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Nouvel acte de violence dans un établissement scolaire américain. Mardi, quatre jeunes âgés de 15 à 18 ans ont été blessés par balle dans un lycée du sud de Dallas, au Texas. L’auteur présumé des tirs serait un élève. Les victimes ont été hospitalisées, leurs jours ne seraient pas en danger. L’école avait déjà été le théâtre d’une fusillade en 2024.

Selon un sondage pour le site Politico, 77% des sondés considéraient que la criminalité violente était un problème national majeur. De 2019 à 2021, le nombre d'homicides a explosé aux Etats-Unis.

Alors que le président de la République réalise un déplacement sur le thème de la sécurité en zone rurale ce jeudi, son gouvernement est monté au créneau contre les propos de Jean-Luc Mélenchon. Pourtant sur la question des violences policières comme de la légitime défense en passant par la politique pénale face aux délinquants multi-récidivistes, bien malin celui capable de décrypter la ligne politique de ce que serait une majorité macroniste à l’Assemblée.

L'ancien président des États-Unis sait pertinemment à qui il s'adresse.

L'ancien président américain a défendu le deuxième amendement de la constitution américaine durant la convention annuelle du lobby des armes américain au Texas.

Alors que les négociations vont bon train sur les équilibres politiques au sein du gouvernement, la dégradation des relations entre policiers et magistrats face à la violence nécessite de reconstruire un équilibre entre forces de l'ordre et justice.

Il y a encore une justice aux États-Unis.

André Kaspi publie "La nation armée" aux éditions de L’Observatoire. Pourquoi ne comprenons-nous pas le débat sur les armes à feu qui enflamme l'opinion américaine ? L'historien André Kaspi nous en explique les origines et l'actualité. Le débat divise le pays, au même titre que l'avortement, la peine de mort et l'immigration. Extrait 2/2.

C'est ce que préconise un rapport officiel publié hier sur la fusillade du lycée de Parkland.

Pas de ça chez nous, môssieu : c’est un pays bien tenu, ici, pardi ! La police, la gendarmerie et les douanes veillent !

Il coulait jusqu'à maintenant des jours paisibles. Il était heureux : il va connaître le malheur …

La fusillade de Dallas et l'assassinat de deux Afro-Américains cette semaine par des policiers aux États-Unis ne font qu'augmenter la longue liste de ce type d'incidents recensés ces dernières années. Un problème qui présente des caractéristiques structurelles et vis-à-vis duquel Barack Obama aurait pu néanmoins être plus actif, malgré l'hostilité du Congrès.

La facilité à se procurer une arme accroît vraisemblablement les risques d'homicides « standards », mais ça n'a rien à voir avec le terrorisme.

Récemment, le ministre de l'Intérieur a fait savoir qu'il souhaitait étendre le permis de port d'arme aux agents de sécurité privée, sous certaines conditions. Une idée déjà exposée par Nicolas Sarkozy... et aux antipodes de la gauche de François Mitterrand.

"Ça me rend malade à chaque fois que je pense à ces enfants" morts dans des fusillades, a déclaré le président américain.

La recrudescence d'attaques armées, de terorristes, de brigands ou de forcenés, pose la question du port d'armes.

67 % des votants ont répondu par la négative lors d'un référendum local organisé ce dimanche.

Le président s'engage à nouveau dans un bras de fer contre la NRA afin de mieux encadrer la vente et l'utilisation des armes à feu.

Les armes à feu ont fait 1 384 171 victimes aux Etats-Unis depuis 1968.

Il parait, d’après certains, qu’il y aurait en France 15 000 fusils de cette célèbre marque. Très exagéré disent d’autres. Mais tous sont parfaitement localisés.