compte la responsabilité sociale dont chacun est investi à partir du moment où il vit en société.&nbsp;</p>

<p>Les Français ont été dociles et responsables lors des différents confinements. Chacun fait ce qu’il veut de son corps, mais si on instaure des protections qui deviennent automatiques (le masque, le vaccin), les Français l’adoptent sans grande rébellion pour pouvoir vivre comme avant. C’est ce qu’il s’est passé avec l’épidémie de sida, où l’usage du préservatif, à coup de «&nbsp;Sortez couverts&nbsp;» ou «&nbsp;protégez-vous&nbsp;» est devenu une norme sans pour autant être obligatoire.</p>

<p>Les pouvoirs publics auraient du réagir, beaucoup plus tôt, pour convaincre la population, voire la contraindre. Ne pas laisser le champ libre à l’information des réseaux sociaux qui véhiculent les faits et les chiffres sans aucun filtre ni contrôle.</p>

<p>Les interlocuteurs de confiance, dans le domaine de la santé, appartiennent au personnel médical. Les médecins de ville, les pharmaciens, les aide-soignants à domicile. C’est à eux que revient le rôle de prescrire le vaccin.&nbsp; Comme ils le font pour la Grippe chaque année.</p>

<p>Mais c’est à l’administration de décider de la stratégie de campagne et de sécuriser les approvisionnements, de faciliter les protocoles, les simplifier... Mais quand les politiques se prennent la tête pour trouver des excuses à leur propre faillite, il envoie le pays à sa perte.</p>

<p>C’est invraisemblable que Mr Véran, ministre de la santé, annonce qu’il assume ces retards en ne disant pas pourquoi. C’est scandaleux que le Monsieur Vaccin vienne expliquer que ces lenteurs sont normales et utiles.</p>

<p><strong>C</strong><strong>’est inadmissible que des responsables de l</strong><strong>’administration viennent prendre prétexte des réticences de la population pour ne rien faire.</strong> D’abord parce que la part de l’opinion qui se déclare opposée à la vaccination n’est absolument pas stable. Confrontée à la réalité de la maladie, cette opinion changera&nbsp; d’avis<strong>. Ensuite, si&nbsp; une moitié des Français est véritablement opposée à la vaccination, qu’on laisse l</strong><strong>’autre moitié favorable se faire vacciner, qu</strong><strong>’on laisse les volontaires se faire protéger</strong>. Avec 50% des Français vaccinés, on aurait déjà fait baisser le taux de contamination à un niveau tel qu’on ne serait pas loin d’une immunité collective. &nbsp;</p>


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Le scandale des vaccins, plus grave que celui des masques des tests incapacité

Atlantico Business

Le scandale des vaccins, plus grave que celui des masques ou des tests, démontre une fois de plus l’incapacité de l’administration à gérer la crise

Course aux vaccins

Plan de vaccination en France : « C’est une déroute », selon le professeur Philippe Juvin  

Philippe Juvin CNews 4 janvier 2021

<p>Dubaï, nouvel eldorado pour les touristes français ? Ils ont été des milliers à fuir le couvre-feu, la fermeture des bars et restaurants et le mauvais temps de l'Hexagone pour aller fêter le passage à 2021 dans les Emirats. "De toute façon, à Paris, avec le couvre-feu, on n'aurait pas pu faire la fête avec nos amis", explique une touriste française au micro de <a href="https://www.francetvinfo.fr/monde/nouvel-an-2021/vacances-destination-dubai-sans-restrictions_4241139.html">France 2</a>.</p>

<p>"Des promotions de voyage et de séjour très avantageuses ont été proposées par les professionnels. Des formules d’une semaine tout compris dans des hôtels quatre étoiles à moins de 1&nbsp;000 euros par personne en réservant plus d’un mois à l’avance", décrit de son côté <a href="https://www.liberation.fr/planete/2021/01/02/a-dubai-ambiance-post-covid-et-nouveaux-touristes-de-noel_1810083">Libération</a>, qui note que les "offres accessibles ont attiré une clientèle très différente des habitués bling-bling russes, libanais ou nigérians".</p>

