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Le gouvernement travaille à la mise en place d'une nouvelle réforme de l’assurance chômage. Gabriel Attal s’est expliqué sur le projet de l’exécutif dans les colonnes de la Tribune Dimanche.

Le gouvernement est actuellement face à un dilemme. Depuis la fin 2023, la croissance économique est en baisse, tous les économistes s’accordent à estimer que pour 2024, on sera, au mieux, à 0,9% (et cela peut baisser encore).

17 des 34 ministres du gouvernement Attal seraient millionnaires, d’après l’Humanité. C’est plus qu’au sein du gouvernement Borne, où 19 des 43 ministres – soit 44 % – avaient un patrimoine supérieur à un million d’euros.

La fumée blanche est finalement sortie du côté de l'Élysée. Le communiqué officiel pour dévoiler la composition de la deuxième partie du gouvernement est tombé. Le gouvernement Attal est au complet. Avec Léopold Audebert, journaliste BFMTV au Palais de l'Elysée (Paris). Perrine Vasque, journaliste politique de BFMTV à l'Hôtel Matignon (Paris). Benjamin Duhamel, journaliste politique BFMTV. Mathilde Siraud, rédactrice en chef du service politique pour Le Point. Jean-Sébastien Ferjou, rédacteur en chef du site Atlantico. Anne Saurat-Dubois, journaliste politique BFMTV. Sophie Dupont, journaliste politique BFMTV, depuis le ministère de l'Éducation nationale (Paris). Et Norman Gourrier, secrétaire général du syndicat national des collèges et des lycées (SNCL).

Jean-Sébastien Ferjou, directeur d'Atlantico, est revenu sur l’annonce faite par François Bayrou, à l’AFP, qu’il renonçait à intégrer le nouveau gouvernement Attal, en raison de désaccords : «Je ne crois pas que ce soit une vraie crise. Certainement un événement mais (...) François Bayrou ne contrôle pas le Modem autant qu’il souhaite le croire».

La deuxième phase du remaniement, destinée à compléter le gouvernement de Gabriel Attal est loin d’avoir reproduit l’effet « wouaouh » de la nomination du « plus jeune premier ministre que la France n’ait jamais connu ».

François Bayrou a dénoncé hier sur franceinfo « la rupture constante, continuelle et progressive entre la base et les pouvoirs ».

Une quinzaine de ministres délégués et secrétaires d'Etat doivent être nommés pour compléter le gouvernement Attal.

Amélie Oudéa-Castéra a la confiance du président de la République, du Premier ministre, a assuré dimanche Marie Lebec, ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement.

Le monde des affaires attend avec impatience le discours de politique générale de Gabriel Attal, car actuellement, si le gouvernement penche à droite, rien dans ce qu'a annoncé Emmanuel Macron ne prouve qu'il engagera un virage libéral.

En déplacement à Caen (Calvados) dimanche 14 janvier, pour parler entre autres du pouvoir d'achat, Gabriel Attal prend également la défense de la décriée loi immigration.

Accompagné de la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, Catherine Vautrin, le nouveau chef du gouvernement est en visite samedi au CHU de Dijon.

Le directeur d'Atlantico, Jean-Sébastien Ferjou, à propos du remaniement au sein du gouvernement : « La parité politique pèse aussi lourdement que la parité hommes/femmes. Notamment parce que François Bayrou et Édouard Philippe qui sont mécontents de la nomination de Gabriel Attal vont essayer de peser le plus lourd possible dans la composition de ce gouvernement ».

Elle a fait une mauvaise action.

Fraîchement nommée au ministère de la Culture, à la surprise générale, l’ancienne sarkozyste a fait part vendredi de son émotion et sa fierté, et a défendu sa «liberté de penser».