Contenus en rapport avec le mot-clé nouvelle calédonie

Insurrection en Nouvelle-Calédonie, crise migratoire et sanitaire à Mayotte, narcotrafic et insécurité aux Antilles et en Guyane, sentiment d'abandon à Saint-Pierre-et-Miquelon et Wallis-et-Futuna, les territoires ultramarins français sont confrontés à une multitude de crises.

D’après le Haut-Commissariat de la République, "la nuit a été agitée" et les forces de l'ordre ont été "prises à partie" par les émeutiers.

La CCAT, mouvement à l’origine du soulèvement contre la réforme du corps électoral, est dans le viseur des autorités depuis le début des émeutes.

Dans une interview au Figaro, Nicolas Sarkozy étrille et fait la leçon à l’actuel locataire de l’Elysée à propos de la Nouvelle-Calédonie, l’insécurité et la violence, Israël, la Palestine, l’Ukraine… Tout en souhaitant que sa famille politique « l’influence » pour recentrer sa politique…

Le blocage du réseau social TikTok, mis en place le 15 mai, avait été permis par la présence d'un unique opérateur télécoms sur le territoire.

Le couvre-feu reste en vigueur entre 18 heures et 6 heures. Des exceptions sont consenties pour les motifs de santé ou missions de service public, mais la vente d'alcool reste interdite, tout comme le transport et port d'armes.

En mettant la pression à Emmanuel Macron sur le dossier calédonien et en critiquant sa proposition de débat avec Marine Le Pen, l’ancien premier ministre multiplie les marques d’indépendance vis-à-vis de lui.

L'Élysée a aussi annoncé que 480 gendarmes mobiles en plus vont être envoyés sur place dans les prochaines heures.

Sacrifier les libertés publiques en restreignant la liberté d’expression (de manière illusoire qui plus est…) sans s’attaquer aux fractures sociales et idéologiques sur lesquelles s’appuient les régimes autoritaires revient à casser le thermomètre pour combattre la fièvre.

Après sa visite en Nouvelle-Calédonie et les émeutes, le président de la République essaye de prôner l’apaisement. Le chef d'Etat a rappelé que sa volonté initiale était que les élus calédoniens s'entendent sur « un accord global qui viendrait enrichir le texte déjà voté par le Parlement ».

Après la visite d'Emmanuel Macron, le mouvement indépendantiste FLNKS exige toujours le retrait de la réforme électorale.

Et aussi dans vos hebdos cette semaine : Le Point se demande si l’Europe saura se positionner face à Poutine en Géorgie, Marianne où est passée la laïcité dans la campagne électorale.

Le président de la République a quitté la Nouvelle-Calédonie après s'être entretenu avec les composantes loyalistes et indépendantistes. Il a promis de ne pas faire passer "en force" la réforme du corps électoral, à l'origine des émeutes dans l'archipel depuis la mi-mai.

Au terme de son déplacement en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a détaillé les actions que l'État va mettre en oeuvre pour permettre au territoire de sortir de cette crise.

À l’impossible nul n’est tenu mais le président n’a rien ramené de Nouvelle-Calédonie. Même pas le calme.

Emmanuel Macron estime que la reprise des négociations politiques est conditionnée à un retour à l'ordre et notamment à la levée des barrages.

Une « cyberattaque d'une force inédite » a ciblé la Nouvelle-Calédonie mardi 21 mai, avec pour objectif de « saturer le réseau calédonien ». Elle a été stoppée « avant qu'il y ait des dégâts importants ».

La tête de liste des Républicains, François-Xavier Bellamy, était l’invité de L’Heure des Pros, ce mercredi 22 mai, sur CNEWS. Il s’est exprimé sur la situation en Nouvelle-Calédonie : «Ne donnons jamais à la violence le dernier mot dans notre démocratie. Les Calédoniens ont dit leur volonté d’être Français».

« La situation n’est pas tout à fait normalisée mais elle s’améliore », affirme Prisca Thévenot, porte-parole du gouvernement, qui assore que « l’État met tout en œuvre pour rétablir l’ordre » à Nouméa.

Une vaste opération de dégagement de la route d’accès à l’aéroport de Nouméa a été menée ces dernières heures.