<p>Pour pouvoir rentrer en France, les voyageurs devront néanmoins présenter un résultat négatif d'un test PCR.</p>


Nouvel an : des milliers de Français ont fait la fête à Dubaï

Destination de repli

International

<p class="lettrine lettrine">A la différence de Noël, des mesures plus&nbsp;strictes vont s’appliquer à travers le pays ce soir du 31 décembre 2020. A l’occasion de la nuit de la Saint-Sylvestre, la rédaction de CNews a rappelé les principales mesures qui seront déployées et ce qui n’était pas autorisé en cette soirée si particulière, à quelques heures de 2021.</p>

<p>Le couvre-feu reste en vigueur à partir de 20 heures. Les déplacements seront donc interdits en France entre 20 heures et 6 heures, sauf motifs dérogatoires.</p>

<p>Les Français peuvent se réunir pour fêter le Nouvel an mais les invités devront essentiellement rester dans le même lieu tout au long de la nuit afin de respecter le couvre-feu.</p>

<p>Il est interdit de se réunir dans des lieux pouvant accueillir du public et qui sont actuellement fermés suite aux mesures sanitaires liées à la pandémie (les bars, les discothèques).</p>

<p>Les policiers et les gendarmes seront mobilisés lors de cette soirée du 31 décembre afin d’assurer la sécurité&nbsp;et de s’assurer que le couvre-feu est bien respecté. Les contrevenants s’exposent à des amendes de 135 euros.</p>

<p>L'organisation de fêtes privées avec beaucoup d'invités et un oubli du respect des gestes barrières font&nbsp;redouter un risque de rebond de l'épidémie de Covid-19 à la rentrée de janvier 2021.&nbsp;&nbsp;</p>


Réveillon du Nouvel An : ce qui est interdit pour cette soirée du 31 décembre nuit de la saint-sylvestre fêtes privées couvre-feu confinement bonne année joyeuses fêtes gouvernement police contrôles amendes

Restrictions sanitaires

Réveillon du Nouvel An : ce qui est interdit pour cette soirée du 31 décembre

réveillon du 31 décembre 2020

<p class="lettrine lettrine">Le directeur général de l'ARS Ile-de-France, Aurélien Rousseau, était invité sur RTL ce lundi. Il a répondu à de nombreuses questions sur la pandémie de Covid-19 et sur la stratégie vaccinale. &nbsp;Aurélien Rousseau regrette la défiance des Français face au vaccin. Le directeur général de l'ARS Ile-de-France a tenu à rappeler que ce dernier «&nbsp;est l'un des leviers les plus puissants pour maîtriser cette épidémie. C'est un acte individuel, mais c'est aussi un acte de protection collective ».</p>

<p>Dimanche 27 décembre à Sevran, Mauricette, 78 ans, a été la première Française à recevoir une dose du vaccin Pfizer contre le coronavirus.</p>

<p>Aurélien Rousseau a tenu à préciser que le choix du gouvernement français est de prendre «&nbsp;tout le temps nécessaire au recueil du consentement libre et éclairé&nbsp;»&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;On veut installer la confiance en discutant avec les gens. On leur présente les éléments et ils décident s'ils se font vacciner ou pas&nbsp;».</p>

<p>Selon un baromètre publié par la rédaction du JDD, la France figure dans les dernières places des pays cités à accepter la vaccination.</p>

<p>Selon Aurélien Rousseau, « les interrogations et les doutes c'est naturel et c'est sain, mais là on bascule dans une défiance. […] Toutes les procédures ont été respectées, toutes les étapes. Le suivi des effets indésirables est connu, il est public. Ce sont des dossiers de dizaines de milliers de pages qui ont été rendus par toutes les autorités sanitaires du monde&nbsp;».</p>


