Un événement d’ondes gravitationnelles détecté en 2019 pourrait avoir conduit les astronomes à découvrir le premier trou de ver de l’univers.
30 septembre 2025Le Réseau Atlantico
Best-Of du 27 septembre au 3 octobre
Anna Alter est journaliste et écrivain. Docteur en astrophysique, elle a été journaliste à Science et Vie, à l'Evènement du jeudi, grand reporter à Marianne et rédactrice en chef adjointe de La Recherche.
Un événement d’ondes gravitationnelles détecté en 2019 pourrait avoir conduit les astronomes à découvrir le premier trou de ver de l’univers.
L’activité solaire s’intensifie bien au-delà des prévisions des scientifiques, a averti la NASA, ce qui entraîne davantage de tempêtes solaires, d’éruptions solaires et d’événements météorologiques spatiaux.
Les interféromètres LIGO, Virgo et KAGRA ont capté un signal gravitationnel hors norme : la fusion de deux trous noirs d’une masse si colossale qu’elle ne devrait pas être possible selon les modèles actuels. Baptisé GW231123, cet événement exceptionnel pourrait bien marquer le début d’un nouvel âge d’or pour l’astronomie, tant il bouscule notre compréhension de la formation stellaire et des mystères de l’univers profond.
Les trous de ver, tunnels hypothétiques dans l’espace-temps, fascinent physiciens et auteurs de science-fiction. Théoriquement possibles, pourraient-ils vraiment nous permettre de voyager dans le passé… ou de le réécrire ?
Une nouvelle étude publiée dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society et menée par des chercheurs de l'Université d'Hawaï, suggère que l'univers pourrait tourner, mais extrêmement lentement.
Certains débris dans l’espace qui retombent de leur orbite peuvent présenter un danger. Des satellites embarquent des matériaux toxiques ou radioactifs, qui ne sont pas forcément consumés lors de la traversée de l'atmosphère terrestre.
Des scientifiques travaillant sur le DESI (l’instrument spectroscopique pour l'énergie sombre) ont réalisé la plus grande carte en 3D de notre Univers et ont progressé sur l’étude de l’énergie sombre et sur la cause mystérieuse de son expansion accélérée.
Aussi étrange que cela puisse paraître, certains scientifiques pensent que les premières formes de vie sur Terre ont peut-être peint notre planète dans des tons de violet.
Selon des données fournies par le télescope spatial James Webb, l'expansion de notre Univers semble se produire environ 8% plus rapidement que ce qui était initialement supposé possible.
Les ingénieurs travaillent sur des systèmes capables de transformer le régolithe lunaire en éléments utiles tels que l'oxygène.
La théorie du multivers suggère que notre univers n'est qu'un des nombreux univers ramifiés et infinis. Pour trouver des preuves de l'existence du multivers, des scientifiques ont examiné le fond diffus cosmologique (CMBR), la lumière résiduelle du Big Bang.
De nombreux scientifiques et chercheurs, se raccrochant au principe cosmologique, postulent que la zone de l'espace dans laquelle se situe la Terre n'a rien de spécial.
Des astronomes ont identifié l'origine de mystérieux sursauts radio répétés en provenance de l'espace.
Des astronomes ont identifié le plus grand et le plus lointain réservoir d'eau jamais détecté dans l'univers.
La sonde Voyager 2 est la seule à avoir survolé Uranus, il y a presque 40 ans. Une équipe de scientifiques suggère dans la revue Nature Astronomy que la mission aurait enregistré quelque chose d’anormal dans la vie de la planète.
Le continuum espace-temps est non seulement remis en question mais il est en train d’être entièrement repensé.
De nouvelles estimations suggèrent que la vie pourrait se maintenir sur Terre plus longtemps que prévu malgré les conditions extrêmes futures.
Une analyse des données sismiques collectées par la sonde Mars Insight de la Nasa a permis de révéler la présence d'eau liquide, au plus profond de la croûte rocheuse de la planète rouge.
La NASA est engagée dans une course mondiale avec plusieurs pays pour établir une présence humaine sur la surface de notre satellite.
23 juillet 2024Le télescope James Webb suggère aux astrophysiciens une nouvelle compréhension de la formation des galaxies à l'aube du cosmos.