reserche

Contenus en rapport avec le mot-clé Voltaire

Benoît DuteurtreCulture
Atlantico LitteratiBenoît Duteurtre : les vertueux ridicules

Les oukases de la bien-pensance tuent la France de Montaigne et de Voltaire dit Benoît Duteurtre, écrivain, critique musical et producteur sur France-Musique ; l’arrière-petit-fils de René Coty est le seul romancier de ce temps capable de pleurer en douce tout en nous faisant -beaucoup- rire. Précisions.

avec Annick Geille
Moyen AgeHistoire
Radio Atlantico 1300-1450 : un Moyen Age (vraiment) en crise?

Storiavoce, en partenariat avec Atlantico, vous propose une émission sur le Moyen Age, une période victime de nombreuses idées reçues, de raccourcis historiques et d’anachronismes. Joël Chandelier, maître de conférences en histoire médiévale à l’université Paris 8, est interrogé par Christophe Dickès.

article imageHistoire
RivalitéEt si on s’était trompé de Voltaire ?

Le journaliste et critique littéraire Élie Fréron a peu à peu été effacé de notre mémoire collective. Malik Bezouh revient sur ce destin hors du commun et retrace la rivalité entre Élie Fréron et Voltaire.

avec Malik Bezouh
article imageHistoire
Bonnes feuillesPourquoi il faut briser les "idéaux des Lumières"

Pour Marc Halévy, aucun doute, les Lumières ont menti. On les vante, on s’en réclame. Pourtant, la pensée d’une dizaine de philosophes français du xviiie siècle a engendré beaucoup d’idéologies totalitaires qui ont ravagé l’Europe pendant 250 ans. C’est la thèse ardemment défendue ici : les idéaux de ces philosophes impliquaient, pour leur mise en oeuvre, le recours systématique à la force et à la violence, tant le moule de leur pensée était étroit pour y faire entrer toute la réalité. Extrait de "Les mensonges des Lumières" de Marc Halévy, aux éditons du Cerf (2/2).

avec Marc Halévy
article imageFrance
Bonnes feuillesMal élevé ? Pourquoi Alexis de Tocqueville n'appréciait pas les bonnes manières françaises

En célébrant la civilité, les penseurs des Lumières expriment une confiance nouvelle dans la nature humaine : les hommes sont naturellement sociables et le progrès des manières aide à les rendre plus heureux et plus vertueux. Mais ces promesses recouvrent une sourde inquiétude : les formes les plus raffinées de la civilité peuvent aussi dissimuler le mensonge et favoriser la domination. Extrait de "La politesse des Lumières" (2/2).

avec Philippe Raynaud
article imageFrance
Bonnes feuillesFaut-il toujours rester poli ? Ce qu'en pensait Jean-Jacques Rousseau

En célébrant la civilité, les penseurs des Lumières expriment une confiance nouvelle dans la nature humaine : les hommes sont naturellement sociables et le progrès des manières aide à les rendre plus heureux et plus vertueux. Mais ces promesses recouvrent une sourde inquiétude : les formes les plus raffinées de la civilité peuvent aussi dissimuler le mensonge et favoriser la domination. Extrait de "La politesse des Lumières" (1/2).

avec Philippe Raynaud