Personne ne doute du risque de crise économique majeure que le président américain peut déclencher avec sa politique de tarifs douaniers. Mais qui mesure le risque que pose à l’inverse le statu quo face aux déséquilibres massifs générés par 30 ans de capitalisme financiarisé et mondialisé ?

A la tête d’un consortium couvrant les principaux domaines de pointe, Elon Musk a longtemps incarné la réussite la plus éclatante du « monde de la tech ». Depuis l’élection de Donald Trump, ses entreprises montrent des signes de faiblesse et les cours de bourse de Tesla sont en chute libre. Pour en parler, Pierre Bentata.

Face à l'ampleur des défis géopolitiques et sécuritaires, la question du financement de l’effort de défense se pose avec acuité en Europe. Comment financer cette démarche sans freiner le dynamisme économique ? Qui aura le courage politique de mettre en œuvre ces propositions ?

Le spectacle offert par la valse des provocations de Donald Trump comme de ses soutiens tend à sidérer une partie des élites européennes. Mais qui aura le courage de regarder en face les échecs qui nous ont menés dans la situation actuelle ?

Les excès, approximations, voire mensonges, du président Américain et des piliers de son administration pourraient-ils empêcher qu’il se forge un héritage aussi puissant que celui qu’avait su construire Ronald Reagan ?

Les données du CEVIPOF sont assez attendues. La perception de la classe politique est particulièrement critique, puisque 52 % des Français jugent aujourd’hui qu’il n’y a pas de quoi être fiers de notre système démocratique.

Nommé à la tête d'un ministère nouvellement créé de l'"efficacité gouvernementale" (DOGE), Elon Musk souhaite réduire la dépense publique fédérale d'au moins 1.000 milliards de dollars.

Oui, le libre-échange a eu un impact négatif majeur dans la vie de certains pendant la phase de mondialisation de l’économie (tout en apportant des bénéfices collectifs) et nous l’avons sous-estimé. Mais inverser la tendance aura tout autant d’impact perturbateur, sans apporter les bénéfices du progrès.

Depuis l’élection de Donald Trump, et avant même son investiture, les États-Unis d’Amérique semblent retrouver une certaine vitalité économique et technologique.

Présent pour la deuxième fois au Forum économique mondial de Davos, Javier Milei a prononcé ce jeudi un discours très virulent contre « l’hégémonie woke ».

Et toutes les revendications de la gauche ou du RN sur le Budget tendent à aggraver le problème.

Au début du XXe siècle, l’avenir de l’Argentine semblait radieux. Mais tout a changé après l'arrivée de Juan Domingo Perón en 1972.

De votre réponse a priori dépend la stratégie d’investissement et d’épargne que vous devriez adopter.

Les États-Unis apparaissent bien plus capables que l'Union européenne de créer des entreprises fortes.

Eric Lombard, le nouveau ministre de l'Economie du gouvernement Bayrou, devra garder à l'esprit plusieurs leçons sur les spécificités françaises lors de son mandat à Bercy.

Il y a, derrière le droit à la paresse revendiqué par une certaine gauche, un impensé fâcheux. Explications.

Donald Trump, qui a récemment été élu à la tête des États-Unis, est parfois présenté comme un président susceptible de simplifier les réglementations et de libéraliser le marché américain. D’aucuns le rapprochent parfois de Javier Milei.

Un an après sa victoire à la présidentielle argentine, Javier Milei a célébré, mi-novembre, la chute de l'inflation, revenue sous les 3% en octobre.

La situation européenne est d’autant plus complexe qu’à la crise économique s’ajoute une réelle instabilité politique. Les deux principaux moteurs de l’Europe traversent des difficultés économiques qui perturbent leurs scènes politiques nationales.

Pour combler le déficit de la Sécurité sociale, Gérard Larcher a identifié une solution potentielle : 7 heures de travail non rémunérées par an et par actif, ce qui permettrait, selon lui, de gagner jusqu’à 2,5 milliards d’euros à l’année.