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L'association féministe les Chiennes de garde a décerné ce samedi ses prix de "macho de l'année". Le sénateur de l'Indre est le grand gagnant.

Si le menu annonçait fin des tensions, rassemblement et refondation, dans les faits le congrès des nouveaux "Républicains" s'est avéré être le début de la campagne des cadres du parti. Et l'ouverture de la chasse aux centristes.

A quelques heures du début du scrutin, le membre de la direction collégiale par intérim de l'UMP s'est exprimé appelant les militants à voter massivement.

A deux jours du scrutin, l'ancien président de la République a décidé d'accélérer. Il appelle les militants à lui donner une large victoire.

Dans une longue interview au Figaro publiée ce mercredi, il revient sur l'épisode des sifflets et estime qu'une guerre contre Alain Juppé serait "suicidaire".

Lors d'un meeting samedi sur ses terres bordelaises, en présence de Nicolas Sarkozy, le maire de la ville a été sifflé lorsqu'il a évoqué un rassemblement de la droite et du centre. Une attitude qui a choqué les ténors de l'UMP.

L'eurodéputée était l'invitée de RTL ce mercredi matin. Elle a réaffirmé qu'elle n'était pas d'accord avec Nicolas Sarkozy au sujet du mariage pour tous.

L'ancien président sera devant les sympathisants du parti ce vendredi soir à Paris. Il voudra apparaître en rassembleur mais aussi en leader de son camp.

Les deux outsiders se plaignent du manque de transparence dans la publication des résultats de la prochaine élection à l'UMP.

Dans un entretien à paraître dans le Figaro Magazine, le candidat à la présidence du parti pense qu'il ne faut pas créer de nouvelle formation politique. Une idée que soutient Nicolas Sarkozy.

L'ancien président de la République a aussi dénoncé la décision du gouvernement de supprimer l'universalité des allocations familiales.

Les sympathisants de l'UMP continuent de faire confiance à l'ex-chef de l'Etat et voteraient pour lui le 29 novembre à 73%. Lors de la primaire 2016, ils seraient 52% à voter pour lui contre 29% à Alain Juppé.

Dans une interview donnée au Parisien ce lundi matin, l'eurodéputée juge aussi que l'ancien président devra "écouter et rassembler" en 2017.

Selon des informations d'Europe 1, l'ancien président de la République aurait fait revenir le député dans son équipe de campagne.

Selon Le Point, il aurait récemment atteint ce chiffre. Une information que n'a pas confirmé l'entourage du candidat.

Des jeunes élus et des jeunes responsables politiques de l'UMP expliquent dans une tribune les raisons de leur soutien à Hervé Mariton.

A la fin de l'émission après avoir vu un sondage favorable le concernant, le maire de Bordeaux avait la voix nouée et les larmes aux yeux.

Le Parti socialiste critique fortement l'interview de l'ancien président parue ce vendredi dans le Figaro Magazine.

Par ailleurs, selon le porte-parole de Nicolas Sarkozy, la victoire de Gérard Larcher à la primaire UMP pour la présidence du Sénat, ne constitue pas un revers pour l'ex-chef de l'Etat.

Lors de ses meetings, le candidat à la présidence de l'UMP ne devrait plus prononcer de grands discours mais va essayer de développer les "questions-réponses" avec les militants.