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L'adversaire le plus féroce de Donald Trump est bel et bien le marché obligataire. Les rendements des bons du Trésor chutent fortement mais pas pour les raisons souhaitées par le président.

Les dirigeants du secteur des cryptomonnaies ont été reçus par le président américain hier soir pour lui demander de se calmer, car rien de ce qu’il fait dans la sphère économique ne contribue aux intérêts de l’économie.

Carlos Tavares promettait de mondialiser le renouveau de l'industrie française, mais son règne se termine dans la douleur. La conjoncture s’est retournée, mais il voulait aller trop vite, trop loin, avec une communication des plus arrogantes. La réalité des affaires s’est vengée.

Drôle de semaine pendant laquelle Donald Trump a dit n'importe quoi, et l'Europe a peut-être découvert les moyens de riposter à l'impérialisme des USA et de résister aux ambitions folles de Vladimir Poutine. C’est du moins ce qui ressort du comportement des marchés.

La Bourse de New York a reperdu les gains accumulés au moment de l'élection de Donald Trump et se méfie des coups de chaud de l'économie américaine. Les analystes financiers doivent s'arracher les cheveux. Comprenne qui pourra. Courage, fuyons...

Tout laisse penser que le gouvernement Bayrou a choisi de plaire à la gauche pour éviter la censure, ce qui ne permettra pas de redresser les finances publiques et de retrouver de la croissance. Or, la croissance est la mère de toutes les réformes.

De votre réponse a priori dépend la stratégie d’investissement et d’épargne que vous devriez adopter.

Le CAC 40 a enregistré la pire performance parmi les indices de la zone euro cette année. A l’échelle mondiale, il figure également parmi les indices les moins performants en 2024.

Les marchés financiers étaient très peu préoccupés mercredi par la censure du gouvernement de Michel Barnier.

Donald Trump a fait toute sa campagne contre l'inflation Biden. Mais va-t-il la faire renaître ?

Les boursiers américains attendaient Trump avec beaucoup d’optimisme, d’où l’euphorie des indices… Maintenant qu’il est arrivé, les plus malins d’entre eux vont se retirer, car l’application de son programme risque de les décevoir. Pour les mêmes raisons, les investisseurs européens, eux, ont peut-être été trop pessimistes.

Les hommes d’affaires sont restés prudents et discrets (sauf Elon Musk), mais les marchés, eux, parlent... Aux États-Unis, le Dow Jones et surtout le dollar anticipent le retour de Donald Trump... d’où la hausse qui parait surprenante aux observateurs étrangers car les marchés étrangers eux (Amérique du Sud, Asiatiques et Européens) s’inquiètent fortement.

Les marchés européens s'inquiètent, laisse entendre le Financial Times, d'une potentielle élection de Donald Trump le 5 novembre.

Le prix du Bitcoin s’est envolé depuis trois mois. Les investisseurs en cryptomonnaies pensent que le prix du Bitcoin pourrait à nouveau grimper, atteignant un nouveau sommet, si Donald Trump gagne l’élection présidentielle.

Le gouverneur de la Banque du Japon, Kazuo Ueda, a averti que les marchés mondiaux restaient instables et a réaffirmé son engagement à relever les taux d'intérêt si l'inflation et la croissance économique du pays restaient sur la bonne voie.

L’augmentation des taux d’intérêt sur la dette française en raison de l’instabilité politique est-elle vraiment derrière nous comme semble le croire le Trésor ?

Pour les marchés et les entreprises, la situation politique qui se dessine écarte les risques les plus graves de catastrophes économiques et financières, mais accroît les incertitudes à moyen terme. Pour nos partenaires étrangers, la France serait donc actuellement en train de s'acheter du temps.

Les milieux financiers considèrent que la France a évité le risque majeur et systémique que représentait l’arrivée d’un pouvoir extrémiste de gauche ou de droite. Cela dit, les Européens craignent que la France soit très difficile à gouverner.

Les bourses ont terminé des deux côtés de l’Atlantique dans une euphorie historique et durable. Alors que les pessimistes dominent l’espace médiatique, et que les dictatures se battent contre le système libéral capitaliste, quel pied de nez ! D’autant que les moteurs de la bourse sont aujourd’hui les épargnants particuliers du monde entier.

Pour les marchés financiers internationaux, l'éventualité d'un effondrement en bourse des grandes valeurs de la tech américaine relève d'un film catastrophe, sauf que « les arbres ne montent pas jusqu'au ciel ». Les risques de dérapage existent.