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La taxe Zucman frapperait en priorité l’appareil productif, les entrepreneurs et les propriétaires d’entreprises qui investissent, développent l’emploi et portent les industries d’avenir.Tribunes
Taxe ZucmanFiscalité : sortir des mirages pour construire une justice durable

Depuis quelques semaines, la « taxe Zucman » occupe le débat public. Présentée comme une solution miracle pour mieux imposer les grandes fortunes et financer des politiques sociales ambitieuses, elle repose sur une idée séduisante : instaurer un impôt plancher sur les détenteurs du capital les plus riches. Toutefois il s’agit de taxer non pas des revenus réellement perçus, mais un rendement patrimonial théorique, présumé fixe et universel.

avec Institut Valmy
L'économiste Thomas Piketti, grand défenseur de la fiscalité sur les fortunes.Economie
Haro sur les richesL’Europe face au défi de la richesse : entre « taxe Piketty », « taxe Zucman » et référendum suisse, les grandes fortunes sont visées dans plusieurs pays européens

Après la querelle française autour de la « taxe Zucman », plusieurs pays européens se penchent à leur tour sur la fiscalité des ultra-riches. De la Norvège au Royaume-Uni, en passant par la Suisse et l’Espagne, le débat sur l’opportunité de taxer les patrimoines les plus élevés est relancé, sur fond de finances publiques sous pression et d’inégalités croissantes.

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Impôts. (Image d'illustration)Economie
ImpôtImpôt plancher sur les grandes fortunes : voilà pourquoi la dernière proposition choc de Gabriel Zucman est un mirage juridique

Taxer les ultra-riches à hauteur de 2 % de leur patrimoine : une idée séduisante sur le papier, mais juridiquement fragile en France. L’avocat fiscaliste Thomas Carbonnier démonte, point par point, la proposition portée par l’économiste Gabriel Zucman. Entre obstacles constitutionnels, risques d’inconstitutionnalité, complexité d’évaluation et menace d’exil fiscal, il alerte sur les dérives possibles d’un impôt aussi symbolique qu’impraticable.

avec Thomas Carbonnier