François Hollande estime que le macronisme est « terminé »<!-- --> | Atlantico.fr
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François Hollande et Emmanuel Macron lors d'une cérémonie officielle.
François Hollande et Emmanuel Macron lors d'une cérémonie officielle.
©CAROLINE BLUMBERG / POOL / AFP

"Il faut tourner la page"

L'ancien président de la République est en campagne dans le cadre des élections législatives. François Hollande est officiellement candidat en Corrèze pour le Nouveau Front populaire.

Les candidats pour les élections législatives sont mobilisés ce week-end à travers le pays avant le vote décisif du 30 juin et du 7 juillet. François Hollande, candidat en Corrèze pour le Nouveau Front populaire, s’est confié sur la situation politique du pays et sur la dissolution décidée par Emmanuel Macron. L’ancien président de la République a montré son désaccord avec l’actuel locataire de l’Elysée dans le cadre d’une déclaration à la presse. François Hollande s’est confié au micro de l’AFP.

Le candidat Nouveau Front populaire en Corrèze a indiqué que le macronisme est « un moment qui a été long » et qui a « coûté cher sur le plan politique ». Selon François Hollande, le macronisme « est terminé » :

« Je pense que c'est Édouard Philippe qui a le mieux résumé la situation, c'est-à-dire que le macronisme, c'est terminé. Si tant est que ça ait existé, mais c'est terminé, je le dis sans hostilité particulière. Je n'ai aucun compte à régler. Pas du tout. Tout ça est passé. Et puis de toute façon, il n'est pas candidat à sa propre succession ».

En cas de victoire le 7 juillet prochain, François Hollande pourrait être élu député. L’ancien président de la République a été vivement critiqué pour s’être allié dans le cadre des législatives avec La France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et de Rima Hassan.

D’autres personnalités de gauche, qui étaient au cœur de l’action du quinquennat de François Hollande, comme Bernard Cazeneuve ou Manuel Valls ont fait le choix de ne pas rejoindre le Nouveau Front populaire et ne cautionnent pas l’alliance avec La France insoumise pour les législatives.

Le Figaro

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