Contenus en rapport avec le mot-clé Michel Mercier

Ce jeudi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné l'ex-garde des Sceaux Michel Mercier à trois ans de prison avec sursis pour emplois fictifs.

Le MoDem et l'UDF ont été mis en examen en décembre pour « complicité et recel de détournement de fonds publics » dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs d'assistants parlementaires d'eurodéputés centristes, selon des informations communiquées ce jeudi. Quinze personnes, dont François Bayrou, sont déjà poursuivies dans cette information judiciaire.

L'enquête sur les emplois familiaux de l'ancien ministre de la Justice a été élargie à l'embauche de sa femme, selon "Le Parisien".

"Je ne pourrai pas siéger avec la sérénité nécessaire au Conseil constitutionnel", a déclaré l'ex-ministre sous le coup d'une enquête sur les emplois d'assistantes parlementaires confiés à ses filles.

Ce mercredi, le Canard Enchainé dévoilait que l'ancien ministre avait employé sa fille comme assistante parlementaire.

Michel Mercier et neuf autres sénateurs des groupes UDI-UC ou écologiste annoncent leur ralliement à Macron dans une tribune publiée dans le JDD.

Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

Cette historienne "aurait aimé voir [son fils] faire autre chose" que de la politique.

L'objectif : encadrer l’activité religieuse des détenus, pour contrôler les risques d’islamisation.

Suite au viol et à l’assassinat d’Agnès, le gouvernement a notamment proposé le placement des délinquants en centre fermé jusqu’au procès.

Une page officielle appelée Alerte enlèvement va être créée sur le réseau social.

La Commission des lois a adopté mercredi dernier un amendement proposant d'accroître le droit des victimes, en leur permettant de faire appel des verdicts de Cour d'Assises. Le ministre de la Justice Michel Mercier y voit un « grand danger ». A tort ?

Le garde des Sceaux présente ce mercredi sa réforme de la justice en Conseil des ministres. Au programme, l'introduction de jurés populaires dans les tribunaux correctionnels. En charge de la justice à l'UMP, Jean-Paul Garraud juge l'idée intéressante, mais pas prioritaire.

Il propose une motivation des verdicts d’assises, précise le ministre de la Justice Michel Mercier.