Contenus en rapport avec le mot-clé voile

L'ouverture d'une « clinique de traitement du retrait du hijab » destinée à « offrir un traitement scientifique et psychologique » aux femmes iraniennes qui refusent de porter le hijab a été annoncée en novembre.

Mercredi 27 novembre, lors de la 23e cérémonie des « Talents des cités », qui s’est tenue à l’Élysée, Emmanuel Macron a défendu une jeune femme voilée qui venait de recevoir un prix. « C’est ça la vraie image de notre pays. Ce n’est pas du tout une France qui vit dos à dos, qui se rejette », a-t-il affirmé.

Le problème est loin de ne se poser qu’avec les élèves, il se pose aussi avec une partie des cadres et des enseignants des écoles et universités françaises.

Si la République est effectivement menacée lorsqu’une lycéenne frappe une prof qui lui demandait de retirer son voile, ça n'est que par ricochet.

La jeune femme, qui a pris la fuite après avoir porté de nombreux coups à son enseignante, a été interpellée et placée en garde à vue lundi soir.

La modification du règlement intérieur d’une association à vocation sociale de Nancy pour y instaurer une clause de neutralité fait peser le risque d’un licenciement sur deux employées portant le voile, alerte un syndicat, quand le ministre de l’Intérieur a annoncé vendredi son « soutien » à l’association.

Le responsable d’un magasin près de Strasbourg est violemment accusé d’« islamophobie », de « racisme », avec menaces de mort, après avoir refusé une jeune intérimaire se présentant en portant un voile.

La plainte de l’élève, qui accusait le proviseur de l’avoir violentée lors d'un incident lié à son voile, a été classée pour «infraction insuffisamment caractérisée».

Le proviseur « a quitté ses fonctions pour des raisons de sécurité », indique un message interne envoyé aux parents, élèves, enseignants et membres du conseil d’administration.

Dans son livre "Le linceul du féminisme : Caresser l'islamisme dans le sens du voile", Naëm Bestandji analyse le détournement de l'antiracisme pour promouvoir l'islamisme et la misogynie du voile.

Nila publie « Dans les rues de Téhéran » aux éditions Calmann Lévy (traduit du persan par Ambre Morier). Après la mort de Mahsa Amini le 16 septembre 2022, les cris de colère des Iraniens réclamant l’égalité et la justice se font entendre dans toutes les grandes villes du pays. Dans ce témoignage, une Iranienne nous entraîne au coeur du soulèvement. Extrait 2/2.

Ces spécimens se ressemblent beaucoup.

Le Conseil d'Etat doit rendre sa décision sur le port du hijab dans le football féminin jeudi.

Le Conseil d'Etat rendra sa décision jeudi sur le port du hijab dans le football féminin, une perspective qui a déclenché une avalanche de réactions politiques, la droite et l'extrême droite appelant le gouvernement à légiférer pour prohiber les signes religieux dans le sport.

A Nice, certains élèves, en provenance d'écoles primaires, se sont réunis pour prier. D'autres tiennent à observer des minutes de silence en l'honneur de leur prophète pendant la récréation. Une situation dangereuse, du point de vue de la laïcité, qui s'explique notamment par une tendance à l'auto-censure de plusieurs enseignants...

Pour certains c’était nécessaire.

Un bateau transportant 11 passagers a chaviré peu avant que Charles Caudrelier ne franchisse la ligne d'arrivée. Deux personnes sont mortes dans cet accident.

Isabelle Adjani appelle à une mobilisation des femmes dans le monde suite au mouvement de contestation en Iran après la mort de Mahsa Amini.

Tandis qu'en Iran, hommes et femmes descendent dans la rue depuis plus de 50 jours pour abolir l'obligation du port du voile dans l'espace public, la Turquie semble suivre le mouvement inverse.

Si le régime a résisté à la vague de contestation des résultats de l’élection présidentielle de juin 2009, la révolte actuelle est d’une autre ampleur. Elle est le point paroxysmique d’une répression qui n’a cessé de s’intensifier.