Les gènes ne sont pas la seule explication pour une longévité accrue. Nos modes de vie vont également influencer notre espérance de vie.
14 janvier 2025Le Réseau Atlantico
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Le docteur Christophe de Jaeger est chargé d’enseignement à la faculté de médecine de Paris, directeur de l’Institut de médecine et physiologie de la longévité (Paris), directeur de la Chaire de la longévité (John Naisbitt University – Belgrade), et président de la Société Française de Médecine et Physiologie de la Longévité.
Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, notamment de "Bien vieillir sans médicaments" aux éditions du Cherche Midi, "Nous ne sommes plus faits pour vieillir" chez Grasset, et "Longue vie", aux éditions Telemaque.
Les gènes ne sont pas la seule explication pour une longévité accrue. Nos modes de vie vont également influencer notre espérance de vie.
Selon l'OMS, l’espérance de vie continue à augmenter mais les chiffres de l’espérance de vie en bonne santé ne progressent pas assez rapidement.
Christophe de Jaeger publie « Médecine de la longévité : une révolution ! » chez Guy Trédaniel éditeur. Est-ce la fin de l'obsolescence programmée de l'être humain ? Nous nous sommes habitués à considérer qu'il était inéluctable de tomber malade et de mourir. Or, grâce aux découvertes scientifiques, nous pouvons espérer mettre fin à des millénaires de fatalité. Extrait 2/2.
Le magazine Wired pense que oui. Pour le docteur Christophe de Jaeger, spécialiste de la vieillesse, la réalité est bien plus complexe.
De récentes études ont suggéré que les gourdes éco-responsables peuvent se transformer en un foyer de bactéries.
Une étude sur l’impact de pratiquer une activité physique sur le cerveau publiée dans le Journal of Epidemiology & Community Health, a révélé que faire un peu moins de 10 minutes d'efforts modérés à vigoureux par jour avait des impacts cognitifs positifs.
Une alimentation déséquilibrée pendant la grossesse ou lors du début de la vie de l'enfant peut avoir des conséquences importantes sur leur développement.
Les adultes qui parviennent à bien s'hydrater développent moins de maladies chroniques, comme les maladies cardiaques et pulmonaires, et vivent plus longtemps que ceux qui ne s'hydratent pas suffisamment, selon des données des National Institutes of Health.
L'activité physique peut-elle aider à guérir plus vite ? Avec le sport, les virus peuvent-ils être stimulés et encouragés à migrer ?
La posture est importante lorsqu'on ingère un médicament.
L'activité physique régulière aurait un impact positif contre de nombreuses maladies et notamment les cancers.
Et si le fait de nous apprendre à vieillir nous concernait finalement tous. C'est ce que propose le docteur Christophe de Jaeger dans son dernier livre, "Bien vieillir sans médicament" (Cherche Midi).
Cinq scientifiques anglais seraient parvenus à inverser le vieillissement cellulaire. Eléments de réponses sur ce mécanisme fascinant.
Depuis 2009, une nouvelle forme de villages pour personnes âgées a vu le jour en Amérique. Il s'agit de village qui reconstituent des centres villes des années 1950,1960. Ce nouveau type de prise en charge doit permettre d'aider la prise en charge des gens souffrants de démence. Des études doivent valider ces pistes.
L'agence de Santé publique France a publié son bulletin épidémiologique hebdomadaire. Elle révèle que chaque années, ce sont 18.343 femmes et 13.003 hommes qui meurent d'un accident vasculaire cérébral. Les femmes restent majoritairement touchées. Des activités physiques permettent cependant de réduire les risques.
L'étude "Long-Term Risk of Stroke in Myocardial Infarction Survivors", publiée dans le journal "Stroke", a démontré que les sujets qui se mettent à faire du sport à 40 ans ont 37% de moins de chances de mourir d'un accident vasculaire cérébral, d'une crise cardiaque ou d'un cancer à 60 ans.
Alors que les accidents cardiovasculaires sont en forte hausse et touchent de plus en plus de personnes de moins de 65 ans, ce samedi 29 octobre se tient la journée mondiale contre l'AVC, avec pour but de sensibiliser les populations sur les facteurs de risque et les précautions à prendre.
Une nouvelle étude britannique publiée dans le "British Journal of Sports Medicine" affirme que faire de l'exercice quotidiennement permet de réduire drastiquement les chances d'avoir des problèmes de santé liés à une consommation quotidienne d'alcool.
Les hommes d'aujourd'hui ont une masse musculaire nettement moins importante que celle de leur père au même âge, selon une nouvelle étude publiée dans le "Journal of Hand Therapy".
Beaucoup de proches reviennent sur leur promesse de ne pas placer l'être aimé en maison de retraite, car ils n'arrivent pas à faire face aux énormes difficultés engendrées par le maintien à domicile de la personne vieillissante.