L’année 2025 s’annonce comme un tournant majeur dans la géopolitique de l’énergie, caractérisé par un regain de fierté assumée envers les énergies conventionnelles et un ralentissement des ambitions climatiques mondiales. Ce changement de cap est influencé par le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis et les politiques énergétiques qui en découlent, mais était déjà bien amorcé par d’autres acteurs.

Jimmy Carter, 39e président des États-Unis, s’est éteint le 29 décembre 2024 à l’âge vénérable de 100 ans dans sa ville natale de Plains, en Géorgie. Sa vie et sa carrière, empreintes de réalisations remarquables, mais aussi parsemées de controverses et de revers, ont façonné un héritage d’une complexité singulière.

Dans tout ce qui concerne l'adaptation au changement climatique et la prévention de ces phénomènes, la culture du risque est un élément déterminant. Il est possible de s’inspirer de modèles de pays étrangers.

L’année 2024 a mis en évidence la perte catastrophique de compétitivité de l’Union européenne dans le domaine de l’énergie. La stratégie déployée par l’Allemagne s’est avérée être un échec retentissant.

La transition énergétique, imposée par l’Allemagne avec la complicité des institutions européennes comme une voie vers un avenir sans énergies fossiles, est aujourd’hui confrontée à une crise de confiance parmi les investisseurs. Plusieurs événements récents mettent en lumière ce scepticisme croissant, soulignant les limites des énergies renouvelables et l’importance cruciale des énergies fossiles dans notre société contemporaine. Mais Emmanuel Macron fait semblant de ne pas le savoir.

La COP29 vient de se terminer, et les activistes du climat en ressortent profondément déçus de ses résultats.

Un exemple d’autant plus intéressant que le marché des pompes à chaleur connaît un sérieux ralentissement en France.

De par certaines déclarations de ses membres, la BCE redéfinit-elle son mandat par des sophismes grossiers sur l’environnement et la nature ?

Le problème de la Chine (comme d’ailleurs bien d’autre pays émergents) est que son développement (qui est sa priorité) va beaucoup plus plus vite que sa décarbonation.

Autant les banquiers ont compris - au moins en théorie - les implications du dérèglement climatique et la manière de l’intégrer dans leurs portefeuilles d’investissement, autant ils peinent à adopter une stratégie face aux pertes subies par la nature.

Les menaces géopolitiques qui pèsent sur le marché du pétrole grandissent. Mais les capacités de production mondiale aussi.

Des sociétés comme Microsoft, Google ou Amazon ont l'intention d'utiliser de l’énergie nucléaire pour alimenter leurs centres de données.

« Notre économie européenne a besoin d’une énergie renouvelable abordable, rapide et en grande quantité », a déclaré le secrétaire d’État allemand à l’Économie Sven Giegold lors d’un évènement organisé par l’ambassade du Danemark à Berlin.

Une coalition de 14 pays occidentaux annonce la mise en place d'un réseau de financement pour briser la mainmise chinoise sur les minéraux essentiels à nos économies.

La communication allemande autour de sa transition énergétique (Energiewende) est très habile : elle met en avant les succès tout en minimisant ses échecs.

L'Allemagne est récemment passée du statut d'exportateur net d'électricité à celui d'importateur net d'électricité. Comment expliquer les difficultés de l'Allemagne dans sa stratégie énergétique par rapport à ses voisins européens et notamment la France ?

Le Nouveau Front Populaire (NFP) a publié son contrat de législature pour tenter de convaincre les Français de voter pour ses candidats. Je vais me limiter à mon expertise et exposer ci-dessous ce que nous pouvons attendre de leur politique énergétique.

Ce n’est pas seulement la progression des partis de droite qui change le profil du Parlement européen. La forte perte des écologistes va profondément transformer le visage de Bruxelles-Strasbourg et donc ses décisions.

L'assurance-vie contribuerait à alimenter le dérèglement climatique par le biais des entreprises qu'elle finance, selon un rapport de l'ONG Reclaim Finance.

Les progrès en matière d'intelligence artificielle et les ressources nécessaires pour cette technologie vont-ils avoir un impact négatif sur l'environnement ?