Contenus en rapport avec le mot-clé argent magique
Résistance face au choc de la pandémie
Pas de pénuries à Noël : ce que la pandémie Covid nous a appris (de la résilience) du capitalisme mondialisé
Les effets de goulots d’étranglement liés à la sortie de la pandémie n’ont pas empêché les marchés de fonctionner. Et rien ne prouve que des relocalisations tous azimuts auraient permis d’obtenir de meilleurs résultats.
Atlantico Business
38 millions de Français vont toucher l’argent magique, celui qui a « cramé » la caisse
L’argent des aides exceptionnelles de l’Etat va être versé aux Français pour compenser la hausse des prix de l’énergie et l’inflation. Pour le gouvernement, il fallait compenser la baisse du pouvoir d’achat, mais pour l’opposition, c’est l’argent magique, celui qui a cramé la caisse.
Atlantico Business
L’économie US crée moins d’emplois que prévu, mais les boursiers sont contents parce que ça va justifier la générosité des banquiers centraux
Le dernier rapport sur l’emploi américain a déçu les économistes, mais pour les boursiers, c’est plutôt une bonne nouvelle parce qu’ils vont pouvoir continuer de profiter de la politique monétaire généreuse et de l’argent magique.
Quoi qu'il en coûte
Alerte chéquier public : combien nous coûtera in fine le climat de guerre civile entretenu autour du passe sanitaire ?
Les mobilisations massives ayant eu lieu par le passé (Gilets jaunes, manifestations contre la réforme des retraites...) ont souvent été calmées par de coûteuses mesures. Alors que la mobilisation contre le passe sanitaire prend de l'ampleur, le gouvernement pourrait être tenté d'essayer d'acheter la paix sociale.
Univers idéologiques
Décroissance : sortir de l'impasse par la pensée magique
La pensée magique est l'un des outils des partisans de la décroissance. Elle dissimule une forme d'impasse face à la pauvreté des habitants des pays en développement et face à la tentation de la réduction des salaires dans les pays occidentaux.
Evaluation des dommages
Abstention : les démocraties libérales ont sauvé leurs économies de la grande crise de 2008. Mais totalement raté sa prise en compte politique
Lors de la crise financière de 2008, les démocraties libérales se sont mobilisées et ont déployé des mesures pour sauver les banques, les entreprises et des pans entiers de l'économie. La prise en compte politique d’un tel événement n’a pas été réellement au coeur des préoccupations lors de la gestion de la crise.
Bonnes feuilles
Il était une fois l'argent magique : bonne dette et mauvaise dette
Jean-Marc Daniel publie « Il était une fois… l’argent magique, Conte et mécomptes pour adultes » aux éditions du Cherche-Midi. Dans le monde entier, des alchimistes modernes nous l'assurent : un « argent magique » vient de tomber du ciel. Aussi est-il devenu nécessaire de rappeler au citoyen-contribuable quelques leçons intangibles d'économie, avant de dissiper le mirage : l'annulation pure et simple des dettes publiques n'est ni réaliste, ni souhaitable – ni "rentable" ! Extrait 1/2.
L'argent magique du "quoi qu'il en coûte"
Mais quel impact la folle valse des milliards (souvent inutilement) dépensés laissera-t-elle pour le monde d’après le Covid ?
Face à l'impact économique de la crise sanitaire, Emmanuel Macron a privilégié la stratégie du "quoi qu’il en coûte". Les sommes investies semblent être trop souvent allouées pour des décisions ou des mesures sans effets sanitaires réels. Le coût total des aides et indemnisations aux entreprises va s'élever désormais à 11 milliards d'euros par mois, selon les précisions du ministère de l'Economie cette semaine.
Perspective
Pour présider après la pandémie : préférer le rasoir d’Ockham à "demain on rasera gratis"
Le rasoir d’Ockham est un concept philosophique qui stipule qu’entre deux hypothèses concurrentes et non prouvées, il vaut mieux préférer la plus simple à la plus compliquée. Emmanuel Macron est dans la logique exactement inverse : il ne cesse de vouloir parler, de vouloir faire œuvre de pédagogie sur son propre enseignement et sa propre action.
N’ayez pas peur
Pourquoi la droite aurait bien tort de surfer sur la peur de l’argent magique
Face à la crise monétaire, les critiques sont nombreuses contre les initiatives des banques centrales. A chaque fois que la réponse monétaire a été tardive et timide, l’Etat a pu intervenir à sa guise par des voies qui ont souvent aggravé le mal avec des déficits, des réglementations, des nationalisations ou du protectionnisme.