L'Allemagne, possédant pourtant une population plus âgée et donc censée être plus à risques vis à vis du coronavirus, déplore cinq fois moins de décès que la France. Comment expliquer cette situation ?
14 avril 2020Le Réseau Atlantico
Best-Of du 9 au 15 novembre
François Bricaire est un médecin. Il est chef du service Maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris. Il est professeur à l'Université Paris VI-Pierre et Marie Curie.
L'Allemagne, possédant pourtant une population plus âgée et donc censée être plus à risques vis à vis du coronavirus, déplore cinq fois moins de décès que la France. Comment expliquer cette situation ?
14 avril 2020L'épidémie de Covid-19 a entraîné la fermeture des établissements scolaires dans les foyers d'épidémies pour quinze jours à partir du lundi 9 mars.
9 mars 2020Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la vaccination est loin d’être une science exacte. Pas facile dès lors de s'y retrouver entre indications et contre-indications médicales, scientifiques ou étatiques.
22 mars 2016Aux Etats-Unis, des chercheurs mènent actuellement des études de modification génétique d'agents infectieux ou de vecteurs d'infection afin de trouver de nouvelles façons de soigner.
La COP21 réunit la majorité des pays de ce monde pour tenter de contrer le dérèglement climatique. Mais le réchauffement de la planète n'est pas la seule menace qui pèse sur l'humanité.
4 décembre 2015La grippe saisonnière est, cet hiver, particulièrement sérieuse. Les urgences sont dépassées par le nombre de patients se rendant à l'hôpital, affaiblis par le virus.
Peur sur la France. Ebola a instauré un climat de psychose en Hexagone alors qu'aucun mort n'est à déplorer sur le territoire. Aucune contamination potentielle n'est même avérée.
17 octobre 2014Même si aucun cas d’Ebola n’a pour le moment été détecté en France, la psychose autour de ce virus s’est installée en France comme ailleurs. Une crainte qui peut difficilement être relativisée au niveau des symptômes.
Alors que le virus Ebola est source d'inquiétude, voire de panique, d'autres maladies moins exotiques courent pourtant toujours. La négligence des patients sur leurs vaccinations, voire un rejet de la médecine moderne en seraient les raisons.
Selon l'Organisation mondiale pour la santé (OMS), il existe un risque sérieux que le nombre de cas d'Ebola soit multiplié par trois – soit 20 000 contaminations – d'ici novembre.
Les risques de propagation du virus Ebola hors d'Afrique sont de plus en plus importants. La France est exposée à ce risque mais dispose, à l'heure actuelle, des moyens suffisants pour faire face à une éventuelle arrivée du virus.
1 août 2014Le nombre de faux antibiotiques augmente et les pays en développement ou sous-développés sont les premiers concernés.
L'OMS a effectué un constat inquiétant : de plus en plus de bactéries sont désormais à même de résister aux antibiotiques.
En l'espace de trois mois seulement, 78 personnes sont décédées en Guinée à cause du virus Ebola, qui laisse les autorités sanitaires presque impuissantes.
En France,la période 2008-2012 a vu les ventes de vaccins chuter de 12% toutes catégories confondues. A l'origine : une vague de contestation menée par les anti-vaccins, devenus une menace pour la santé publique, car certaines maladies font leur réapparition...
Une hygiène de vie et une alimentation irréprochables ne suffisent pas à empêcher les maladies… si l'on se passe de vaccin. Un témoignage anglais met ainsi en lumière l'efficacité des vaccins dans la protection contre les maladies virales et les risques liés au refus de ces substances.
L'agence américaine "Centers of Disease Control and Prevention" (CDC) a publié en novembre 2013 un rapport mettant en avant la menace des bactéries résistantes aux antibiotiques. Chaque année aux États-Unis, 2 millions d'infections et 23 000 décès sont causés par ces bactéries. De quoi, à terme, remettre en cause l'existence même des antibiotiques.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a tenu mardi une consultation urgente sur le coronavirus, essentiellement présent au Moyen-Orient où il aurait déjà provoqué la mort de 45 personnes.
Alerte aux bactéries résistantes aux antibiotiques ! C'est en gros le message qu'a souhaité faire passé la directrice de l'OMS la semaine dernière. En cause : le mauvais usage fait des fameux antibiotiques qui perdurent malgré les sensibilisations. La prise de conscience reste trop lente et les cas se multiplient.
L'évolution mondiale de la tuberculose est préoccupante. Dans son rapport de début d'année, l'OMS l'a placée dans les trois maladies infectieuses à traiter prioritairement. Une résistance qui est surtout la conséquence de mauvais choix politiques.