Contenus en rapport avec le mot-clé apologie du terrorisme

L’initiative du député Ugo Bernalicis, portée par La France Insoumise (LFI), visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme du code pénal, représente une grave menace pour la sécurité et la cohésion de notre société.

Le député insoumis Ugo Bernalicis a déposé une proposition de loi visant à abroger l’art 421-2-5 du Code Pénal réprimant la provocation à des actes de terrorisme et l’apologie publique de ces actes.

L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a porté plainte contre Sophia Chikirou. La députée LFI a relayé sur son compte Instagram un hommage à Ismaïl Haniyeh, l’ancien leader du Hamas, tué dans un bombardement en Iran.

Un total de 330 enquêtes ont été ouvertes en France pour actes antisémites et apologie du terrorisme depuis le 7 octobre, a appris lundi l'AFP auprès de la Chancellerie.

La jeune femme a été interpellée et placée en garde à vue jeudi pour « apologie du terrorisme utilisant un service de communication au public en ligne ». Elle sera déférée et jugée en comparution immédiate ce vendredi 10 novembre au tribunal judiciaire de Paris

Un secouriste israélien avait raconté qu'un bébé avait été brûlé dans un four par des membres du Hamas le 7 octobre. Une information qui n’a toujours pas été confirmée par les autorités israéliennes

Les faits se sont déroulés à la station Bibliothèque François Mitterrand, ce mardi matin. Son pronostic vital est engagé mais son état est stable.

Le Conseil constitutionnel a supprimé vendredi le délit de "recel d'apologie du terrorisme", qui sanctionnait le seul fait de télécharger et de détenir des vidéos de propagande islamiste, estimant qu'il était contraire à la Constitution.

Paris voit s'ouvrir le premier colloque des imams d'Europe contre la radicalisation.

L'homme se serait réjoui devant ses collègues de la mort du père Hamel.

Le parquet de Foix a depuis ouvert une enquête pour apologie du terrorisme.

"Un électeur de Macron en moins" avait-il notamment écrit sur Twitter après ma mort du gendarme Arnaud Beltrame.

"Un électeur de Macron en moins" avait-il, par exemple, écrit sur Twitter.

En octobre 2016, le chroniqueur a déclaré "respecter" les djihadistes.

Il était en lien sur Facebook avec des personnes projetant de commettre des actions violentes en France.

De quoi ? Mais "d’apologie du terrorisme" ! On se pince ? Non, nous sommes en France…

"Je respecte les djihadistes prêts à mourir pour ce en quoi ils croient – ce dont nous ne sommes plus capables", a déclaré l'écrivain dans un entretien accordé à "Causeur".

"Moi, je prends l'islam au sérieux, je ne le méprise pas ! Je ne pense pas que les djihadistes soient des abrutis ou des fous", explique l'écrivain.

"Moi, je les ai trouvés très courageux", avait déclaré Jean-Marc Rouillan à propos des auteurs des attentats de Paris.

Le jeune homme de 19 ans était sous surveillance depuis 2015 et son passeport avait été confisqué.