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Si le nombre de décès causés par la pollution a légèrement diminué en 2022, avec 239 000 tués en Europe, la pollution par l’ozone et le dioxyde d’azote est encore une menace majeure pour la santé publique.

La question de la qualité de l'air apparaît essentielle pour limiter contre la pollution de nos environnements de vie. Explications.

Les contaminants peuvent altérer les odeurs des plantes et déformer les sens des insectes, perturbant ainsi le processus de pollinisation.

La pollution de l'air et ses effets ont fait l'objet de multiples études. Les plus récentes d'entre elles laissent à penser que le problème est plus grave que prévu. Ce qu'il faut savoir.

La pollution de l'air et ses effets ont fait l'objet de multiples études. Les plus récentes d'entre elles laissent à penser que le problème est plus grave que prévu. Ce qu'il faut savoir.

Le Conseil d’État pointe des dépassements significatifs de certaines normes à Paris et Lyon mais note aussi des améliorations dans d'autres métropoles.

Les études scientifiques ont progressivement dévoilé l’importance de la crise liée à la pollution de l’air, et elle est gigantesque, puisqu’environ 7 millions de personnes meurent chaque année à cause d’elle

Les pays les plus touchés par la pollution de l’air, liée aux particules fines, sont l’Inde, le Népal, le Pakistan et le Bangladesh.

Selon une nouvelle étude, le risque de développer une anosmie, la perte d’odorat, est multiplié par 1,6 à 1,7 en cas de pollution particulièrement forte.

Alors que les métropoles chinoises ont longtemps été considérées comme faisant partie des plus polluées de la planète, Pékin a fait d'énormes progrès en matière d'assainissement de l'air au cours des dernières années

Les personnes les plus touchées sont les sans-domicile-fixe qui dorment sur les grilles des bouches d'aération l’hiver

Une forte concentration d’ozone dans l’air est attendue en région parisienne et dans l’Est de la France

C’est même plus de 50% de la population mondiale qui est exposée à une pollution naturelle qui dépasse les nouvelles normes de qualité de l’air édictées par l’OMS. Ont-elles vraiment un sens dans ce contexte ?

Selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses)

D’après une étude publiée dans « The Lancet Planetary Health », les polluants de l’air, de l’eau et des sols causent trois fois plus de morts que la tuberculose, le paludisme et le sida. Un décès sur six (16 %) est attribuable à la pollution, selon les résultats de cette étude.

Presque tous les établissements franciliens dépassent les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

Airparif a décidé de faire évoluer son interface et ses indicateurs. Le nouvel indice de la qualité de l’air abandonne la valeur « très bon » et ajoute une toute nouvelle mention, « extrêmement mauvais ».

L'Organisation mondiale de la santé a adopté de nouvelles recommandations beaucoup plus strictes en matière de qualité de l'air. Pour l'OMS, ce fléau est aussi grave que celui du tabagisme ou de la mauvaise alimentation.

Et par conséquent le nombre de morts que l’on peut lui attribuer.