Accusé d’atteintes aux droits de l’homme par la radicalité des méthodes employées pour mettre à terre les gangs qui avaient fait du pays un enfer, Nayib Bukele a répliqué devant l’ONU : “On nous accuse d’avoir emprisonné des milliers de personnes, nous en avons en réalité libéré des millions”
10 février 2025