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Jusqu’en 1979 et l'arrivée des ayatollahs, les deux nations étaient les meilleures amies du monde. Elles pourraient le redevenir.

Nila publie « Dans les rues de Téhéran » aux éditions Calmann Lévy (traduit du persan par Ambre Morier). Après la mort de Mahsa Amini le 16 septembre 2022, les cris de colère des Iraniens réclamant l’égalité et la justice se font entendre dans toutes les grandes villes du pays. Dans ce témoignage, une Iranienne nous entraîne au coeur du soulèvement. Extrait 2/2.

Nila publie « Dans les rues de Téhéran » aux éditions Calmann Lévy (traduit du persan par Ambre Morier). Après la mort de Mahsa Amini le 16 septembre 2022, les cris de colère des Iraniens réclamant l’égalité et la justice se font entendre dans toutes les grandes villes du pays. Dans ce témoignage, une Iranienne nous entraîne au coeur du soulèvement. Extrait 1/2.

Les Iraniens pourraient être tentés de manifester à nouveau. Le 1er anniversaire de la mort de Mahsa Amini en serait l’occasion. Ce drame avait provoqué des manifestations pendant de nombreuses semaines. Les conditions d’une reprise du feu de la révolte sont-elles présentes ?

En Iran, la répression contre les manifestants a été terrible. En un an, près de 20.000 personnes ont été arrêtées et plus de 550 tuées. L’avocat activiste franco-iranien Hirbod Dehghani-Azar, et Emmanuel Razavi, grand reporter, dressent un bilan de la situation.

Mohsen Shekari était accusé d’avoir blessé un paramilitaire après avoir bloqué la circulation sur une avenue à Téhéran. Le régime poursuit la répression des Iraniens mobilisés dans les manifestations suite à la mort de Mahsa Amini.

Le procureur général n'a pas précisé dans quel sens cette loi pourrait être modifiée.

Suite à la mort de Mahsa Amini, la jeunesse iranienne se filme dans des actions visant des symboles religieux.

Isabelle Adjani appelle à une mobilisation des femmes dans le monde suite au mouvement de contestation en Iran après la mort de Mahsa Amini.

Si le régime a résisté à la vague de contestation des résultats de l’élection présidentielle de juin 2009, la révolte actuelle est d’une autre ampleur. Elle est le point paroxysmique d’une répression qui n’a cessé de s’intensifier.

Le ministère iranien des Affaires étrangères a condamné, ce vendredi 14 octobre, les propos du président français, Emmanuel Macron, qui a exprimé sa solidarité avec les manifestants en colère contre la mort de Mahsa Amini.

La télévision d’Etat iranienne a été brièvement interrompue samedi soir par un piratage. Le visage du chef suprême du régime iranien, l’ayatollah Khamenei, est notamment apparu dans une cible.

Le Kurdistan iranien, dont Mahsa Amini était originaire, a vécu son décès comme un affront supplémentaire du régime iranien à son égard.

La mort de Mahsa Amini a été l'allumette mettant le feu aux poudres d'une insurrection qui ne demandait qu'à exploser face à des perspectives économiques et un avenir plus que sombres pour l'Iran.

En 2021 sur le plateau de LCP, Fatiha Agag-Boudjahlat et Sandrine Rousseau avaient débattu sur le port du voile à l’occasion d’une campagne d’affichage controversée du Conseil de l’Europe.

Les manifestations qui se déroulent depuis la mort de Masha Amini, le 15 septembre, ont gagné les 31 provinces du pays, et 170 villes. La révolte va-t-elle se transformer en révolution ?

Comme l’a déclaré récemment le fils du Shah d’Iran, la question n’est plus de savoir si le régime des mollahs tombera, mais quand. Analyse du grand reporter Emmanuel Razavi.

Le réalisateur iranien Asghar Farhadi a salué le mouvement de protestation des femmes de son pays « qui se battent pour les droits fondamentaux que l'Etat leur refuse depuis des années ». Une vague de manifestations mobilise une partie de la jeunesse et des femmes iraniennes depuis la mort de Mahsa Amini, une jeune femme arrêtée par la police des mœurs.

Le dirigeant iranien Ebrahim Raïssi a appelé samedi « les autorités concernées à agir fermement contre ceux qui portent atteinte à la sécurité et la paix du pays et du peuple ». Un mouvement de protestation s’est répandu au cœur de la République islamique depuis le 16 septembre, jour du décès de Mahsa Amini. Plus de 40 personnes sont mortes lors des manifestations.

Car nous sommes des mécréants et des hypocrites.