Vaccins : selon Aurélien Rousseau, directeur général de l'ARS Ile-de-France, "on bascule dans une défiance" COVID-19 coronavirus pfizer biontech moderna mauricette ehpad vaccination pandémie

Arme contre la Covid-19

Vaccins : selon Aurélien Rousseau, directeur général de l'ARS Ile-de-France, "on bascule dans une défiance"

ARS vaccin vaccination

<p>Ilham, jeune musulman de Belfort, a été agressé par un groupe de jeunes. Son crime ? Avoir posté sur la messagerie Snapchat une photo montrant, le soir de Noël, un repas de fête avec des huitres et des crevettes.</p>

<p>Sa mère, policière à Belfort comme son père, explique à France 3 qu'il est tombé dans un guet-apens. Après avoir&nbsp;donné rendez-vous à une personne qui l'insultait&nbsp;sur les réseaux sociaux,"pour s'expliquer", il a été attaqué par quatre personnes qui l'ont roué de coups.&nbsp;Il souffre de nombreuses hématomes mais c'est surtout psychologiquement qu'il est très atteint, explique sa mère.</p>

<p>L'enquête de la&nbsp;police a permis l'arrestation de 3 personnes.</p>


Belfort : un jeune musulman roué de coups car il a fêté Noël, sa mère témoigne

Vivre-ensemble

<p class="lettrine lettrine">L'infectiologue Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, était l'invitée d'Apolline de Malherbe sur RMC et BFM TV ce mercredi 23 décembre 2020. A quelques heures des fêtes de fin d’année et des célébrations de Noël, elle a été interrogée sur l’évolution de l’épidémie, sur la stratégie de vaccination, sur les choix du gouvernement et sur Le comportement des Français. &nbsp;</p>

<p>Karine Lacombe s’est confiée sur l’état actuel de la crise sanitaire&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;L'épidémie n'est pas du tout sous contrôle [...] il semblerait que le couvre-feu n'ait pas été respecté. […] Ce qu'on voit arriver dans les hôpitaux, ce sont des personnes qui se sont contaminées à l'intérieur de la famille&nbsp;».</p>

<p>Interrogée sur la stratégie vaccinale, elle a indiqué qu’il faudrait qu’une grande majorité de la population se vaccine contre la Covid-19. Elle a tenu à préciser qu’elle n’était pas pour la vaccination obligatoire.</p>

<p>Au sujet du nouveau variant au Royaume-Uni, Karine Lacombe a précisé que «&nbsp;le virus ne s'arrête pas aux frontières&nbsp;».</p>

<p><iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/jx5W39Fp1qk" width="560"></iframe></p>


Karine Lacombe: "Avec un vaccin qui a 95% d’efficacité, on n’a pas besoin de vacciner 100% de la population" vaccination fêtes de fin d'année Noël covid-19 coronavirus 

Lutte contre la Covid-19

Karine Lacombe: "Avec un vaccin qui a 95% d’efficacité, on n’a pas besoin de vacciner 100% de la population"

Karine Lacombe RMC BFMTV

<p class="lettrine lettrine">Le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, Julien Denormandie était l'invité de Carine Bécard dans le Grand entretien de la matinale de France Inter ce mardi 22 décembre. Alors que les restaurants français et la filière agricole sont durement impactés par les conséquences de la crise sanitaire, Julien Denormandie a encouragé les Français à consommer des produits gastronomiques français à l'occasion des fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre lors de leurs courses de fin d'année ou sur les marchés afin de soutenir les filières, les producteurs, les agriculteurs et les hommes et les femmes des secteurs concernés :&nbsp;</p>

<div>"J'en appelle à ce patriotisme de consommation".</div>

<div>&nbsp;</div>

<div>Le ministre de l'Agriculture a également rappelé les chiffres des aides apportées par le gouvernement aux secteurs de l'alimentation face à la crise :&nbsp;</div>

