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L'essentiel des dispositions déclarées contraires à la Constitution au coeur de la dernière loi immigration l'ont été pour des questions de forme. Dès lors que le nouveau texte sera dans le cadre d'un projet de loi présenté par le gouvernement, cette critique de forme ne sera plus possible pour le Conseil constitutionnel.

Le président du Rassemblement national attend de «regarder concrètement» le contenu de la nouvelle loi immigration dévoilée dimanche par le gouvernement avant d’apporter son soutien ou son opposition.

Maud Bregeon a confié que le gouvernement souhaitait prendre de nouvelles mesures pour lutter contre l’immigration illégale mais ne cherchait pas le soutien du Rassemblement national.

Les mesures et les réformes déployées, notamment en Europe, pour lutter contre l'immigration clandestine ont tendance à être contre-productives.

Lors de l’examen de la loi immigration, des associations, des universitaires et des juristes extérieurs ont tenté de peser sur la décision du Conseil constitutionnel. Cette stratégie d’influence est de plus en plus active auprès des institutions et de l'Etat.

Le texte a été publié au Journal officiel ce samedi.

Le Conseil constitutionnel a annoncé jeudi la censure d'une large partie de la loi immigration (32 des 86 articles du texte). Cette décision a été très contestée à droite.

Limitation du regroupement familial, caution des étudiants étrangers, report de l’ouverture de certaines prestations sociales, quotas… Les neuf Sages censurent 35 articles de la loi.

Alors que le Conseil constitutionnel doit rendre sa décision jeudi, la séquence « loi immigration » a mis en lumière une attitude nouvelle de la droite classique. Sans traduction électorale pour l’instant.

LR a choisi de présenter directement ses propres observations par écrit au Conseil constitutionnel en «raison de l'absence de volonté du président de la République et du gouvernement de défendre» ce texte.

En déplacement à Caen (Calvados) dimanche 14 janvier, pour parler entre autres du pouvoir d'achat, Gabriel Attal prend également la défense de la décriée loi immigration.

Le 4 janvier 2024, la Cour des comptes a publié son rapport consacré à la lutte contre l’immigration irrégulière qui complète son rapport de mai 2020 sur l’immigration régulière et le droit d’asile.

L’ancien ministre socialiste de l’Economie et des Finances a dit ne pas vouloir jeter de l’huile sur le feu après le vote de la loi immigration. Sa décision fait polémique. Mais pourquoi, au juste ?

Dans une lettre ouverte au président du Conseil constitutionnel, Sophie de Menthon revient sur la loi Immigration, examinée actuellement par la juridiction.

Que ce soit sur l’immigration, l’Europe ou l’éducation

Dans un entretien au JDD, le président du Modem observe que les "Français approuvent massivement cette loi, dans tous les courants de l’opinion, même à l’extrême-gauche".

La loi sur l'immigration, adoptée au parlement en début de semaine, soulève notamment la question de l'immigration économique. Pour David Lisnard, il est essentiel de ne pas tomber dans les mêmes travers que certains de nos voisins. Explications.

La loi immigration a été adoptée au Parlement ce mardi 19 décembre, dans la soirée. Elle reste très contestée, notamment à gauche, et certains députés ont fait savoir qu’ils avaient saisi le Conseil constitutionnel. Ils ne sont à priori pas les seuls…

Il s’agit bien sûr de la nouvelle loi sur l’immigration.

Estelle Youssouffa, Naima Moutchou et Huguette Tiegna, trois élues de la République, ont été vivement critiquées pour avoir voter la loi immigration. Elles ont été renvoyées à leurs ascendance étrangère supposée par une partie de la gauche et harcelées sur les réseaux sociaux.