Contenus en rapport avec le mot-clé Ve République

Jean-Sébastien Ferjou était l’invité de 100% Politique sur CNEWS ce lundi 16 décembre. « François Bayrou a réussi à forcer Emmanuel Macron à reconnaître que nous étions dans une phase parlementaire du régime. Mais il sera tout aussi dépendant du RN que le gouvernement précédent », a déclaré Jean-Sébastien Ferjou.

Comme Emmanuel Macron et ses prédécesseurs avant lui, Michel Barnier a décidé de limiter à 15 le nombre de conseillers dont un ministre de plein exercice peut s’entourer.

Quand le pouvoir politique est faible ou vacant, l’Etat profond ne perd par le nord.

En commission des finances lundi, le parlementaire proche de Jean-Luc Mélenchon s’est prêté à une allocution laborieuse, lisant avec difficulté ses propres notes et s’embrouillant dans les chiffres sur la fraude fiscale.

Et si l’équation politique à laquelle se heurtent Emmanuel Macron et tous ses « consultés » était en réalité très simple ? Il ne peut pas y avoir de majorité ni de « stabilité institutionnelle », avec un double cordon sanitaire, l’un contre le RN, l’autre contre LFI (voire le NFP).

Au regard de l'impasse politique actuelle, quelles solutions auraient pu proposer les présidents de la Ve République dans la même situation de crise politique ?

La crise politique amène à s'interroger sur le rôle du chef de l'Etat et sur les institutions de la Ve République.

Pour l’ancien analyste de la CIA qui avait notamment prédit l’avènement des Gilets jaunes, le président de la République avait pour mission de sauver le pouvoir des élites françaises. Par son extrémisme personnel, il les aura envoyées sur la touche.

La semaine qui s’achève a peut-être amorcé un changement de gouvernance de la France. Entre Emmanuel Macron qui reprend la main sur le régalien, Gabriel Attal qui se consacre au management de l'administration, Bruno Le Maire qui cherche à imposer des arbitrages budgétaires pour assainir la situation, et Gérald Darmanin qui se consacre à la sécurité publique, la gouvernance semble plus claire. Et si elle est plus claire, elle sera peut-être plus efficace.

Gabriel Attal a prononcé ce mardi son discours de politique générale, lors duquel il a dévoilé son cap et ses chantiers prioritaires.

La Ve République a déjà connu en 65 ans trois premiers ministres qui ont laissé une trace dans l’histoire en prévenant d’une mutation profonde de la société et en s’affranchissant de leur président. Sous réserve de l'avenir, Gabriel Attal sera sans doute le quatrième.

Le Premier ministre est devenu progressivement un « primus inter pares » parmi tous les ministres, de moins en moins leur chef, de plus en plus court-circuité par un Elysée surpuissant.

Après l'échec du gouvernement sur le projet de loi Immigration, le chef de l'Etat fait face à une crise politique majeure.

Emmanuel Macron s'est vu être critiqué par bon nombre d'ambassadeurs pour sa position alambiquée sur le conflit israélo-palestinien.

Le président de la République a prononcé un discours devant le Conseil constitutionnel ce mercredi à l’occasion des 65 ans de la Constitution.

Emmanuel Macron devrait prononcer ce mercredi un discours à l'occasion des 65 ans de la Constitution de la Ve République. L'Elysée évoque un "événement particulièrement important".

L’ouvrage collectif « Mensonges d'Etat : Une autre histoire de la Ve République » est publié sous la direction d’Yvonnick Denoël et de Renaud Meltz chez Nouveau Monde éditions. Le mensonge d'État ne créé pas seulement la défiance : il empêche un pays d’être véritablement libre, en ne lui permettant pas de se gouverner en toute connaissance de cause. Extrait 1/2.

Charles Zorgbibe publie « Entre despotisme et démocratie Histoire constitutionnelle de la France » aux éditions du Cerf. De charte en loi fondamentale et en constitution, des États généraux de 1789 aux Cahiers de doléances de 2019, la France n'en finit pas de définir et redéfinir la règle commune. Peuple politique par excellence, les Français ne cessent d'inventer leur être pour continuer de réinventer leur devenir. Extrait 2/2.

Selon l’ancien analyste de la CIA qui avait prédit les Gilets jaunes, les institutions ont subi une telle hémorragie de légitimité que tout événement -même symbolique- peut provoquer la colère.

Alors que la crise sociale autour de la réforme des retraites est en passe de se transformer en crise politique profonde, beaucoup soulignent le besoin d’un renouveau démocratique institutionnel. Et si le problème était (aussi) ailleurs ?