Émeutes : Marine Le Pen dénonce «la haine de la France» des jeunes casseurs<!-- --> | Atlantico.fr
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La patronne des députés RN fait le lien entre les émeutes de la semaine passée et un «problème d’assimilation dans notre pays».
La patronne des députés RN fait le lien entre les émeutes de la semaine passée et un «problème d’assimilation dans notre pays».
©Ludovic MARIN / AFP

"Problème d'assimilation"

La patronne des députés RN fait le lien entre les émeutes de la semaine passée et un «problème d’assimilation dans notre pays».

L’heure est cette fois au bilan pour Marine Le Pen, alors que l’accalmie se confirme partout en France. «Les émeutes que nous avons vécues sont d’une nature beaucoup plus inquiétante que celles de 2005», a-t-elle assuré ce jeudi sur le plateau de France 2. En cause, des jeunes désormais «armés» s’en prenant notamment à des «petites villes de province qui étaient préservées de ces agissements».

Pour la députée RN, seule «la haine de la France» guide l’action de ces casseurs, dépourvus d’une quelconque «volonté politique». «Nous avons subi une immigration totalement anarchique depuis 40 ans», entraînant un phénomène de «sécession avec la société française. Continuez à ne pas vouloir voir la réalité !», a-t-elle affirmé.

Un discours pourtant balayé, mercredi, par le ministre de l’Intérieur. «Oui, il y a des gens qui apparemment pourraient être issus de l'immigration. Mais il y a eu beaucoup de Kevin et Mattéo», a maintenu Gérald Darmanin, auditionné devant le Sénat. Parmi les 4000 personnes interpellées, «moins de 10% étaient étrangers», avait-il déjà assuré, mardi, à l’Assemblée. «C’est une réalité fausse. Il sait très bien qu’une ultramajorité de personnes impliquées se sentent étrangers ou sont d’origine étrangère», a répliqué Marine Le Pen. Selon elle, ces émeutes illustrent une fois de plus le «problème de l’assimilation dans notre pays».

Le Figaro

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