Contenus en rapport avec le mot-clé François Hollande

A la Une de vos hebdos cette semaine : Le Point rend hommage aux trajectoires de femmes puissantes et mesure leur poids en France et dans le monde. Marianne dénonce les “superprofits des marchands de diplômes" dans l'enseignement supérieur privé lucratif en France.

Mais aussi dans vos hebdos cette semaine : La Croix prévient qu’il ne faut pas sous-estimer le président américain, Challenges explique les méthodes des lobbys qui tiennent la pays, et L’Express atomise le nucléaire français.

Entre la gauche et une partie du RN voire de la droite qui nous imaginent dans un enfer ultra libéral et des macronistes qui affirment avoir sauvé l’économie française grâce à une politique de l’offre, quel bilan tirer de 7 ans de macronisme ?

Le leader de La France insoumise a affirmé, ce dimanche, que le Parti socialiste était désormais uniquement un « allié (...) de circonstance ».

Aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : les journalistes de Marianne sont allés recueillir les brèves de comptoir, pour voir si les préoccupations des Français correspondaient aux sujets abordés dans les médias.

L’ancien chef de l’Etat français estime que Donald Trump va obliger l’Ukraine à céder à Moscou les territoires ukrainiens partiellement occupés par l’armée russe.

François Hollande estime qu'il a "sauvé la Grèce" lors de la crise de 2015 en "dépit des efforts" de Yanis Varoufakis, l'ancien ministre des Finances grec.

Le bras de fer Insoumis contre social-démocratie se précise et du côté de la social-démocratie, après le choc du NFP, les écuries s’organisent.

François Hollande, ancien président de la République et député PS de la Corrèze, était l’invité du Face-à-Face sur RMC et BFM ce mercredi 2 octobre. Il est revenu sur la situation de la gauche en France et son rapport avec le parti La France insoumise.

A ce stade, si le PS reste marié à la Fi, c’est qu’un squelette est caché dans un placard et que Mélenchon a les photos du crime. Hypothèses.

Climat morose dans vos hebdos cette semaine : Le Nouvel Obs et L’Express ne voient pas comment ficeler le budget 2025. François Hollande se fait historien dans Le Point, et conclut qu’il faudrait lâcher LFI pour voir la gauche au pouvoir. Marianne est bien seule à chercher des solutions pour redresser notre économie, et découvre que Marine Le Pen s’appelle en réalité Marion Le Pen dite Marine… 

Au regard de l'impasse politique actuelle, quelles solutions auraient pu proposer les présidents de la Ve République dans la même situation de crise politique ?

Les premiers résultats des élections législatives ont été consolidés dans la soirée de dimanche. Les grandes personnalités de la vie politique française ont été élues lors de ce second tour.

François Hollande a récolté près de 36 % des voix en Corrèze, selon des résultats partiels. L’ancien chef de l’État devance la candidate du Rassemblement national, Maïtey Pouget (30,6%) et le candidat soutenu par Les Républicains et le camp présidentiel, Francis Dubois (30,2 %). « Nous avons (...) le devoir impérieux de faire en sorte que l'extrême droite ne parvienne pas à avoir une majorité à l'Assemblée nationale », a-t-il confié. François Hollande appelle désormais à un rassemblement « le plus large possible » pour le second tour en faveur des candidats du NFP face au RN.

Pour qui s’y prépare mentalement et stocke suffisamment de sucre et de munitions, la guerre civile n’est pas nécessairement une expérience traumatisante.

Alors que Jean-Luc Mélenchon a confié samedi qu’il n’excluait pas d’être Premier ministre, François Hollande l’a incité à se mettre en retrait.

L'ancien président de la République est en campagne dans le cadre des élections législatives. François Hollande est officiellement candidat en Corrèze pour le Nouveau Front populaire.

Alors que l’ancien Président socialiste se présente en Corrèze sous la bannière du Nouveau Front populaire, Gabriel Attal a apporté son soutien à son concurrent, le député sortant LR Francis Dubois.

Le parti présidentiel annonce cependant qu’il ne donnera pas de consigne de vote entre l’ancien président et le député LR sortant, Francis Dubois.

L’ancien Premier ministre sort de son silence. On a le droit d’être un peu déçu.