Contenus en rapport avec le mot-clé Gabriel Attal

Isolé, stratégiquement illisible, l’ancien Premier ministre est désormais aussi impopulaire que Jean-Luc Mélenchon. Au moins à court terme, la remontada semble peu probable.

La dissolution surprise de l’Assemblée nationale en 2024 a marqué le tournant brutal du second quinquennat d'Emmanuel Macron. Dans La foudre et les cendres : Macron, les secrets d'une succession interdite (éditions de L’Observatoire), le journaliste Louis Hausalter lève le voile sur les coulisses d’une décision solitaire, les fractures d’un pouvoir en crise, et les ambitions féroces de ceux qui lorgnent déjà sur l’après-Macron.

En proposant de suspendre la réforme des retraites jusqu’en 2028, Sébastien Lecornu pensait apaiser les tensions avec les socialistes et éviter une censure immédiate. Mais ce geste, perçu par certains comme une marque de lucidité politique, passe mal dans son propre camp.

Alors qu’Emmanuel Macron doit dévoiler ce vendredi 10 octobre le nom de son nouveau Premier ministre, la piste d’une reconduction de Sébastien Lecornu n’est toujours pas écartée.

Au lendemain de la démission express de Sébastien Lecornu, l’ancien Premier ministre Gabriel Attal a publiquement exprimé son désarroi face à la stratégie du chef de l’État. Alors que la France s’enfonce dans une impasse institutionnelle, il appelle à « changer de méthode » et à « partager le pouvoir ».

À dix-huit mois de la prochaine élection présidentielle, un sondage Ifop-Fiducial pour L’Opinion et Sud Radio confirme la domination écrasante du Rassemblement national.

Édouard Philippe comme Gabriel Attal semblent vouloir se détacher de la personne d'Emmanuel Macron. Mais quel sens politique donner à ces « ruptures » médiatiques des principaux héritiers du macronisme ?

Et aussi, dans vos hebdos cette semaine : Marianne se fend d’un hors-série sur la condamnation de Sarkozy, rien que ça ! La reconnaissance de la Palestine échauffe les esprits, et Jean-Noël Barrot prend la lumière dans Le Nouvel Obs. Quant à Valérie Pécresse, elle joue, dans la bataille dissolution/démission, l’atout gaullien du referendum.

Gabriel Attal a esquissé un projet pour la présidentielle qui semble convoquer deux pôles en apparence opposés : la fermeté sur le régalien et le progressisme, avec notamment une proposition d’insertion dans la Constitution d’un principe de non-régression sociétale.

Lors de son discours de rentrée, l’ancien premier ministre a proposé d’inscrire le principe de « non-régression sociétale » dans la Constitution.

La démission de François Bayrou symbolise l’effritement du bloc central. Édouard Philippe, Gabriel Attal et Horizons en sont les premières victimes, fragilisés par l’impopularité du macronisme et l’émergence de Bruno Retailleau.

Cette semaine, les Unes des magazines people nous emmènent en vacances avec les célébrités : Paris Match célèbre la dolce vita des Casiraghi, Public s’amuse du retour à la légèreté de Kendji Girac, Closer immortalise les retrouvailles corses de Gabriel Attal et Joyce Jonathan, Ici Paris dramatise l’anniversaire de Laeticia Hallyday, tandis que Voici mise sur l’humour avec les vacances façon sketch de Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau, sans oublier l’escapade vénitienne des Bruni-Sarkozy.

Avoir été le plus jeune Premier ministre de France n’empêche pas d’avoir des réflexes de vieux.

En pleine crise identitaire, Renaissance se cherche un nouveau nom à vrai potentiel « fédérateur » façon France insoumise. Gabriel Attal lance un concours d’idées auprès des adhérents.

Une étude menée par le baromètre Verian révèle que 28% des Français aimeraient voyager avec le président du Rassemblement national. Marine Le Pen et Gabriel Attal complètent le podium.

Conseil constitutionnel : gardien de la démocratie ou fossoyeur de la souveraineté populaire ?

Dans un grand entretien pour L’Express, le président de la région des Hauts-de-France explique comment la droite doit combattre le parti de Marine Le Pen. Sans manquer d’étriller Edouard Philippe, Gabriel Attal ou encore François Bayrou.

Les députés ont approuvé à l'unanimité lundi une proposition de loi de Gabriel Attal, « élevant Alfred Dreyfus au rang de général de brigade ».

Le voilement des petites filles est probablement impossible à interdire pour des raisons pratiques, mais comment en arrive-t-on à en faire une « liberté » ?

L'ancien ministre, proche de François Bayrou, a accordé un entretien à La Tribune Dimanche.