Contenus en rapport avec le mot-clé stratégie électorale

Réélu avec un score de 56,8%, Emmanuel Macron se caractérise par des discours très marketés, à géométrie variable selon les segments électoraux auxquels il s’adresse : deux réalités pour un président attrape-tout

Eric Zemmour a plaidé ce mardi pour une « grande coalition des droites et de tous les patriotes » pour « bâtir une majorité » dans le cadre des élections législatives de juin « contre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon ».

Elle pensait manifestement à quelqu'un...

The show must go on.

Les erreurs stratégiques de l’Europe commises depuis la fin des années 1980 ont conduit à notre impuissance actuelle face à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Emmanuel Macron assume de vouloir "emmerder" les non-vaccinés, les reléguant au rang de bouc-émissaires. Une stratégie qui peut rappeler celle employée pendant la crise des Gilets jaunes

Si le candidat ne saurait être responsable des excès commis ou prononcés par d’autres, certaines clarifications lui permettaient probablement de gagner plus d’électeurs qu’il n’y perdrait

Les Républicains multiplient les attaques et les critiques contre Eric Zemmour, qui connaît un bond spectaculaire dans les sondages. Cette stratégie s'apparente-t-elle aux méthodes employées par les Républicains américains pour tenter de débouter la candidature de Donald Trump avant son élection ?

Emmanuel Macron s'est lancé dans un tour de France, qui doit compter une dizaine d'étapes d'ici mi-juillet, pour "aller au contact des Français". Une stratégie loin de cette de la "parole jupitérienne rare" qu'il envisageait au début de son mandat.

Les deux finalistes de la primaire de la droite et du centre ont débuté leur campagne de second tour, chacun avec sa stratégie propre. S'il ne leur est plus véritablement possible de se démarquer sur la semaine d'entre-deux tours, des différences tactiques antérieures sont susceptibles d'expliquer au moins partiellement les résultats du premier tour.

La haine de Nicolas Sarkozy envers François Bayrou est ouverte et déclarée. Mais au-delà de la vieille rancune, c'est une vraie stratégie électorale mise en place par l'ancien président de la République.

"Les Texans pour Obama", "Les chauffeurs de taxi pour Obama " des t-shirts présents à chaque élection américaine. Là-bas les politiciens s'adressent à la personnalité des électeurs. C'est loin d'être le cas en France. Deuxième volet de notre série consacrée aux expériences américaines qui pourraient nous inspirer.

Les deux candidats ont placé la question identitaire au coeur de leur campagne. A juste titre tant cette thématique trouve un écho profond au sein de la France d'aujourd'hui.

Alors qu'il avait réussi ces dernières semaines à passer devant François Hollande dans les intentions de vote pour le 1er tour selon plusieurs instituts de sondage, le président-candidat a été placé en deuxième position par une enquête publiée mercredi par CSA. De quoi s'interroger sur la stratégie de campagne ?

Alors qu'elle pourrait arriver en 3ème position à la présidentielle, la candidate du FN assure qu'elle ne donnera pas de consigne de vote pour le second tour. Son électorat, s'il décidait de s'abstenir massivement, pourrait bien faire élire François Hollande.

Selon un sondage CSA publié la semaine passée, 59% des électeurs du candidat socialiste voteraient pour lui avant tout parce qu'ils ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy soit Président de la République. Cette situation, qui rappelle 2002 avec un Jacques Chirac reconduit "par défaut", lui permettrait-elle de construire une présidence solide ?