Contenus en rapport avec le mot-clé Ennahda

La presse feint d'ignorer la lutte contre le danger islamiste dans laquelle s'est engagé le président Kaïs Saïed.

Le premier président élu démocratiquement de l'Histoire de la Tunisie est décédé à 92 ans.

Le parti laïc Nidaa Tounès arriverait en tête des élections législatives qui se sont déroulées en Tunisie dimanche après avoir remporté 80 sièges.

Depuis le Printemps arabe en Tunisie, la situation économique s'est aggravée et le contexte politique reste très tendu. Des signes pourtant montrent la voie d'une amélioration où l'Europe a son rôle à jouer.

Les pays arabes, secoués par une troisième phase révolutionnaire, sont plus que jamais coupés en deux camps irrémédiablement opposés et prêts à en découdre. Les risques de guerres civiles s'amplifient.

Les premiers éléments de l'enquête indiquent que l'arme utilisée pour abattre cet opposant est la même que celle qui a servi à tuer Chokri Belaïd le 6 février dernier.

Le député de gauche et opposant Mohamed Brahmi a été assassiné par balle, jeudi 25 juillet, devant son domicile à Tunis. Après l'annonce de sa mort, un cortège d'environ 500 personnes s'est spontanément rassemblé devant le ministère de l'Intérieur.

La famille de l'opposant a accusé le parti islamiste Ennahda, au pouvoir, d'être responsable du meurtre.

L'abdication de l'émir du Qatar pourrait être l'élément déclencheur de profonds changements au Moyen-Orient, dont le renversement de Morsi ne serait qu'une première manifestation, sur fond de rivalités religieuses entre salafistes, soutenus par l'Arabie-Saoudite, et Frères musulmans.

Le président égyptien Mohamed Morsi a été renversé par l’armée et transféré jeudi à l’aube au ministère de la Défense, tandis que François Hollande entame aujourd'hui sa visite officielle de deux jours en Tunisie, actuellement dirigée par le gouvernement islamiste d'Ennahda.

Le gouvernement avait décidé d'interdire le congrès annuel d'Ansar al-Charia, prévu dimanche à Kairouan, à 150 km de Tunis

Ali Larayedh aura un délai de 15 jours pour composer son gouvernement et présenter son programme

Depuis l’assassinat de Chokri Belaïd le 6 février dernier, le Premier ministre Hamadi Jebali a tenté de reprendre en main la situation politique face à l’inertie dans laquelle la Tunisie est plongée depuis de longs mois. Mais si le remaniement tant attendu est un échec total, il pourrait ouvrir la voie à de nouveaux changements.

Le numéro 2 d'Ennahda n'a pas réussi à faire accepter à son propre parti son projet de gouvernement de technocrates. Sa démission était attendue.

Le Congrès pour la République, parti laïc du président Marzouki, demande depuis longtemps le départ de deux ministres de premier plan d'Ennahda, ceux des Affaires étrangères et de la Justice. Le parti islamiste n'a pas confirmé pour le moment leur limogeage.

Après l'expulsion de Ben Ali et l'arrivée au pouvoir du parti islamiste Ennahda, la Tunisie entre dans le troisième round de sa révolution.

Lors des troubles en Tunisie, un policier a trouvé la mort alors que 59 autres ont été blessés. Pas moins de 375 personnes ont été arrêtées, ce samedi soir.

Les islamistes d'Ennahda ont appelé à manifester ce samedi à Tunis, au lendemain des funérailles de l'opposant Chokri Belaïd qui a rassemblé des milliers de personnes.

Alors que Chokri Belaïd doit être inhumé en début d'après-midi ce vendredi à Djebel Jelloud, dans le sud de Tunis, des milliers de personnes manifestent.

Jeudi, les islamistes au pouvoir en Tunisie ont rejeté la formation d'un gouvernement de technocrates alors que les appels à la désobéissance civile se multiplient.