Contenus en rapport avec le mot-clé Loi de programmation militaire

De nombreux citoyens s’alarment sur les réseaux sociaux d’une "dérive autoritaire" du gouvernement à travers la nouvelle loi de programmation militaire, débattue au Parlement.

Après avoir jugée « insincère » l’étude d’impact du texte budgétaire visant à financer nos armées, les parlementaires ont rejeté la nomination de Boris Ravignon à la tête de l'Ademe. Dernières escarmouches en date dans une liste qui s'allonge.

L'objectif d'Emmanuel Macron est de porter les dépenses de défense à 2 % du PIB français en 2025, soit 50 milliards d'euros, contre 34,2 milliards cette année.

Si le droit protège relativement bien les données personnelles des Français, leurs pratiques les mettent en revanche facilement en danger.

Étrange politique que celle qui consiste à crier au loup lors des révélations Snowden pour mieux "contrôler Internet" et bâtir une société sécuritaire, hors de tout véritable contrôle démocratique.

Le président réclame également des propositions pour améliorer la gestion des matériels et des projets.

L'article 13 de la loi de programmation militaire qui autorise la surveillance du réseau internet devrait être voté ce mardi en seconde lecture au Sénat.

La loi de programmation militaire doit être débattue à l'Assemblée nationale. Elle entérinera surtout des choix concrets qui porteront sur les coupes budgétaires que subira la Défense dans les années à venir.

C'est le coût de la remise en cause des programmes de sous-marins Barracuda et de frégates multi-missions Fremm. L'opération pourrait aussi coûter un millier d'emplois à DCNS.

Baisse des effectifs et hausse des crédits d'équipement : l'armée française fait dans la qualité plus que dans la quantité.

Militaires et industriels de l'armement craignent des coupes budgétaires drastiques. François Hollande assure que le budget actuel de 32 milliards sera inchangé en 2014. A quel son de cloche se fier ?

La Défense française doit s'attendre à de nouvelles coupes budgétaires, soulevant la crainte, pour une armée qui s'illustre au Mali, de ne plus pouvoir accomplir certaines de ses missions.