Face à la crise du marché de l'immobilier, l'application de certaines mesures ou des modèles venus de l'étranger pourraient permettre de trouver des solutions.
4 octobre 2023Le Réseau Atlantico
Best-Of du 30 novembre au 6 décembre
Robin Rivaton est chargé de mission d'un dirigeant d'un groupe dans le domaine des infrastructures. Il a connu plusieurs expériences en conseil financier, juridique ou stratégique à Paris et à Londres.
Impliqué dans vie des idées, il écrit régulièrement dans plusieurs journaux et collabore avec des organismes de recherche sur les questions économiques et politiques. Il siège au Conseil scientifique du think-tank Fondapol où il a publié différents travaux sur la compétitivité, l'industrie ou les nouvelles technologies. Il est diplômé de l’ESCP Europe et de Sciences Po.
Face à la crise du marché de l'immobilier, l'application de certaines mesures ou des modèles venus de l'étranger pourraient permettre de trouver des solutions.
Dans une note pour le think tank Real Estech intitulée « Le logement, bombe sociale à venir », Robin Rivaton estime que le logement devrait trôner en haut de la liste des politiques publiques.
En France en 2018, les impôts de production représentaient 109 milliards d'euros. C'est autant que le total cumulé de 23 pays de l'Union européenne, dont l'Allemagne. Il faut diriger les moyens du futur plan de relance vers leur abaissement, écrit un collectif d'économistes et d'essayistes. Il en va du rebond de l'économie française.
A l’occasion de sa déclaration de candidature pour la mairie de Paris ce mercredi, le mathématicien dissident de LREM Cédric Villani évoquait une ambition majeure, en matière de rayonnement de la capitale comme d’écologie ou de justice sociale.
Au fil des échecs successifs des pouvoirs publics à résoudre les problèmes du pays, les Français pensent majoritairement que la France a besoin de réformes et sont convaincus de la nécessité de réduire les déficits. Une opinion qui ne se retrouve pas toujours dans les mesures qu'ils plébiscitent.
La propagation des théories "déclinistes" a connu en France une formidable accélération depuis la crise de 2008. Ce mouvement fait aujourd'hui son lit avec la même exagération que déployaient les tenants de la France "locomotive de l'Europe" des années 2000. Pourtant la France a vécu, en une décennie, une véritable révolution culturelle passée inaperçue. Les Français se sont convertis de manière autonome mais généralisée, non par passion mais par raison, à l'individualisme libéral. Extrait de "La France est prête - Nous avons déjà changé", de Robin Rivaton, publié chez Les Belles Lettres (2/2).
La propagation des théories "déclinistes" a connu en France une formidable accélération depuis la crise de 2008. Ce mouvement fait aujourd'hui son lit avec la même exagération que déployaient les tenants de la France "locomotive de l'Europe" des années 2000. Pourtant la France a vécu, en une décennie, une véritable révolution culturelle passée inaperçue. Les Français se sont convertis de manière autonome mais généralisée, non par passion mais par raison, à l'individualisme libéral. Extrait de "La France est prête - Nous avons déjà changé", de Robin Rivaton, publié chez Les Belles Lettres (1/2).
Les transports de marchandises renaissent grâce au lien commercial entre l'Europe et la Chine. Une nouvelle voie ferroviaire fait renaître la Route de la Soie.
Le ministre du Travail François Rebsamen a déclaré mardi 22 avril au Sénat que les 10 milliards d'exonérations de cotisations patronales du pacte de responsabilité permettraient de créer 190 000 emplois.
La moitié des emplois américains pourraient être informatisés d'ici 20 ans, selon une récente étude. Du télémarketing à la saisie de données en passant par la couture : les professions les plus menacées concernent les tâches répétitives ou celles pouvant être résolues par des algorithmes.
Ce second épisode de notre série consacrée à l'impact de la désindustrialisation interroge le lien entre cette dernière et la stabilité qui est nécessaire à la mise en place d'une démocratie pérenne.
Les taskarabbits. C'est ainsi que l'on surnomme les individus vivant d'une économie née grâce aux nouvelles technologies et faite en grande partie de services entre particuliers.
Contrairement à une idée communément admise, les Français n'auraient pas d'aversion particulière pour le changement et seraient prêts à accepter les réformes nécessaires. Le hic ? Ces mesures ne coïncident en fait pas avec l'intérêt de la classe politique.
La crise économique a relancé la question capitale des sources de financement. Des voies alternatives, telles que le crowdfunding, se développent. Encore relativement marginales, elles représentent néanmoins une part de plus en plus importante des investissements.
En se finançant autrement que par l'endettement bancaire, les PME pourraient bien gagner à se passer des banques.
Dans sa lettre aux actionnaires, le patron d'Amazon n'hésite pas à tenir un discours inhabituel : fort de sa médiatisation et de la confiance que lui accordent les actionnaires, il refuse de céder aux sirènes du profit à court terme.
Suite aux taxes imposées par Bruxelles sur le solaire chinois, Pékin a aussitôt répliqué mercredi 5 juin en lançant une enquête antidumping sur les vins importés de l'Union européenne et a agité le spectre d'une guerre commerciale.
Bruxelles a décidé ce mardi de taxer provisoirement les panneaux solaires chinois. Pékin contre-attaque en annonçant l'ouverture d'une enquête sur les vins européens.
De tels indicateurs permettent en effet d'établir un classement objectif du coût de la vie pour les consommateurs lambda.
A l'horizon 2014, la France pourrait être éjectée hors du top 10 du classement mondial des pays recevant des investissements directs étrangers.