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Choi Hee-woo n'était encore qu'un embryon de vingt semaines quand il est devenu l'une des plus jeunes parties civiles au monde.

Et aussi : Pourquoi les alpinistes entendent des voix ; Ils veulent transformer l'eau en vin ; Aux États-Unis, un bébé naît d'un embryon congelé il y a 24 ans.

Et aussi : La course à pied rend intelligent ; La bactérie qui est peut-être allée sur Mars ; Des embryons humains de nouveau modifiés.

Les parlementaires britanniques ont adopté une loi autorisant le remplacement de l'ADN mitochondriale des embryons. Le bébé qui naît aura donc trois parents génétiques : cela pose un réel problème en terme d'éthique.

Cela permettrait de faire disparaitre des maladies génétiques mais relance aussi le débat sur les risques eugénistes.

Ce samedi 23 janvier, le Conseil Constitutionnel a partiellement retoqué le texte de loi proposé par Marisol Tourraine, revenant sur la généralisation du tiers-payant. En revanche, il n'a pas élevé la voix sur l'expérimentation sur embryons. Une tribune de Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune.

Près de vingt ans après Dolly, l'entreprise chinoise Boyaife Group's a annoncé ouvrir la voie à l'industrialisation du clonage animal, suggérant également qu'elle pourrait mettre ses techniques au profit du clonage humain avant de se rétracter. Un effet d'annonce qui soulève néanmoins la question de l'avancée technique et scientifique du clonage humain, aujourd'hui réalisable.

La loi britannique va permettre la manipulation génétique embryonnaire d'ici 2016. Cette opération a pour objectif de guérir les maladies mitochondriales mais reste une opération délicate, comme toutes les opérations in vitro.

Aux Etats-Unis, il y a aujourd’hui 500.000 embryons congelés, non-utilisés. Quelques institutions américaines proposent de les vendre pour 20.000 dollars. Une somme qui rend plus concret le débat moral autour de l'objectivisation de la vie humaine.

Une équipe chinoise a publié les premières modifications génétiques sur des embryons humains, destinées à corriger une mutation responsable d’une maladie du sang, la bêta­thalassémie.

Et aussi : dépression : la méditation contre les rechutes ; des embryons humains modifiés génétiquement par des chercheurs chinois ; DMLA : un traitement prometteur à base de cellules souches.

L'industrie de la bioscience, inquiète des dérives que la manipulation du génome humain pourrait entraîner, demande à ce que soit établi un moratoire interdisant la fécondation à partir de cellules ayant déjà fait l'objet d'expérimentations. Au-delà, c'est toute la question de l'eugénisme, qui transparaît.

Injecter une molécule dans le sang d'une mère enceinte pour modifier le système immunitaire de l'enfant qu'elle porte, pour traiter une maladie génétique rare, un diabète ou une allergie : voilà la piste thérapeutique développée par une équipe de chercheurs de l'Inserm, et mise en pratique sur les souris. Un processus expérimental, mais plein d'espoirs.

Cette avancée pourrait augmenter grandement les chances de succès des FIV : deux sur trois se soldent pour l'heure par un échec.

Ayant procédé à une fécondation in vitro, la future mère a été victime d’un échange malencontreux d'embryons dans un centre médical de Rome.

La proposition de loi que l’Assemblée nationale a voté mardi 16 juillet pourrait modifier la loi bioéthique de 2004 sur la recherche sur l'embryon et les cellules souches.

L'opposition annonce qu'elle déposera un recours devant le conseil constitutionnel.

Mardi, un vote solennel qui doit modifier la loi bioéthique de 2004 sur la recherche sur l'embryon et les cellules souches est prévu à l'Assemblée nationale.

Pour la première fois, des chercheurs américains sont parvenus à créer des cellules souches embryonnaires humaines à partir de cellules de peau grâce à une technique de clonage.

Le pape François a lancé dimanche un appel très ferme pour la défense "juridique de l'embryon" et "la sacralité de la vie", à l'issue de la première messe de canonisation de son pontificat.