<div>&nbsp;</div>

<div>"C'est plus proche du milliard. Pour le secteur du vin, par exemple, c'est plus de 250 millions d'euros".&nbsp;</div>

<div>&nbsp;</div>

<div>Face aux perspectives du Brexit, le ministre de l'Agriculture s'est aussi confié sur l'impact potentiel dans les mois à venir :&nbsp;</div>

<div>&nbsp;</div>

<div>"Dès lors qu’il y a des fermetures de frontières ou des difficultés d’accès au marché britannique, cela va avoir un impact sur nos filières".</div>

<div>&nbsp;</div>

<div>Julien Denormandie a également tenu à préciser que "l'agriculture française est l'une des plus durables au monde".&nbsp;</div>


Julien Denormandie lance un appel en faveur d'un "patriotisme gastronomique de consommation" fêtes de fin d'année Noël agriculteurs filière française France alimentation marchés 

Fêtes de fin d'année 

Environnement

Consommation

Loisirs

Julien Denormandie lance un appel en faveur d'un "patriotisme gastronomique de consommation" 

Julien Denormandie France Inter décembre 2020

<p class="lettrine lettrine lettrine lettrine">Le professeur Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, était l'invité ce lundi 14 décembre de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV. Il a été interrogé notamment sur la crise sanitaire, sur l'évolution de l'épidémie et sur les perspectives liées aux fêtes de fin d'année.&nbsp;</p>

<p>Selon le professeur Eric Caumes, "le vaccin est la seule solution si l'on veut sortir de l'épidémie".&nbsp;</p>

<p>Le professeur Caumes redoute "une réaccélération" de l'épidémie à l'occasion des fêtes de fin d'année.&nbsp;</p>

<p>Le gouvernement a déployé de nouvelles mesures avec l'instauration d'un couvre-feu et la fermeture des bars, des restaurants et des lieux rassemblant du public comme les théâtres, les cinémas, les stades ou les salles de sport.&nbsp;</p>

<p><iframe frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/lcLOSuf5Tc8" width="560"></iframe></p>


Covid-19 : le Professeur Eric Caumes estime que le vaccin est la "seule solution" pour sortir de l'épidémie coronavirus vaccination fêtes de fin d'année couvre-feu

Lutte contre le coronavirus 

Covid-19 : Eric Caumes estime que le vaccin est la "seule solution" pour sortir de l'épidémie

vaccin Eric Caumes

<p class="lettrine lettrine">Marine Le Pen, la députée du Pas-de-Calais et présidente du Rassemblement National, était l'invitée du Grand entretien de France Inter ce jeudi 10 décembre. Elle a répondu aux questions de Léa Salamé et de Nicolas Demorand.</p>

<p>Marine Le Pen a notamment critiqué le projet de loi contre le «&nbsp;séparatisme&nbsp;», défendu par le gouvernement. Selon la présidente du Rassemblement National, «&nbsp;il manque tout à ce texte&nbsp;».</p>

<p>Elle a évoqué la question de la politique migratoire et de l’intégration&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;Le meilleur moyen d'intégrer les populations issues de l'immigration est d'arrêter l'immigration de masse, telle qu'elle est encore organisée&nbsp;».</p>

<p>Marine Le Pen a aussi dénoncé la « racialisation des relations humaines ». La présidente du Rassemblement National réagissait notamment à la polémique sur le racisme au sein du football, liée au match PSG – Basaksehir&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;Je vois une mouvance essayer d’importer en France la guerre raciale américaine, ceci m’inquiète fortement&nbsp;».</p>

<p>Interrogée sur la crise sanitaire et sur les mesures du gouvernement, Marine Le Pen a précisé qu’elle aurait «&nbsp;laissé ouvertes les pistes de ski&nbsp;».</p>

<p>Marine Le Pen a précisé qu’elle ne se fera pas vacciner tout de suite : «&nbsp;On n'a pas de recul&nbsp;».</p>


Marine Le Pen : « Je vois une mouvance essayer d’importer en France la guerre raciale américaine »

