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Les députés britanniques viennent de se prononcer contre un retour anticipé aux urnes. Ils ont rejeté lundi soir la tenue des élections législatives anticipées au 12 décembre. Boris Johnson va néanmoins présenter un projet de loi pour que ces élections aient lieu.

Les journaux n'épargnent pas la Première ministre britannique Theresa May après le rejet massif de l'accord du Brexit par le parlement.

Pour Sinan Ülgen, chercheur au sein du think tank Canergie, le Brexit, même s'il risque de provoquer une période de turbulences, peut également constituer une opportunité de redéfinir les relations et les cadres d'association entre l'Union européenne et des pays comme la Turquie.

Alors que les Britanniques ont voté pour une sortie de l'Union européenne, l'ancien président français Valéry Giscard d'Estaing livre en exclusivité pour Atlantico sa vision d'une Europe réformée.

Malgré le choix des Britanniques de quitter l'Union européenne, espérant ainsi régler certains problèmes comme celui de l'immigration intraeuropéenne, il apparaît assez vraisemblable que les relations régissant le Royaume-Uni et l'Union européenne demeurent inchangées.

Le départ des Anglais, après tout, c'est leur affaire. Ce qui est inquiétant, c’est que l’Union européenne est sans doute incapable d'en tirer les leçons, à commencer par la gouvernance française.

Après des semaines de débats, le camp du Brexit l'a emporté ce vendredi avec 52% des voix. Pour autant, le changement ne sera pas immédiat : l'Union européenne et le Royaume-Uni mettront deux à trois ans à dénouer les liens qui les unissent.

Dans cette interview, Hervé Mariton précise certains des arguments invoqués dans sa vidéo adressée il y a quelques jours aux concitoyens britanniques afin de les convaincre de voter contre le Brexit.

Le volet institutionnel est le plus largement développé sur les questions européennes, et notamment sur la question du Brexit, au détriment des éléments d'union et de désunion des Européens.

Selon un récent sondage, une majorité de Suédois souhaiteraient une sortie de l'Union européenne en cas de Brexit. Le renforcement du rôle de l'Allemagne et de la France explique en partie ce résultat.

Barack Obama dans son discours prononcé la semaine dernière à Londres a expliqué que si la Grande Bretagne quittait l'Union Européenne, elle pourrait faire la queue pour obtenir des arrangements tarifaires en matière d'accords commerciaux.

Son gouvernement avait déjà contre lui les médecins. Maintenant ce sont les cliniques qui réalisent des « bénéfices déraisonnables » qui sont pointées du doigt. Si elles ont été bien gérées, elles devront rendre une partie des fonds publics dont elles ont bénéficié.

Le Premier ministre britannique a présenté le 10 novembre ses conditions dans les négociations avec les partenaires européens.

Une initiative populaire donnera au mois de juin la possibilité aux Autrichiens d'exprimer leur volonté de quitter l'Europe. Un mouvement qui reste marginal mais qui pourrait avoir un impact symbolique non négligeable.

Le Premier ministre britannique David Cameron ne veut pas de Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission européenne, et il le fait savoir haut et fort.

Une tribune de Philippe Juvin, député européen et maire UMP de la Garenne-Colombe, et Aurore Bergé, conseillère politique de l'UMP.

L'ancien Premier ministre britannique s'est montré très critique à l'encontre de la décision de David Cameron d'organiser un référendum pour une éventuelle sortie de l'UE.

Le Premier ministre britannique a estimé que "le danger est que l'Europe échoue et que les Britanniques dérivent vers la sortie".