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La propreté est bénéfique mais il ne faut pas éliminer les bactéries partout. En pleine pandémie du coronavirus, il n'est pas approprié de questionner l’hygiène et pourtant certains gestes pour se laver ne sont pas bénéfiques. Quelles pratiques sont à bannir pour ne pas endommager le système immunitaire de notre peau ?

Dès l’aube de la civilisation, les matières premières, sources de richesse et de bien-être, ont été un ressort essentiel du développement de nos sociétés. Elles ont aussi alimenté des guerres féroces, des actions d’espionnage et une contrebande sans merci. Extrait de "Nouvelles Histoires extraordinaires des matières premières" d'Alessandro Giraudo, publié aux Editions François Bourin. (1/2)

Dans le domaine des cosmétiques destinés à l’hygiène du corps et des cheveux, la notion de douceur est un argument marketing de poids. Pourtant, à y regarder de plus près, tous les produits doux ne nous traitent qu'avec une douceur relative.

Le savon "sans savon", que nous pourrions également appeler syndet ; est vendu comme du savon à proprement parler. Pour autant, à regarder sa composition chimique diffère.

Vous pensiez que le temps du savon unique qui servait à tout nettoyer était révolu ? Que nenni ! Vous pouvez désormais vous laver avec un gel conçu pour toutes les parties du corps.

Bourrés de traclosan, les gels antibactériens seraient en fait dangereux pour votre santé. Le produit provoque la prolifération de bactéries et les infections. Mieux vaut retourner au savon classique.

Tiraillée par la pollution, le stress et notre hygiène de vie pas toujours correcte, la peau de notre visage fait parfois grise mine. Malheureusement pour nous, elle est l'une des premières choses que l'on remarque chez quelqu'un. Alors pour cesser de faire pâle figure devant vos interlocuteurs, il faudrait commencer par bien la nettoyer. Voici quelques conseils.

Quoi de plus naturel que de prendre sa douche : se mettre sous l'eau, se savonner, se rincer, se sécher... Il y a pourtant des actions qu'on fait mal quand on se douche.

La Food and Drug Administration craint notamment les dérèglements hormonaux engendrés à long terme par leur utilisation fréquente.