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2024 est une année de « super-cycle » au cours de laquelle 3,7 milliards d'électeurs éligibles dans 72 pays ont eu la possibilité de se rendre aux urnes. Il s'agit également des premières élections basées sur l'IA, pour lesquelles beaucoup craignaient que les deepfakes et les fausses informations générées par l'intelligence artificielle ne submergent les processus démocratiques.

Nous sommes de plus en plus conscients de la manière dont la désinformation peut influencer les élections. Environ 73 % des Américains déclarent avoir vu des informations trompeuses sur les élections, et près de la moitié d'entre eux ont du mal à discerner ce qui est vrai ou faux.

Alors que les États-Unis s'apprêtent à vivre une nouvelle élection litigieuse aux enjeux considérables, les inquiétudes concernant la propagation généralisée de fausses informations sur l'intégrité des élections sont à nouveau d'actualité.

Les campagnes d'influence étrangères, ou opérations d'information, ont été très répandues à l'approche de l'élection présidentielle américaine de 2024.

De nombreuses recherches ont été menées sur les types de personnes qui croient aux théories du complot et sur les raisons qui les poussent à le faire. Mais il y a un problème : mes collègues et moi avons découvert qu'un certain nombre de personnes partageant des théories du complot en ligne ne croient pas à leur propre contenu.

L'intelligence artificielle (IA) a déjà transformé notre façon de travailler et de communiquer. Désormais, elle fait son chemin jusque dans nos poches.

Afin de discréditer la campagne de la candidate Kamala Harris, le groupe d’influence russe, Strom-1516, a produit deux fausses vidéos.

De nombreux électeurs sont prêts à accepter la désinformation des dirigeants politiques, même lorsqu'ils savent que les faits sont inexacts.

Le groupe américain Meta, qui possède Facebook, Instagram et WhatsApp, a annoncé lundi 16 septembre interdire aux médias d'État russes d'accéder à ses plateformes dans le monde entier, pour éviter toute «activité d'ingérence étrangère».

Le projet de loi phare de l'Union européenne sur l'intelligence artificielle, communément appelé « AI Act », est entré en vigueur le jeudi 1er août.

Présenté quelques jours après l’arrestation d’un espion russe soupçonné de préparer des actions de déstabilisation, le texte propose une quarantaine de propositions contre la désinformation.

Il est important de suivre certains conseils afin de ne pas propager des informations erronées et pour identifier les fakes news sur les réseaux sociaux.

La correspondance piratée d'officiers de l'agence russe de renseignement extérieur (SVR) dévoile la stratégie du Kremlin dans le cadre de la guerre de l'information.

Le CIO a vivement démenti les rumeurs d'une annulation des Jeux sur fond de crise politique en France et dénonce une « campagne de désinformation en cours contre la France ».

Les élections européennes de ce week-end se jouent dans un contexte géopolitique chargé. Pourtant, aucun acte de désinformation significatif a été détecté pour l'instant, notamment russe, certainement en raison de la soudaineté du scrutin.

Des faux comptes d'anciens sympathisants de droite qui voteront pour le nouveau Front Populaire lors des élections législatives se multiplient sur les réseaux sociaux.

Incivilités, violences, défiance, désinformation, refus de l’autorité, complotisme, populisme, décivilisation… Les valeurs de notre République sont aujourd’hui menacées, de l’intérieur comme de l’extérieur, et notre démocratie est en panne, à l’image de ce qui se passe dans une large partie du monde occidental. Comment en sommes-nous arrivés là ? Comment sortir de l’impasse ? Telles sont les questions, graves, complexes et urgentes auxquelles il nous faut impérativement répondre aujourd’hui.

Depuis quelques jours, des vidéos d'influenceurs pratiquant le JO bashing apparaissent sur les réseaux sociaux.

L’organisation vient de publier un rapport dans lequel elle fait plusieurs propositions pour protéger et renforcer les démocraties occidentales face aux tentatives de déstabilisation.

Oxfam se plaint de l'accroissement des inégalités. Il n'y a qu'un seul problème : les chiffres ne s'additionnent pas.