Entre 2013 et 2018, la Chine a représenté 28 % de la croissance mondiale. Actuellement, la croissance chinoise commence à se stabiliser. Quelles peuvent être les conséquences sur la croissance mondiale ?
19 octobre 2021Le Réseau Atlantico
Best-Of du 9 au 15 novembre
Michel Fouquin est conseiller au Centre d'Etudes Prospectives et d'Informations Internationales (CEPII) et professeur d'économie du développement à la faculté de sciences sociales et économiques (FASSE).
Entre 2013 et 2018, la Chine a représenté 28 % de la croissance mondiale. Actuellement, la croissance chinoise commence à se stabiliser. Quelles peuvent être les conséquences sur la croissance mondiale ?
Avec 2,98 % de croissance en 2020, Taïwan se hisse à la première place au classement des pays développés. Le pays a su tirer profit de son expérience des précédentes pandémies pour ne pas laisser le coronavirus gripper son industrie.
Certains pays ont démontré une grande capacité à réagir avec une efficacité remarquable dans le contrôle de l’épidémie de Covid-19. Cette réactivité a permis de limiter les effets négatifs de la pandémie sur le plan économique notamment en réduisant les périodes de confinement.
Après l’effondrement du PIB de la Chine en début d’année à cause du Covid-19, l’économie chinoise a connu au troisième trimestre un rebond de 4,9% sur un an, confirmant sa reprise. Comment expliquer ce rebond ? Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ?
21 octobre 2020D'après un nouveau sondage OpinionWay, 60 % des Français sont plus favorables au protectionnisme qu'envers le libre-échange. Ce pourcentage est en hausse. Le protectionnisme peut-il fonctionner dans le contexte actuel ?
16 octobre 2020L'administration américaine pourrait décider, dans le courant du mois de janvier, de qualifier le secteur automobile européenne comme menace à la sécurité nationale, ce qui pourrait entraîner la mise en place de tarifs douaniers de l'ordre de 25%.
Depuis le premier choc pétrolier de 1973, les gains de productivité horaire du travail n'ont cessé de diminuer dans les économies développées. Un phénomène qui s'explique, en grande partie, par les chocs macro-économiques successifs.
Alors que le contexte international est prudent face à une poursuite de la mondialisation, certains comportements actuels pourraient révéler une forme de retour à la régionalisation des économies.
31 mars 2017Washington s'est récemment insurgé de la décision de Bruxelles de réclamer à l'Irlande de récupérer ses arriérés fiscaux auprès d'Apple, à hauteur de 13 milliards d'euros. Une décision qui s'ancre dans la suite des précédentes mesures de Margrethe Vestager, Commissaire européenne à la Concurrence.
Depuis 2005, la balance commerciale de la France n'a quasiment jamais cessé de se dégrader. Les causes de cette déprime du commerce extérieur français ne sont pas à trouver dans la conjoncture, elles sont bel et bien structurelles.
"La Chine souhaite que davantage de produits indiens puissent avoir accès au marché chinois", a déclaré le Premier ministre chinois. Une décision non sans conséquence pour les économies occidentales.
La publication du rapport Cyclope 2013, qui donne chaque année un aperçu du marché mondial des matières premières, a pointé du doigt la paralysie de l'OMC. La gouvernance internationale est-elle au point mort, et quelle est sa part de responsabilité dans le marasme économique actuel ?
Barack Obama a donné mardi le coup d'envoi de négociations entre les Etats-Unis et l'Union européenne, qui pourraient aboutir à la création d'une des principales zones de libre-échange dans le monde.
La Chine importe de plus en plus de riz. Cette situation pour le moins surprenante ne remet pourtant pas en cause la capacité du pays de subvenir à ses besoins.
Malgré leurs disputes territoriales, le Japon, la Chine, et la Corée du Sud ont entamé mardi 20 novembre des négociations pour l'établissement d'une zone de libre-échange lors d'un sommet de l'Asie de l'Est. Une telle zone commerciale pourrait contrebalancer la première puissance commerciale qu'est l'Union européenne.
La Chine est aujourd'hui le second budget au monde en matière de dépenses militaires.