Marine Le Pen décembre 2020 France Inter

<p class="lettrine lettrine lettrine lettrine lettrine lettrine lettrine lettrine">Emmanuel Macron a accordé une longue interview au média en ligne Brut ce vendredi 4 décembre pour notamment s'adresser aux jeunes. Lors de cet entretien, le journaliste Rémy Buisine a interrogé le président de la République sur les violences policières dénoncées ces derniers jours, lors de l’expulsion des migrants place de la République à Paris et lors de l’agression filmée d’un producteur de musique.</p>

<p>«&nbsp;Est-ce qu’il fallait enlever les tentes ? Oui&nbsp;», selon le Président de la République qui a néanmoins nuancé son propos en ajoutant que ce genre d’opérations «&nbsp;ne peut se faire qu’avec des solutions d’urgence derrière&nbsp;».</p>

<p>Emmanuel Macron est revenu sur les images violentes de l’interpellation d’un producteur de musique&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;Ce qui nous fait honte à tous quand on voit ces images, c’est que les policiers ne sont pas exemplaires. Il faut comprendre pourquoi ils se sont comportés de cette façon et sanctionner les comportements d’une violence inadmissible qui ne sont pas à la hauteur de leur engagement. Ce qui nous fait honte, ce sont les faits, au-delà des images&nbsp;».</p>

<p>Le chef de l’Etat est revenu sur le terme des violences policières&nbsp;:</p>

<p>«&nbsp;Un terme politisé aujourd’hui, qui est devenu un slogan&nbsp;»</p>

<p>Il ne refuse pas de l’utiliser mais lui préfère celui de «&nbsp;violences de policiers&nbsp;».</p>

<p>«&nbsp;Il y a des violences policières, il y a du racisme, dans la société et la police est à l’image de la société. Mais je refuse de considérer que c’est l’ensemble de l’institution de la police. Il faut distinguer l’institution et des individus qu’il faut sanctionner&nbsp;».</p>

<p>Le président de la République a annoncé que les caméras piéton que devaient porter les policiers en permanence, seront disponibles à partir de juin 2021.</p>

<p>Une plateforme nationale de signalement des discriminations, gérée par l’Etat, le défenseur des droits et des associations, sera lancée en janvier.</p>

<p>Le président de la République&nbsp;a indiqué qu'il envisageait « sans doute une nouvelle aide exceptionnelle » pour les jeunes en précarité en janvier ainsi qu'une « amélioration du système de bourses ».</p>

<p>Emmanuel Macron a reconnu ne pas avoir réussi à tenir sa promesse de sortir du glyphosate en trois ans, plaidant un échec « collectif ».</p>

<p>Le chef de l'Etat&nbsp;a été interrogé sur la présidentielle de 2022. Il a refusé de dire s'il serait candidat, tout en laissant la porte ouverte à de nombreuses possibilités :&nbsp;&nbsp;</p>

<p>« Si je me mets dans la situation d'être un candidat, je ne prendrai plus les bonnes décisions. Ca viendra, si ça doit venir, au moment voulu. Et peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l'exigeront, et qui rendront impossible le fait que je sois candidat. Je n'exclus rien. Certains commencent leur campagne un an demi avant, moi je suis dans l'action et la conviction ».</p>

<h3 class="s2"><a href="https://www.atlantico.fr/pepite/3594371/emmanuel-macron---je-n-ai-pas-de-probleme-a-repeter-le-terme-de-violences-policieres-mais-je-le-deconstruis--" target="_blank">A lire aussi :&nbsp;Emmanuel Macron : « Je n'ai pas de problème à répéter le terme de violences policières mais je le déconstruis »</a></h3>


Retrouvez l’intégralité de l’entretien d’Emmanuel Macron accordé à Brut violences policières crise sanitaire article 24 police vaccin coronavirus covid-19

Interview

Retrouvez l’intégralité de l’entretien d’Emmanuel Macron accordé à Brut