Violences impliquant l’extrême droite à Angers : enquête ouverte pour « attroupement armé »<!-- --> | Atlantico.fr
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Face à la démonstration d’un attroupement armé, le procureur de la République d’Angers indique qu’une enquête est ouverte.
Face à la démonstration d’un attroupement armé, le procureur de la République d’Angers indique qu’une enquête est ouverte.
©France Bleu

Enquête

Au cours des soirées du vendredi 30 juin et samedi 1er juillet, les militants d’extrême droite occupant un local dans le centre-ville d’Angers (Maine-et-Loire) sont sortis dans la rue à plusieurs reprises, exhibant des battes de base-ball et se montrant prêt à en découdre. Face à la démonstration d’un attroupement armé, le procureur de la République d’Angers indique qu’une enquête est ouverte.

« On a peur de se faire tabasser par des fachos », réagissent plusieurs riverains, après avoir assisté à une scène presque surréaliste, face à un groupe armé, en plein centre-ville d’Angers. Dans la soirée du samedi 1er juillet 2023, les militants d’extrême droite du groupuscule identitaire Alvarium – dissous il y a deux ans en conseil des ministres pour ses appels à la violence et à la discrimination – se sont à nouveau réunis dans leur local, en plein centre-ville d’Angers.

Ouest-France

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