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Lors de son discours à l’Assemblée générale des Nations unies à New York, le président français Emmanuel Macron a solennellement déclaré la reconnaissance officielle d’un État palestinien par la France. Il propose un plan de paix en cinq étapes : cessez-le-feu immédiat et libération des otages, démilitarisation et isolement du Hamas, construction de l'État palestinien, sécurité régionale et solution à deux États et reconnaissance internationale.

Ce lundi 22 septembre, la France doit reconnaître l'État de Palestine à l'ONU par la voix d'Emmanuel Macron. Pour soutenir cette décision diplomatique, plusieurs mairies ont décidé de pavoiser leur devanture d'un drapeau palestinien. Un geste interdit par le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, mais que certains édiles ont quand même appliqué.

Quelque 140 chefs d'État et de gouvernement sont attendus ce lundi 22 septembre à New York pour la 80e grande messe annuelle de l'ONU. La France doit y reconnaître officiellement l'État de Palestine.

Dans un entretien à Radio J ce dimanche 21 septembre, Dominique de Villepin, ancien Premier ministre, a sévèrement jugé l'action d'Emmanuel Macron face au « désastre à Gaza ».

Alors qu'Emmanuel Macron s’apprête à reconnaître un État palestinien, l’UNRWA – l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens – semble ignorer les recommandations de la Commission Colonna, chargée de garantir sa neutralité après les massacres du 7 octobre. Un an après l’audit, la réforme des syndicats et des manuels scolaires reste lettre morte. L’UNRWA est-elle encore réformable ?

A ce jour, 148 des 193 pays membres de l'Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l'Etat de Palestine. Emmanuel Macron a annoncé, le 24 juillet, qu’il reconnaîtrait la Palestine en septembre, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, à New York.

L’ambassadeur américain en Israël, Mike Huckabee, très remonté contre la campagne menée par la France en faveur de la reconnaissance d’un État palestinien, s'est emporté dans une interview à Fox News et a chargé frontalement le président Emmanuel Macron.

José Manuel Albares souhaite que de nombre pays à travers le monde reconnaissent officiellement l’Etat de la Palestine.

Les Nations Unies ont bel et bien « créé » Israël en 1949, mais c'était au côté d’un Etat palestinien dont les pays arabes n’ont pas voulu.

Annoncée mercredi par Sánchez et ses homologues, cette décision, effective à compter de ce mardi, provoque la fureur d'Israël. Tel-Aviv accuse notamment Madrid d’être «complice des appels au génocide du peuple juif».

Interrogé sur la guerre entre Israël et le Hamas lors du débat organisé par BFMTV lundi, le président du RN s’est dit «écœuré de voir des mouvements politiques qui considèrent le Hamas comme un mouvement de résistance».

Trois pays de l’Union européenne ont annoncé conjointement mercredi 22 mai la reconnaissance à partir du 28 mai prochain de l’État palestinien : l'Espagne, la Norvège et l'Irlande.

Ce mercredi, le Premier ministre norvégien a annoncé que son pays va reconnaître l’existence d’un État palestinien à compter du 28 mai. Malgré les mises en garde du gouvernement israélien, l’Espagne et l’Irlande ont pris une initiative similaire.

Alors que se poursuit la plus grave confrontation entre le Jihad islamique et Israël depuis une guerre éclair l'an dernier, Israël a accepté une trêve proposée par l'Egypte dans la bande de Gaza.

La répression qui s'abat sur les Ouïghours est loin de s'arrêter au seul Xinjiang. Pourtant, cela ne semble pas intéresser grand monde.

Ces deux pays que tout semble opposer sur le papier ont entamé un rapprochement discret depuis 2014 autour d'un ennemi commun : l'Iran, avec en toile de fond le nucléaire.

Les députés "invitent le gouvernement à reconnaître un Etat palestinien" par 339 voix pour contre 151. 16 élus se sont abstenus.

L'Assemblée nationale se prononce le 2 décembre sur la reconnaissance d'un Etat palestinien. Pourtant, au regard de l'Histoire et de la configuration géographique de la région, cette création n'a que peu de chances de jouer un rôle de stabilisateur. Pour cela, deux Etats seraient nécessaires.

Il ne vaudrait pas reconnaissance par le gouvernement mais il serait symbolique.

Les opinions des Français vis-à-vis du conflit israélo-palestinien ont évolué de manière surprenante depuis le début des affrontements.