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Contenus en rapport avec le mot-clé consumérisme

article imagePolitique
La question est poséeNotre-Dame-des-Landes : victoire des zadistes ou défaite de l’étatisme dépensier?

L’abandon salutaire du projet de Notre-Dame-des-Landes suscite des commentaires désobligeants chez les Bretons. Certains présentent la décision du gouvernement comme un déni de démocratie. Il faut pourtant rappeler que la Bretagne fait l’objet de nombreux investissements publics d’ores et déjà délirants. Ce n’est pas la victoire des zadistes qu’Emmanuel Macron a consacrée, mais la défaite de l’étatisme dépensier qu’il vient de consacrer.

avec Éric Verhaeghe
RDV Revue de presse : La vague portant un « Président Ikea » va-t-elle déferler au milieu d’une OPA Le Pen sur la droite ?Société
Bonnes feuillesLa France, cette République schizophrène empêtrée (pour de bon ?) dans "le choc des crises de civilisation"

Une guerre se gagne d’abord dans les esprits. Mais au nom de quel héritage et pour quels idéaux les Européens seraient-ils encore prêts à se battre ? Cette question est la seule qui vaille. Dès 2002, avec une cruelle ironie, Philippe Muray invitait les djihadistes à « craindre le courroux de l’homme en bermuda ». Il annonçait la suite en ces termes : nous serons les plus forts car nous sommes les plus morts. Souhaitons-nous lui donner raison ? Extrait de "Pour quoi serions-nous encore prêts à mourir ?" d'Alexandra Laignel-Lavastine, aux Editions du Cerf (2/2).

avec Alexandra Laignel-Lavastine
article imageStyle de vie
Auto-destructionEt si l’obsession pour les selfies, les départs pour la Syrie ou les profanations de cimetières étaient les différentes facettes d’un même mal : le suicide de l’Europe par le triomphe du matérialisme ?

Pas une minute sur Internet sans tomber sur un selfie, pas une minute dans les journaux d'information sans entendre ou lire des récits de jeunes partis au djihad ou de cimetières juifs profanés. Le coupable de cette frénésie de perte de sens ? Le matérialisme exacerbé.

avec Bertrand Vergely etGilles Lipovetsky
article imageConsommation
Le bonheur ne s'achète pas, il se vit10 ans d’études et une conclusion sans appel : vous voulez être heureux, offrez-vous des expériences plutôt que de vous acheter des choses

Après avoir regardé, épluché et analysé plusieurs études sur les rapports entre consommation et bonheur, deux psychologues américains ont trouvé des différences en fonction des biens acquis. Les achats d'expérience, comme des vacances ou un concert, apportent infiniment plus de bonheur que les biens matériels, comme les téléphones.

avec Pierre Coté