Contenus en rapport avec le mot-clé émeutes de 2023

Après les émeutes qui ont embrasé la France cet été, Élisabeth Borne, accompagnée de plusieurs ministres de poids, exposera les mesures régaliennes du gouvernement.

Le coût des sinistres liés aux violences qui ont suivi la mort d'un adolescent avait été évalué à 650 millions d’euros précédemment.

Cette note intervient après la polémique suscitée par l'expulsion la semaine dernière par le préfet du Val-d'Oise d'un émeutier condamné et de ses proches d'un logement social qu'ils occupaient.

Le ministre de la Justice avait promis d'apporter une réponse pénale "rapide, ferme et systématique" à l'encontre des auteurs de violences urbaines après la mort de Nahel.

Sur les difficultés rencontrées par des commerçants et des maires pour financer leurs travaux après les dégradations, Sabrina Agresti-Roubache a estimé que la réponse de l'État avait été à la hauteur.

Éviter la négation ou les paniques nécessiterait que le ministère de l'Intérieur, et le ministre, instruisent l'opinion, au lieu de mentir.

Bruno Retailleau a été conspué pour avoir parlé de régression ethnique comme d’autres pour avoir douté du sentiment national des émeutiers. Des propos qui ne reflètent peut-être pas la réalité de ce qui s’est passé. Certainement pas des propos fascistes ni dénués de fondement comme le prouve l’analyse des émeutes publiée par le Parti des indigènes de la République.

Après les émeutes qui ont eu lieu en France, l’heure est au bilan, et celui-ci est « terrifiant » selon Les Républicains.

Lors de son audition par l'IGPN, le policier de 38 ans a affirmé avoir seulement hurlé de couper le contact et frappé le pare-brise de la voiture, d’après un compte rendu de ses déclarations consulté par Le Parisien.

La patronne des députés RN fait le lien entre les émeutes de la semaine passée et un «problème d’assimilation dans notre pays».

La décrue des violences se confirme et l'heure est au décompte du nombre de blessés pendant ces émeutes.

Après plusieurs jours en apnée, la France semble enfin pouvoir reprendre son souffle et profiter d’une accalmie suite à des émeutes et des pillages d’une rare intensité.

Ces derniers jours, l’univers s’est fracturé et la réalité des uns et des autres a connu une violente rupture.

Des voix se sont élevées au Maghreb pour déplorer la rancœur existante et visible envers l'Etat français. Parmi elles, le journaliste tunisien Salah El Gharbi, qui analyse les émeutes qui ont touché la France.

Ces personnes se plaignent en effet de souffrir d’ « injustice » : elles sont frustrées et se sentent « humiliées », ce qui les conduit à une attitude d’hostilité à l’égard de notre société et de ses représentants : police, pompiers, médecins, etc…

Il était car il faut presque en parler au passé.

Le domicile de Vincent Jeanbrun a été la cible d'une agression à la voiture-bélier, dans la nuit de samedi à dimanche. Des rassemblements de soutien ont eu lieu dans plusieurs villes de France lundi.

Ces derniers « Indiana Jones » des temps modernes, en quête de trésor, non pour les piller, mais les offrir et les déposer sur le compte du bien commun. Au crédit, même s’ils vivent à découvert. Et c’est là le problème.

Au cours des soirées du vendredi 30 juin et samedi 1er juillet, les militants d’extrême droite occupant un local dans le centre-ville d’Angers (Maine-et-Loire) sont sortis dans la rue à plusieurs reprises, exhibant des battes de base-ball et se montrant prêt à en découdre. Face à la démonstration d’un attroupement armé, le procureur de la République d’Angers indique qu’une enquête est ouverte.

La violente attaque à la voiture-bélier qui a visé le domicile du maire de L'Haÿ-les-Roses, dans le Val-de-Marne, a provoqué dimanche une indignation unanime en France. Le président de cette organisation, le maire de Cannes David Lisnard, a appelé la population à se rassembler lundi 3 juillet à midi devant toutes les mairies.