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Les jeunes de la génération Z, influencés par le contexte économique et social, estiment avoir plus de difficultés sur le plan financier que les générations précédentes. La réalité du marché du travail ou le niveau des salaires offrent pourtant un regard différent.

L'une des raisons clés de cette évolution est l'émergence d'un centre politique qui était traditionnellement associé à la droite.

Aux yeux des sociologues, certains indicateurs semblent montrer que oui.

Selon un rapport publié l'an dernier par le Stanford Center on Poverty and Inequality, des chercheurs ont constaté que le taux de mortalité des personnes âgées de 25 à 34 ans avait augmenté de plus de 20% depuis 2008. Les principaux facteurs de cette augmentation ont été les suicides et les surdoses de drogue. Pourquoi les Millennials, personnes nées entre 1981 et 1996, sont plus susceptibles de mourir prématurément de suicide ou d'overdose que les générations précédentes ?

Le sort des adolescents ou jeunes adultes est peu évoqué indépendamment de la question de leur scolarité ou de leurs études. Ce confinement se révèle pourtant d’une très grande violence pour toute cette génération.

Les Millennials sont plus satisfaits d’être salariés que leurs aînés, ils souhaitent être payés en monnaie digitale et ne font plus confiance dans les banques.

Alors que les crises de la quarantaine et de la cinquantaine sont souvent évoquées et connues, les millennials seraient confrontés à la crise de la trentaine.

Les sondages au Royaume-Uni montrent que si les Britanniques jugent sévèrement la volonté d’indépendance du couple princier, la seule catégorie de population à l’approuver est celle des Millennials. Un clivage représentatif du mouvement de retrait de nombre de jeunes Occidentaux qui ne se reconnaissent plus dans le fonctionnement du monde actuel et ne se reconnaissent plus ni devoirs, ni responsabilités vis-à-vis du reste de la société.

La génération Y, les millennials nés entre 1981 et 1996, et la génération Z sont généralement critiqués et se plaignent souvent de leurs conditions de vie et des difficultés dans la société. D'après une étude publiée par YPulse, cette génération sera la plus riche de l'histoire. Cette richesse proviendrait notamment de l'héritage de leurs parents "boomers".

Comme la vogue de l'expression "Ok, boomer" le suggère, un grand mouvement de rupture générationnelle traverse les pays occidentaux, même s'il existe une grande hétérogénéité entre pays. Au-delà de la question écologique, c'est aussi la part de responsabilité des boomers dans les difficultés économiques des millenials qu'il faut interroger.

Jean-Sébastien Ferjou a évoqué sur Twitter la crise du capitalisme en commentant un article de Branko Milanovic. Le directeur de la publication d'Atlantico a aussi relayé le comparatif entre les millennials et les boomers sur leurs modes de consommation.

Si mai 68 a finalement principalement contribué à adapter l’ordre “moral” antérieur aux exigences de la société de consommation et de l’économie de marché, à quels horizons idéologiques nous mèneront ces jeunes qui rejettent la pensée des baby boomers en se contentant de les renvoyer à leur âge et leurs responsabilités ?

Les millennials, cette génération née après entre 1980 et 2000, semblent avoir une prédisposition pour les problèmes psychologiques en entreprise. Selon une étude publiée dans la Harvard Business Review, 50% d'entre eux ont déjà quitté leur emploi pour des problèmes de dépression.

Les « millenials » dans le monde : 13% sont au chômage, 80% rêvent de devenir entrepreneurs et 73% estiment ne pas avoir les compétences pour affronter l’avenir.

Les jeunes qui découvrent le sitcom aujourd’hui seraient mal à l'aise avec la façon dont plusieurs sujets sont abordés.

Entre les attentes des jeunes recrues appartenant à "la génération Y", aussi appelées "les Millenials", et celles des cadres, un fossé se creuse au sein des entreprises françaises.

Un nombre inquiétant de jeunes électeurs et de supporters de Bernie Sanders sont réticents à l’idée de voter Hillary Clinton. Ils risquent de découvrir brutalement qu’il y a bien pire.

Assurer le bonheur des jeunes employés au travail aux Etats-Unis n'est pas simple. Les entreprises n'hésitent pas à grassement rémunérer des experts, spécialistes des jeunes. Une pratique qui commence à émerger en France.