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Les démocraties en Occident sont marquées depuis 25 ans par une montée du populisme et par une défiance des électeurs à l'égard de la classe politique et des dirigeants.

Stéphane Vojetta, député des Français de l’étranger (apparenté au groupe macroniste), propose la démission simultanée des 577 élus de l’Assemblée nationale au 1er janvier pour débloquer la situation politique avec des élections législatives partielles.

Jeudi soir, les députés étaient en train d'examiner les amendements déposés par les macronistes et la droite concernant la proposition de loi des Insoumis pour abroger la réforme des retraites.

Le groupe des députés Insoumis avait prévu l’examen dans sa niche parlementaire du 28 novembre d’une proposition de résolution visant à refuser le traité avec le Mercosur.

Quand le député Insoumis court le cacheton, c’est le Parlement qui en est pour ses frais.

Huit députés issus de groupes différents vont se coordonner, dans les semaines à venir, pour mener un travail en commun au Palais Bourbon.

Après le revers des législatives, le parti présidentiel a perdu près de 70 députés. Nombre d’entre eux peinent toujours à retrouver un emploi.

Son alliance avec les mélenchonistes condamne la gauche au populisme.

Les JO ont mis les querelles d’ego ou de pouvoir entre parenthèses ; tout se passe désormais comme si les dirigeants de la droite républicaine préparaient des textes de réformes qui pourraient trouver une majorité assez large.

Dans le chaos politique actuel, les citoyens sont devenus des « consommateurs souverains ».

L'élu Liot est arrivé à égalité avec le député Ensemble pour la République Jean-René Cazeneuve, devant le candidat du Rassemblement national, Matthias Renault.

Le camp présidentiel a obtenu six des huit présidences de commission, les socialistes une et les Insoumis une. Le député Eric Coquerel a été réélu président de la commission des finances, la plus convoitée.

Lors du vote pour désigner le président de l'Assemblée nationale, certains députés de gauche ont refusé de serrer la main du benjamin de l’Assemblée nationale, le député RN Flavien Termet. Frédéric Rouvillois, auteur de "Politesse et politique", décrypte cette séquence.

Les postes les plus stratégiques et prestigieux de l'Assemblée ont été attribués. La gauche a obtenu la majorité absolue des sièges au bureau de l'Assemblée nationale. Le RN n’a aucun poste de vice-président.

Depuis cette funeste décision de dissoudre l’Assemblée nationale, le pays est plongé dans un débat politique délirant, mais dont il faudra bien sortir, parce qu’il va falloir présenter un budget avant la fin de l’année ; sinon, le pays va s’effondrer.

Attaques au couteau, incendie à Nice, les faits divers se multiplient. S’il ne se passait pas autant de trucs, on en entendrait effectivement moins parler.

Le premier acte de la nouvelle Assemblée a été accompli, avec l’élection à la présidence et la constitution des groupes politiques.

Yaël Braun-Pivet a été réélue à la présidence de l'Assemblée nationale après le désistement de Philippe Juvin. Cette réélection pourra-t-elle aboutir à des accords ou à une coalition entre la macronie et LR ?

En Italie, on neutralise les élus extrémistes en les fondant dans le système. En France, on refuse de leur serrer la main...

Du 18 au 20 juillet, les députés vont reconstituer les instances de l’Assemblée, et procéder à la répartition des postes à responsabilité. En période de majorité absolue, les choses sont assez simples. Cela l’est beaucoup moins en cas d’absence de majorité, et pire encore quand plusieurs blocs, d’importance relativement égale, occupent l’hémicycle.